L'étymologie du terme RELIGION
et au-delà
par Irénée Sikora ©FlorRaison
[1/2] VERSION FRANÇAISE ORIGINALE
LES AUTRES ANNALES
FlorRaison
L'étymologie du terme
RELIGION
et au-delà
par Irénée Sikora
[1/2]
© 2017, FlorRaison
CHAPITRE 1/2
Il existe des humains qui, une fois arrivés au pied de la pyramide de Khéops,
la touchent et disent : "C'est un canular". Il y a des humains qui ne croient qu'en ce
qu'une
iconographie made by NASA nous montre, en toutes ces photos
convenablement adaptées pour prendre soin de notre sensibilité. À tous
ces gens est ici offert ce conseil :
S'il vous plaît, arrêtez la lecture de ce texte, sinon, vous perdez votre temps.
Un jour on m'a demandé de me prononcer sur le phénomène de religion.
Un jour on m'a demandé de me prononcer sur le phénomène de religion.
Lorsque cette demande avait été formulée, je n'étais pas prêt.
C'est possible aujourd'hui.
Mais coucher sur papier un article pareil ne m'était pas facile. Ce genre d'écriture ne
Mais coucher sur papier un article pareil ne m'était pas facile. Ce genre d'écriture ne
s'inscrit pas dans mon octave de confort. Il m'aura fallu baisser ma vibration jusqu'au
seuil de l'insupportable. Je suis capable de franchir ce seuil et aller encore davantage
vers le bas mais ne le ferai pas : mon corps biologique courrait un risque trop grand.
Déjà en travaillant sur ce texte, ce corps a subi quelques dysfonctionnements
organiques douloureux et il s'avère impératif que je rehausse ma vibration.
Malgré tout cela, je pense qu'il est essentiel de savoir où nous nous trouvons
Malgré tout cela, je pense qu'il est essentiel de savoir où nous nous trouvons
avec notre statut d'espèce Homo Sapiens Sapiens sur la planète Terre.
Il est suggéré aux lecteurs intrigués de ne pas lire ce texte en diagonale mais de
Il est suggéré aux lecteurs intrigués de ne pas lire ce texte en diagonale mais de
prendre un temps nécaissaire et, si possible, de réfléchir pendant quelques instants.
Un point important : les lecteurs sont libres, cela va de soi. Si vous êtes incommodés,
arrêtez la lecture, vous y reviendrez peut-être un autre jour.
Dans tous les cas, soyez à l'écoute de votre Intuition.
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Le mot 'religion' provient du terme latin 'rĕlĭgĭo'. On admet généralement que
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Le mot 'religion' provient du terme latin 'rĕlĭgĭo'. On admet généralement que
ce mot trouve sa source dans le verbe latin 'rĕ-lĭgāre' signifiant 'relier' ou le verbe
'rĕ-lĕgĕre' qui aura été traduit par 'relire', 'ramasser', 'cueillir'.
En grec ancien, λέγω [pron. lēgo] signifie 'je dis/parle, ramasse/saisis [un message]'.
Nous sommes habitués à prêter au terme rĕlĭgĭo la signification de
'Ce qui (re)lie à Dieu'.
Et si on perçait cette couche de fond latine,
Et si on perçait cette couche de fond latine,
puisque les langages sont perméables et puisqu'il ne nous est point interdit
de pénétrer plus en profondeur dans le temps ?
Or, en vue de sonder notre passé, nous disposons d'un vaisseau d'exploration
Or, en vue de sonder notre passé, nous disposons d'un vaisseau d'exploration
fort singulier qui, quoique complexe, est en fait un outil incontournable,
efficace et surprenant. Ce vaisseau est dénommé Archétymologie,
parce que dans ce nom, archéologie et étymologie sont indissociables.
Une fois à bord, il nous faut un mot de passe pour que le voyage commence.
Une fois à bord, il nous faut un mot de passe pour que le voyage commence.
Ce mot de passe est 𒅴𒂠[pron. Eme-Gir] signifiant
'Langue Princière ou Noble (qui porte en elle)',
autrement dit Le Sumérien.
Il existe une autre dénomination : 𒅴𒀭[pron. Eme-An], c'est-à-dire
Langage du Ciel. Ces deux noms sont interchangeables.
Là-dessus, une information supplémentaire s'impose :
Le Eme-Gir/An était un langage utilisé au Pays d'Edin (ou Eden),
connu également sous le nom Kalam et ultérieurement Sumer.
