L'étymologie du terme RELIGION
et au-delà
par Irénée Sikora ©FlorRaison
[2/2] VERSION FRANÇAISE ORIGINALE
LES AUTRES ANNALES
FlorRaison
L'étymologie du terme
RELIGION
et au-delà
par Irénée Sikora
[2/2]
© 2017, FlorRaison
CHAPITRE 2/2
[...]
On pourrait se passer de commentaire ... mais quand
même !
Dans tout ce contexte, l'existence de la Source de toutes les origines
est-Elle
mise en doute ? Avouons en toute honnêteté que pas le moins du monde.
Il
n'en est toutefois pas de même du bien-fondé de nos diverses religions.
Oui, bien évidemment ce qui est gris n'est pas
toujours forcément gris.
À l'intérieur de chaque religion il y a eu et il y a
des gens simples ou savants,
anonymes, connus voire même célèbres - hommes et
femmes -
à qui le prosélytisme n'a jamais représenté un intérêt
quelconque.
Des
gens honnêtes partis à la recherche d'un idéal dans le respect de
soi-même
et de l'autre, quelles que soient ses convictions. Des
gens imperturbablement
attisés par le besoin de se dépasser pour trouver
cette étincelle de Transparence
dont l'éclat œuvre à l'expansion du cœur et de
l'esprit, quelques-uns cherchant
même à réconcilier toutes nos croyances.
Ces gens peuvent avoir été ou être moines et moniales,
ouvriers, fermiers,
infirmières et médecins, thérapeutes, artistes,
écrivains, voyageurs ...
Le quotidien de tous ces gens n'a pas toujours été et
n'est pas nécessairement facile.
Les exemples sont multiples. Rien que dans un monde chrétien, citons
une
Hildegarde von Bingen, un François Guézou, une Marie Keyrouz* ...
La
noblesse de leur dimension humaine est une référence. Des personnages
de cette vibration, il y en a dans chaque religion sur
tous les continents.
*Longue était mon hésitation si je devrais donner quelques exemples de gens religieux remarquables
dans la dimension de leur humanité. Serait-ce approprié dans ce contexte ?
Au final je me suis dit : On y va.
Nous pourrions en dire autant de tous ceux qui,
stimulés pour les mêmes motifs
dans leur quête de l'idéal se déclarent comme
agnostiques et/ou matérialistes.
Et une fois de plus nous pourrions citer des exemples
édifiants,
la liste est longue.
Cependant, au travers de ces deux paradigmes :
religieux et non-religieux,
mensonge et abus corrodent notre univers. Ici et là,
des manipulateurs conscients
ou inconscients continuent de mener leur vie à l'écart
de toute transparence.
Pourquoi par exemple dans la catéchèse on n'enseigne
pas l'histoire de l'Église ?
C'est évident : parce que les hiérarchies ne le
souhaitent pas. Pourquoi ?
Parce que cette histoire n'est pas belle ? Parce que
l'Inquisition d'un autre temps
avec quelques modes d'emploi comment torturer les
infidèles n'a plus
d'intérêt historique ? Pourquoi, d'une manière ou
d'une autre, fait-on toujours
la guerre aux hérétiques ? Au nom de Dieu ? Au nom
d'une habitude ou d'un réflexe pavlovien ? Au nom de la tradition ? mais
laquelle, puisqu'il y en a tellement
sur cette planète ? S'agirait-il de la tradition de
tourner le dos à ceux qui ne sont pas
comme nous ou de celle de les agresser, sinon de les
convertir puisqu'ils
ne savent pas ce que sont bonheur et salut ? Parce que
telle religion est plus proche
de
Dieu que telle autre ? Au nom de l'amour ? Mais où est cet amour ? Ce
dieu,
pourquoi ne comprend-il qu'un seul langage ? Qui
est-il ? Pour qui le prend-on ?
Pourquoi
dans l'iconographie religieuse Adam et Ève sont-ils blancs de peau ?
Pourquoi
Jésus devait-il étudier l'Ancien Grec et le Sanskrit ? Et pourquoi parmi
nous, si nombreux sont ceux qui ne savent pas quelle
était sa langue maternelle ?
Quelques-uns disent : "Il n'est pas
important de le savoir". Vraiment
?
Que savons-nous sur Anne, sa grand-mère ? Pourquoi est-elle inexistante dans
les écritures canoniques ? Que pouvons-nous dire de l'enfance de Marie, sa mère ?
Et quelle était la véritable
place de
Miryam de Magdala dans la vie de Yeshua ?
Pourquoi à un moment la
censure de
l'Église décide d'effacer de son glossaire
le concept de réincarnation ? Et à propos des pères fondateurs de cette même
Église
obligatoirement figés dans leur époque, pourquoi certains d'entre eux
furent-ils misogynes à outrance ? Quel était leur véritable problème
jamais avoué
au monde ? Et ainsi de suite
et cætera et cætera et cætera
Un fleuve de questions. À l'origine ce fleuve porte
trois noms :
Tigre, Euphrat et Nil.
Hélas, aucune religion n'a été épargnée par toutes
sortes d'altérations,
d'incompréhensions, de détails interdits qui ont
généré tous les non-dits
et d'une légion d'inconséquences pour ne pas dire de
ravages.
Hélas, du côté de la non-religion, ce n'est guère
mieux.
Parmi les inconditionnels du matérialisme, nombreux
sont encore tous ceux qui
oublient trop vite l'exemple qui suit : Pas
exlusivement dans une Union Soviétique
on risquait sa vie si on osait croire en Dieu.
On risquait d'être dénoncé, banni,
emprisonné, torturé et éliminé. Parce que "Dieu
n'existe pas".
Pourquoi à un moment la Censure Laïque décide
d'effacer de son glossaire
le terme 'Sacré' comme si ce terme ne relevait
que du monopole de l'Église ?
Mais pourquoi fait-on toujours la guerre aux
hérétiques ? Au nom de Matière ?
Hum
... Qu'est-ce que
c'est que cette matière ? Qui est-elle ? Pour quoi et pour qui
la prend-on ? En tout cas, la matière, on l'étudie.
Nous ne savons pas pour autant
tout d'elle. Loin s'en faut. Pourquoi ? Une des
raisons et pas des moindres est
le fait qu'il existe des expériences en laboratoire
classées confidentielles que l'on
se
garde obstinément de dévoiler. L'existence-même de certains laboratoires
ne nous est pas connue ... Si, nous savons par exemple
où se trouve
la Bibliothèque du Vatican. Mais nous ne savons pas
par le menu détail
quels trésors inédits elle abrite. Parmi ces trésors
il y en a que l'on se garde
obstinément de dévoiler. L'existence-même de certains
documents ne nous est
pas connue ... Quelques-uns objectent : "Les
précieux originaux ne peuvent pas
être exposés aux rayons du
soleil" - joli
argument à double sens.
Et d'autres surenchérissent : "Il n'y a rien
en commun entre bibliothèques
et laboratoires". Ah bon ? Vraiment rien
? Personne n'a pensée jusqu'ici
à l'existence ne serait-ce que d'une bibliothèque
génétique ?
Temples, cryptes, écuries, châteaux et donjons.
Certains de ces édifices sont protégés par des
campagnes d'information filtrée,
des barrières électro-magnétiques et des frontières.
N'oublions pas que
Lo Stato della Città del Vaticano est un état
politique indépendant.
Mais pourquoi doit-il en être ainsi ? Est-ce que Dieu
a réellement besoin
d'être protégé, de vivre intra muros d'une forteresse
?
L'Humanité, ne peut-Elle s'adresser à la Source de
toutes les origines
que par les intermédiaires ? Et au final :
Avons-nous vraiment besoin de hiérarchies ?
Pendant la seconde guerre du Golfe Persique de 2003 et
donc
au moment de la présence des forces armées
nord-américaines et britanniques
sur le territoire de l'Irak, eut lieu la destruction
des musées et des bibliothèques.
De nombreux sites archéologiques ont été pillés et
dévastés.
Au moins 150 000 tablettes inconnues ont été
subtilisées.
On dirait que c'était plus important que le pétrole
...