Son ascendant est dénommé Eme-Nita, autrement dit 'Langage Mâle'.
Il existe aussi Eme-Šà, un terme désignant 'Langage Matrice' ou 'Langage Femelle'.
Le Eme-Nita et le Eme-Šà sont des langages utilisés par la race Gina'abul
issue d'une souche génétique fort ancienne dénommée Mušidim.
Les femelles Gina'abul étaient pour la plupart érudites et au moins bilingues :
elles parlaient Eme-Šà et Eme-Nita. Les mâles, à quelques exceptions près,
parlaient seulement Eme-Nita. Cette situation était le résultat
d'une longue guerre armée entre les deux sexes.
Le Sumérien n'appartient à aucune branche linguistique.
Là-dessus, une information supplémentaire s'impose :
Le Eme-Gir/An était un langage utilisé au Pays d'Edin (ou Eden),
connu également sous le nom Kalam et ultérieurement Sumer.
Son ascendant est dénommé Eme-Nita, autrement dit 'Langage Mâle'.
Il existe aussi Eme-Šà, un terme désignant 'Langage Matrice' ou 'Langage Femelle'.
Le Eme-Nita et le Eme-Šà sont des langages utilisés par la race Gina'abul
issue d'une souche génétique fort ancienne dénommée Mušidim.
Les femelles Gina'abul étaient pour la plupart érudites et au moins bilingues :
elles parlaient Eme-Šà et Eme-Nita. Les mâles, à quelques exceptions près,
parlaient seulement Eme-Nita. Cette situation était le résultat
d'une longue guerre armée entre les deux sexes.
Le Sumérien n'appartient à aucune branche linguistique.
Ce n'est donc ni une langue sémitique, ni indo-européenne, ni sinitique (chinoise).
Cette langue a néanmoins servi de catalyseur dans la création et la codification
de nombreux langages et idiomes sur notre planète et cela
primordialement à des fins politiques.
Aussi étrange que cela puisse paraître, les langages aussi éloignés
géographiquement que le dogon avec ses quinze dialectes en Afrique Occidentale
ou le hopi dans l'Arizona en Amérique du Nord, avaient connu une influence
linguistique sumérienne. Une découverte du Bol de la Fuente Magna en 1950
et du Monolithe de Pokotia en 1960 en Bolivie dans la région du lac Titicaca
(donc en Amérique du Sud !) dérange encore quelques académiciens
défendant bec et ongles leurs diplômes-boucliers durement acquis
en archéologie darwinienne, leurs statuts ou/et rémunérations.
Ils crient aux canulars. Mais rien n'y fait et l'insolite perdure.
Les spécialistes impartiaux Dr Alberto Marini et
Dr A. Clyde Winters (2001-2013)
sont formels :
les textes cunéiformes gravés sur les deux artefacts mentionnés
sont en (proto-)sumérien. Aujourd'hui, ces deux objets se trouvent
dans les collections du Museo del Oro à La Paz.
De ce fait il est possible et légitime de partir à la recherche de ces mots-graines
Aussi étrange que cela puisse paraître, les langages aussi éloignés
géographiquement que le dogon avec ses quinze dialectes en Afrique Occidentale
ou le hopi dans l'Arizona en Amérique du Nord, avaient connu une influence
linguistique sumérienne. Une découverte du Bol de la Fuente Magna en 1950
et du Monolithe de Pokotia en 1960 en Bolivie dans la région du lac Titicaca
(donc en Amérique du Sud !) dérange encore quelques académiciens
défendant bec et ongles leurs diplômes-boucliers durement acquis
en archéologie darwinienne, leurs statuts ou/et rémunérations.
Ils crient aux canulars. Mais rien n'y fait et l'insolite perdure.
Les spécialistes impartiaux Dr Alberto Marini et
Dr A. Clyde Winters (2001-2013)
sont formels :
les textes cunéiformes gravés sur les deux artefacts mentionnés
sont en (proto-)sumérien. Aujourd'hui, ces deux objets se trouvent
dans les collections du Museo del Oro à La Paz.
De ce fait il est possible et légitime de partir à la recherche de ces mots-graines
qui ont d'abord pénétré de leurs racines la Terre avant que les tiges
n'aient vu une certaine lumière.
Pour rappel*, le Sumérien est une langue flexionnelle agglutinante
Pour rappel*, le Sumérien est une langue flexionnelle agglutinante
(comme p. ex. le mongol ou le basque) où morphèmes et phonèmes pouvant avoir
plusieurs homonymes, sont pourvus non seulement de caractéristiques
grammaticales, mais aussi de champs sémantiques à la fois déterminés
et fluctuants en fonction de contextes oraux et/ou scripturaux
plus larges dans la transmission de messages à thème.
Dans notre étude archétymologique, je propose de remonter
Dans notre étude archétymologique, je propose de remonter
à La Langue Sumérienne et de nous en servir pour désarticuler
le mot-concept
'RELIGION'
'RELIGION'
dans 7 langues :
Le Latin (Rĕlĭgĭo), L'Hébreu (דת), Le Grec Ancien (θρησκεία),
Le Mandarin (宗教),
Le Sanskrit (मत), L'Arabe (دين) et Le Turc (Din).
Cela dans le but de voir ce que ces mots signifient
Cela dans le but de voir ce que ces mots signifient
à l'origine de multiples origines.
~~~~~~~
En latin : Religio.
Re-Li-Gi-U ou Re-Lu-Ig(i)-U ou Re-íLi-Íg-Ù
(Le O n'existe pas en sumérien.)
"Les tablettes d'instruction qui nourrissent les humains enfermés
En sumérien :
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En latin : Religio.
Possible articulation morphologique sumérienne :
Re-Li-Gi-U ou Re-Lu-Ig(i)-U ou Re-íLi-Íg-Ù
(Le O n'existe pas en sumérien.)
Re7 - 'accompagner', 'mener', 'porter (un message)'.
Lí - 'juste mesure', Li
- 'luire', 'briller'.
Lu - 'nombreux', 'hommes', 'moutons', 'tablette [avec instruction]' ;
'multiplier', 'pâture'.
Lú - 'homme [qui a] grandi', 'être humain'.
Lù - 'déranger',
'agiter', 'remuer', 'mélanger'.
Pour exemple,
en fonction du contexte et de l'intention,
le signe 𒌨 signifie 'moutons', 'hommes', 'tablette', 'eau'.
Íli - 'transporter',
'porter', 'apporter' ; 'briller'.
Ili - '(s')élever', 'se mettre debout'.
Ig - '(la) porte', 'entrée'.
Íg - 'eau', 'parler', 'dire'.
Igi - 'œil', 'visage' ;
'avant', 'en face de'.
Gi - 'roseau
(stylet)' ; 'renforcer', 'établir', 'être propriétaire(s) de' ; 'attaché'.
Gi4 - 'encercler',
'assiéger', 'fermer' ; 'rejeter', 'désapprouver'.
Gi6 (Gig) - 'sombre',
'noir'.
Gi7 (Gir) - 'domestiqué'.
Gu7 - 'nourrir', 'nourriture', 'subsistance'.
Gù - 'pousser un cri (en larmes)'.
Ú - 'nourrir', 'nourriture',
'pâture', 'pain'.
Ù - 'dormir' ; 'manque de
discernement'.
U - 'hurler', 'lutte',
'querelle', 'pleurs' ; 'conduire', 'mener'.
Le linguiste de langues anciennes (dont le Sumérien, l' Akkadien et
le Re'enkemet = l'Égyptien du temps de Asar* et Thot [c-à-d.*Osiris]),
historien-chroniqueur et chercheur franco-allemand Anton Parks
suggère deux variantes dans sa concise et pertinente interprétation
du mot-concept Rĕlĭgĭo, donc 'RELIGION',
les voici :
le Re'enkemet = l'Égyptien du temps de Asar* et Thot [c-à-d.*Osiris]),
historien-chroniqueur et chercheur franco-allemand Anton Parks
suggère deux variantes dans sa concise et pertinente interprétation
du mot-concept Rĕlĭgĭo, donc 'RELIGION',
les voici :
"[Ce qui]
accompagne les tablettes d'apprentissage des moutons" ou
"Les tablettes
d'apprentissage qui guident les moutons" [A. Parks].
Il est possible d'en ajouter quelques autres comme :
"[Ce qui]
instruit/élève [par le verbe]
les humains/moutons noirs agités [et] rejetés/mis à l'écart".
"Pâture/juste mesure/juste pâture [luisante/de
larmes]
pour les moutons domestiqués mélangés [et] somnolents".