~~~
Les outils utilisés par les manipulateurs sont au
nombre de 10 :
peur, cupidité, dogme, pouvoir, secret, ignorance,
intimidation, censure,
désinformation et responsabilité limitée.
Tout d'abord les manipulateurs ont peur. Ils ont peur
de perdre leur pouvoir
psychologique, économique et/ou politique, ce pouvoir
qui ne peut être réalisé
qu'à travers la structure d'une hiérarchie. Puisque la
religion relève de la psychologie,
les manipulateurs conscients ou inconscients d'être
manipulateurs s'y sentent à l'aise.
La
cupidité est la conséquence directe de cette même peur. En vue de garder
leur pouvoir, les manipulateurs maintiennent les
autres dans l'ignorance, d'où
la nécessité pour eux de ne jamais révéler les
secrets. D'où le recours à l'inertie
du dogme (tous les "ça ne se discute pas"),
à la censure et à l'intimidation.
Les
boîtes de tabous et de demi-vérités font partie d'un tel recours. Gardons à l'esprit
qu'une moindre demi-vérité n'est rien d'autre que
mensonge. La désinformation
est un outil privilégié des manipulateurs. Dans ce contexte il est évident
qu'ils
ont peur de responsabilité illimitée de leurs dires et de leurs actes.
D'où
leur vieil adage : 'Désolé, je n'étais pas au courant [véritable mais
voulue
ou
fausse ignorance], je n'en suis pas responsable; c'est lui, le subalterne/le
patron".
Puisqu'il est de loin plus facile de manipuler quand
les gens se querellent,
les manipulateurs n'hésitent pas à diviser les
peuples, groupes et races
et à maintenir les conflits pour continuer de
gouverner
sous le couvercle d'une construction dogmatique
implicite ou explicte.
Nous avons l'habitude de dire : "Les manipulateurs mondiaux ne veulent que
l'argent, le leadership et le pouvoir." Eh bien, pas vraiment. Ils ont besoin de quelque
chose de différent. Ils s'efforcent de nous approcher et concrètement d'être plus près
de notre Lumière sans pour autant faire le nécessaire pour se transformer
en leur for intérieur. En fait ils ne savent pas comment escalader la montagne.
C'est pourquoi depuis des millions d'années ils essaient de nous abaisser,
de nous faire descendre jusqu'à leur niveau.
DIEUX ET MONNAIES ET FRONTIÈRES NE SONT QUE DES PROGICIELS CONÇUS
POUR MAINTENIR AUSSI BAS QUE CELA SE PEUT LE TAUX DE VIBRATION VITALE
DES HUMAINS.
Cela est valable pour la fréquence KI [terme sumérien] de la Terre qui est celle
du paradigme de la lutte pour la survie et du fatalisme. Mais la situation change :
cette fréquence augmente et nous entrons dans le paradigme de la souveraineté intégrale
de chaque être humain, ce qui a pour conséquence le fait que nous devenons des maîtres
complémentaires et égaux de notre réalité. Ce n'est pas pour après-demain
mais pour demain. Toutes ces considérations font que nous avons intérêt
à nous y préparer aujourd'hui.
Les déluges passent et les décors changent,
mais les méthodes restent les mêmes.
Que peut-on faire ? Énormément.
Surtout que maintenant nous vivons dans une période
cosmique exceptionnelle qui
est celle de la fin d'un grand cycle du dédoublement
de la perception du temps,
démonstrations scientifiques à l'appui* (malgré le
fait que celles-ci ne sont toujours
pas suffisamment diffusées). Passé, Présent et Futur,
en tant que trois plans temporels
parallels simultanés, se rapprochent, chacun d'eux se
déroulant à une vitesse différente.
C'est la raison principale pourquoi, par les
ouvertures temporelles, nous obtenons
de plus en plus vite un nombre croissant
d'informations sur notre passé le plus lointain.
C'est aussi une des raisons pourquoi nous devenons de plus en plus
intuitifs.
Nous réapprenons à quoi sert l'intuition et comment
nous en servir. Qui plus est,
de plus en plus nombreux parmi nous sont aujourd'hui
ceux qui développent leurs
capacités télépathiques. Nous n'avons plus tellement
besoin d'écouter les discours,
il nous suffit d'observer le langage du corps, les
expressions d'un visage et de sentir
l'aura d'un beau parleur pour voir s'il est honnête.
Souvent nous constatons que
l'habit ne fait pas le moine. C'est une excellente
nouvelle : à tous les niveaux
de la société il devient de plus en plus difficile de
mentir. D'où l'impératif de
maîtriser nos propres pensées. D'où la nécessité de
comprendre que notre
responsabilité personnelle de toutes nos pensées est
illimitée.
La science démontre aujourd'hui que ce n'est pas la
réalité qui
conditionne la pensée, mais la pensée qui conditionne
et façonne la réalité.
Au commencement était le Verbe ... Puisque nous le
savons, soyons cohérents.
La
transformation vient de l'intérieur de chacun de nous. Les humains ne sont
pas faits pour être compétitifs, mais pour coopérer.
Toutes nos différences
constituent notre richesse. Nous sommes puissants
quand nous allons les uns
vers les autres pour échanger nos expériences,
travailler
et faire la fête ensemble.
Les remparts s'écroulent et les voilent se lèvent.
Pour évoluer en tant qu'espèce, il faut que nous nous
remémorions notre passé
le plus lointain, sinon on tourne en rond et on
n'arrive nulle part.
Cette une tâche enrichissante, noble et inévitable. Pour ne pas réitérer les erreurs
et pour embrasser le Nouveau, il nous faut tirer des
leçons
de notre Histoire Planétaire.
Les moyens dont nous avons tellement besoin dans cette
tâche sont sous nos pieds.
Les Védas et Mahabharata (l'Inde), Enûma Eliš (l'Akkad), Iliade et Thimée (Grèce),
les
manuscrits de Qumrân (La Mer Morte) et ceux de Nag Hammadi
(Égypte),
le sceau-cylindre (Sumer) Ur n° U.14597=CBS.31.16.603 (University Museum of
Pennsylvania), la Bible, les textes Apocryphes et Gnostiques, les textes décryptés de
Thot relatifs à l'A'amenptah
(Atlantide) gravés sur les parois du temple d'Horus à Edfu
(Égypte), un nombre
incalculable d'artefacts trouvés sur tous les continents, les sites
de Gigal
(ou Gizeh, Égypte), Göbekli Tepe (Turquie), Carnac (France), Stonehenge
(Angleterre), Puma Punku
(Bolivie), Machu Picchu, Pampas de Jumana et Nazca (Pérou),
Tula (Mexique), Rapa
Nui ou Île de Pâques (Pacifique), Borobudur (Indonésie),
l'antique architecture
sous-marine de Yonaguni (Japon),
le phénomène d'agroglyphes etc.
etc. etc. etc.
...
Des centaines de milliers de preuves.
Et voici le paradoxe :
Ce sont toutes ces preuves qui ... écrasent l'étourdissante
majorité d'entre nous.
Pourquoi écrasent ?
Parce que, en tant qu'espèce, nous avons un sérieux
problème psychologique.
La religion établit que nous sommes la couronne de la
création divine.
La science établit que nous sommes le point culminant de
l'évolution.
Et
nous sommes dans l'attente.
D'un côté nous attendons l'arrivée d'un grand esprit
scientifique expert en génétique
qui va nous fournir un outil permettant de désactiver
une séquence clé spécifique
qui a été identifiée dans le codon responsable de
toute défaillance organique
et
de vieillissement. De l'autre côté, nous attendons l'arrivée d'un manu, d'un
kachina,
d'un
messie, d'un sauveur, d'un libérateur - cela dépend de la religion - qui va
enfin
nous
fournir la clé du bonheur et de la vie éternelle exempte de toute maladie.
L'ultime horizon est le même. Dans les deux camps,
nous attendons
la même récompense dont le nom est Immortalité.
Entre-temps nous nous tournons le dos ou nous tuons.
Mais le paradoxe ne se termine pas là.
Nous sommes libres d'accepter l'évidence que des
extraterrestres visitent notre monde
depuis des temps immémoriaux, mais nous avons peur
d'une telle acceptation.