"Le roseau de la force [fouet ou outil d'écriture
sur tablettes]
qui guide les hargneux moutons(=humains) noirs en pleurs".
"Les tablettes d'instruction qui nourrissent les humains enfermés
[(et) privés de discernement/intelligence]".
Il ne sera pas hors de propos de préciser que
le nom Adam désignant le célèbre personnage biblique du jardin d'Eden, est de loin
plus ancien que ce que les rédacteurs de la Bible de Jérusalem ne laissent entendre.
Comme pour Elohim (=Seigneurs/Dieux et en réalité Planificateurs),
il n'est pas difficile de voir en ce nom un pluriel.
En effet, le mot Adam se décompose en sumérien en Á-Dam
et signifie 'Troupeaux asservis' et/ou 'Animaux'.
Si on le fait suivre du terme sumérien 'Dil(i)/Ullegara' ou 'Min/Annegara',
comme identifié dans le texte cosmogonique mesopotamien d'Aššur,
on obtient cette information supplémentaire : 'Un/placé Avant' et 'Deux/placé Après'
où Ullegara et Annegara indiquent respectivement une première
et une deuxième lignée (génétique).
Il existe des textes sur tablettes dans lesquels sont évoqués des actes génétiques
avec p. ex. le terme sumérien explicite Siensišár signifiant 'où la chair pousse'/
'ce qui met au monde les images-clones'/'matrice artificielle',
un terme que nous pouvons comprendre seulement aujourd'hui.
Réf. : Enki et Ninmah et dedans AO7036, BM12845
ou Atrahasîs et dedans K3339 ou K7816.
Il ne sera pas hors de propos de préciser que
le nom Adam désignant le célèbre personnage biblique du jardin d'Eden, est de loin
plus ancien que ce que les rédacteurs de la Bible de Jérusalem ne laissent entendre.
Comme pour Elohim (=Seigneurs/Dieux et en réalité Planificateurs),
il n'est pas difficile de voir en ce nom un pluriel.
En effet, le mot Adam se décompose en sumérien en Á-Dam
et signifie 'Troupeaux asservis' et/ou 'Animaux'.
Si on le fait suivre du terme sumérien 'Dil(i)/Ullegara' ou 'Min/Annegara',
comme identifié dans le texte cosmogonique mesopotamien d'Aššur,
on obtient cette information supplémentaire : 'Un/placé Avant' et 'Deux/placé Après'
où Ullegara et Annegara indiquent respectivement une première
et une deuxième lignée (génétique).
Il existe des textes sur tablettes dans lesquels sont évoqués des actes génétiques
avec p. ex. le terme sumérien explicite Siensišár signifiant 'où la chair pousse'/
'ce qui met au monde les images-clones'/'matrice artificielle',
un terme que nous pouvons comprendre seulement aujourd'hui.
Réf. : Enki et Ninmah et dedans AO7036, BM12845
ou Atrahasîs et dedans K3339 ou K7816.
~~~
En hébreu דת [H(e-t)-D(a)] (lecture de droite à gauche)
ד (valeur numérique 4) signifie 'portail' et ת (vn. 8)
signifie 'séparation'.
En sumérien, le Da
signifie 'proximité'
et Da5 désigne 'entrave', 'assaut', 'attaque'.
et Da5 désigne 'entrave', 'assaut', 'attaque'.
Le He signifie
'mélanger', 'remuer', 'brouiller'.
Le DaH désigne 'multiplication' ou encore 'dire plus tard/verbe qui suit'.
Ainsi, le Da-H(e-t)
sumérien indique
"Proximité
[belliqueuse] qui mélange/brouille",
"Assaut [pour]
mélanger/brouiller"
ou "Entrave qui remue [(par) le verbe qui
suit]".
Quelques autres variantes sont possibles :
"Multiplication
d'assauts/d'entraves",
"Le verbe subséquent pour
entraver/assaillir" ...
~~~
En grec ancien : θ[ε]ρησκεία
Šér, Šír - 'briller intensément', Šèr, Šìr - 'décider' ; Šir, Šir4 - 'testicules' ;
Sir5 - 'serpent'
Sir5 - 'serpent'
ou en tant que Hir - 'pourvoir',
'produire', 'procréer'.
(Remarquons le 'Sir' anglais, le 'Sire/Sieur' français,
le 'Herr' allemand ou encore le 'Heer' [Lord/Sire] néerlandais).