Pourquoi ? Parce que ces extraterrestres seraient
méchants ? Non.
Parce que religion et science s'en trouveraient
irrévocablement compromises :
En cas d'acceptation, nous ne sommes plus la couronne
de la création divine,
ni le point culminant de l'évolution.
Quand nous avons peur, nous devenons vulnérables. Nous
servons alors
de cible facile aux manipulations en tous genres et
nous sommes manipulés.
Par conséquent, sans nécessairement nous en apercevoir
et bien plus
souvent qu'on ne le croit, nous manipulons nous-mêmes.
Comme disent Paul Auster et tant d'autres artistes
:
nous
vivons dans un monde de mensonges. J'ajouterai :
dans
un monde de mensonges nourris par les humains que la matière écrase.
Bon, le matérialisme relève de la psychologie, on le sait. Alors ?
Alors le lavage de cerveaux continue. Maintenant nous avons une religion parallèle
dénommée
Technologie. Nous croyons que sans technologie nous sommes des
perdants,
que sans elle nous ne pourrons envahir les cieux ... Sournoisement la technologie
supplante l'éducation. Certains gouvernements en profitent dans tous les sens du verbe
'profiter' et lancent par exemple que "Les médias et l'internet en tant que deux variantes
technologiques suffisent pour nous informer et nous éduquer. Soyons modernes :
l'éducation n'a pas besoin de subventions. Les études supérieures ne sont réservées
que pour les élites.". À l'évidence certains gouvernements tiennent à ce que
les peuples ne soient pas trop éclairés. Ce genre de pensées est dangereux.
Qui sommes-nous ?
Nous sommes une espèce humanoïde simiesque
conçue génétiquement par quelques
groupes
de planificateurs dénommés Kadištu en proto-sumérien et Elohim en hébreu.
Pendant longtemps, les généticiens de l'espèce
Gina'abul occupent la place centrale
dans cette conception. Les Gina'abul sont une espèce
humanoïde reptilienne.
Leur organisme subit périodiquement le phénomène
Gibil'lásu (en sum.), c'est-à-dire
renouvellement de la peau, un des éléments contribuant
à une longévité spectaculaire.
Quelques-uns d'entre les êtres de cette espèce eurent
des rapports sexuels avec
des humains sélectionnés, ce qui eut pour effet
l'apparition d'une souche
d'humanoïdes hybrides. En tant que colonisateurs, ils
le firent primordialement
pour des motifs socio-politiques.
Les Gina'abul ne sont pas une espèce génétiquement homogène.
Sur la planète Terre, sept sous-groupes Gina'abul
jouent un rôle essentiel. Ce sont
les Abgal, les Amašutum, les Nungal, les Ušumgal, les Babbar, les Anunna et les Mušgir.
Dans cette famille, les Mušgir ont la fréquence de la
force-intelligence vitale
la
moins élevée. Elle se situe dans le bas astral. Attirés par la lumière de notre
réalité,
ces
êtres en ont peur et ne comprennent pas la fréquence dans laquelle nous les
humains
évoluons. La fréquence des
Anunna-Ki (Anunna-sur Terre) est juste au-dessus de
la fréquence Mušgir. Les Anunna évoluent sur les notes
les plus basses dans notre
fréquence. Hiérarchies, divisions et manipulations
sont de leur ressort, ils y excellent.
Ajoutons que les Babbar sont les concepteurs des Mìmínu connus de nous
sous le nom Zeta Reticuli ou Gris. La fréquence de la force-intelligence vitale
la plus
élevée caractérise les Abgal. Ce sont des êtres pacifiques, les plus avancés
spirituellement, de grands scientifiques et de véritables civilisateurs. Leurs gènes sont
en
grande partie amphibiens. Précisons que cette mozaïque est plus complexe.
Il
exite aussi des hybrides entre ces sept groupes. Par exemple le corps
de Horus du panthéon des déités égyptiennes a en lui le matériel
génétique Babbar, Ušumgal,
Amašutum et Abgal. Il va de soi que chacun de ses sous-groupes est caractérisé par
un fonctionnement psychologique particulier. Mais il existe un trait mental commun
implicite qui relie tous ces êtres tout aussi bien que certains humais lequel
se résume comme suit :
Un renseignement est donné si une question est posée, en d'autres mots -
Pas de question ? Pas de réponse.