Re7 - 'accompagner', 'mener', 'porter (un message)'.
[Ε]ρησ : E-Ri-Iš, Ereš - 'noble dame', 'reine'.
Ki-á-á(g̃) - 'territoire (la Terre) d'où proviennent les instructions', 'ordres'.
Γῆ
[phonetiquement proche de Kè et du terme sumérien Ki] - 'Terre'.
κεί- radical dans le concept 'texte [écrit]', 'place'.
Le Ki sum. - 'terre',
'place', 'grain'
I - 'cri de douleur', 'larme',
'capturer'.
I7 - 'cours d'eau'.
A - 'eaux', 'larmes', 'fluide séminal', 'déluge', 'père'.
"Brillants
géniteurs conduisant par [leurs] ordres écrits
les larmes capturées [des
humains [...]]".
Facultativement et
pourtant légitimement il est possible de préciser :
"[...] humains
terrestres" ou "[...] humains de la Terre".
~~~
Le terme chinois (mandarin) 宗教 [pron. zōng jiáo] =
'religion'
est translitéré en Zu-Ùn/g̃-I-A-U (le
"O" n'existe pas en sumérien)
ou Zu-Ùn-Ní-I-A-U.
Zu ou Sú - 'enseigner',
'instruire' ou Su - 'peau d'animal', 'chair', 'corps', 'nu'.
Ùn/g̃(á) - 'foule', 'gens'.
Ní - 'peur',
'effrayé', 'violence' ; 'corps'.
I - 'cri de douleur', 'larme',
'capturer'.
A - 'eaux', 'larmes',
'fluide séminal', 'déluge', 'père'.
Ú - 'nourrir', 'nourriture',
'pâture', 'pain'.
Ù - 'dormir' ; 'manque de discernement'.
U - 'hurler', 'lutte',
'querelle', 'pleurs' ; 'conduire', 'mener'.
Possible interprétation en lisant de droite à gauche :
"[Ce qui] instruit la foule en pleurs capturée (et
angoissée) sans intelligence".
Possible interprétation en lisant de gauche à droite :
"[Ce qui sert de] pâture et, [par] le déluge de larmes
conduit la chair animale".
~~~
En sanskrit, le terme मत [pron. mata] ayant plusieurs significations
dont celle de 'religion', dans notre analyse linguistique
s'avère des plus ambigus.
म [Ma] - 'poison', 'formule magique' ;
'lune',
'temps', 'eau' ; 'félicité', 'bien-être'.
त [Ta] - 'nectar' ;
'homme mauvais/barbare',
'nain', 'voleur', 'guerrier' ; 'sein', 'utérus'.
Ainsi en sanskrit, nous en arivons par exemple à :
"Bien-être [pour]
les barbares",
"L'eau [en tant que nourriture] [pour] guerriers/voleurs",
"Poison [pour le/du]
sein",
"Nectar-Poison",
"Bonheur ou Poison [pour l'/venant de l'] utérus" etc.
En sumérien = Ma(5)-Ta :
Ma - 'lier', 'ligoter' ; Ma5 -
'moudre', 'broyer', 'brûler'
Ta ou Dá - 'nature'
"[Ce qui]
lie/ligote/écrase la nature".
~~~
En arabe : دين [pron. Din] signifie 'religion', 'jugement', 'dû', 'dette'
et en turque : Din désigne 'religion'.
En sumérien :
Din ou Tin
ou Di-In
Din=Tin - 'vivre', 'vie', 'vin', 'soigner'. Donc : "La vie" ou "Le vin"
ou "Le soin".
Di ou Ti - 'procès [tribunal]',
'jugement', 'verdict', 'décision'.
In - 'paille', terme proche du concept 'roseau' et du concept 'futile' ou 'chétif' ;
'lui', 'elle (=humains)' ; 'insulte', 'offense',
'invective'.
"Décisions [vitales écrites] [pour les] humains qui insultent".
"Jugement [pour les] humains [chétifs] qui offensent".
~~~~~~~
~~~~~~~
On pourrait se passer de commentaire ... mais quand
même !
[...] À suivre
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
FlorRaison, Le 17 Septembre 2017
[...] À suivre
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Irénée Sikora
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Photo by Harm Kuijers
Text and calligraphy by Irénée Sikora
Text and calligraphy by Irénée Sikora
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