Quoi qu'il en soit, nous sommes tous des hybrides ...
L'Humanité a été asservie par ces êtres, c'est un
fait. Mais pas tous les Gina'abul
sont inamicaux à notre égard. Quelques-uns d'entre
eux, dans un premier temps clandestinement, nous ont instruits : nous avons
appris l'agriculture, la couture,
la métallurgie, l'architecture, les langages, l'écriture, les arts
ainsi que
quelques formes de spiritualité pure exempte d'endoctrinement sectaire et religieux.
Il y a toutefois toujours eu deux domaines aux deux extrémités de la science
auxquels l'homo sapiens n'avait jamais été initié : médecine** (parce qu'elle englobe
la
génétique) et aéronautique. Cela dit, des groupuscules d'humains sélectionnés ont
été et sont initiés à ces deux sciences, sauf que tous ces gens ont l'interdiction formelle
de divulguer quoi que ce soit sous la menace d'être bannis et/ou éliminés.
En contrepartie, les récompenses pour ce genre de service peuvent être faramineuses.
Notre système économique mondial qui a toujours inclu une constellation
de comptes en banque secrets, donne son aval tacite à ces pratiques.
**Excepté la médecine dans sa variante la plus douce, c'est-à-dire homéopathique
basée sur des herbes médicinales.
Par le passé lointain, quelques-uns d'entre nous avaient été les témoins
d'événements
insolites, d'enlèvements hors du commun, de visites en apparence
surnaturelles, mais nous n'avions pas de vocabulaire adéquat. Maintes
fois
le terme 'Cieux' ne signifie pas voûte telle qu'on la perçoit depuis la Terre, mais
'Espace cosmique'. Les Gigir-An (en Proto-Sum.) signifiant Chars du Ciel, Vimāna
(en Sanskrit Védique) pour Chars des Dieux, Nisighu d'Asar-Osiris et Geg-Hu
de Heru-Horus (en Re'enkemet) respectivement pour L'Oiseau bleu et Le Cri du
Divin Faucon qui frappe, barques et amarres célestes (dans le récit 'Enlíl et Ninlíl')
etc. sont des vaisseaux de l'espace. Diranna signifie Porte des Étoiles.
Tout comme les termes proto-sumériens provenant directement de la génétique :
Siensišár et Uzumua qui sont l'équivalent de Matrices artificielles,
Im-A signifiant ADN (!), Alağní pour Puissante image ou Clone,
Nudimmud pour Cloneur ...
Avec nos yeux modernes,
nous sommes capables de voir que derrière l'écran de paraboles
et diverses expressions poétiques, il y a une réalité scientifique qui n'a rien de la fiction.
Toutes ces figures mythiques, tous ces dieux qui atterirent sur notre planète
en d'autres temps n'étaient pas des dieux, mais nous les avions pris comme tels.
Aujourd'hui notre conception de Dieu unique est en train de changer, elle aussi.
Vers quel horizon partons-nous maintenant ?
Vers l'horizon de la Transparence, c'est ce que je pense en toute honnêteté.
Si nous aspirons à évoluer en qualité d'espèce intelligente, c'est pour nous
le seul horizon valable. Choisir d'autres horizons est simplement suicidaire.
La Transparence est une exigence.
Il nous faut impérativement délaisser la manipulation à tous les niveaux.
Pour ce faire, nous devons élever notre taux vibratoire, c'est une question de longueur
d'onde, de fréquence. Ça vaut la peine du fait que nos corps physiques retreveront
une meilleure immunité et au final la santé. C'est maintenant plus facile,
puisque Le Système Solaire s'élève en fréquence. Tous ceux qui veulent s'élever
sans renoncer à la manipulation, ne pourront pas s'élever. Ils ont le choix de
se transformer en arrêteant de mentir ou de quitter cette réalité spatio-temporelle.
Nous ne sommes pas seuls. Nous ne l'avons jamais été.
Si nous sommes divisés, querelleurs, angoissés et rancuniers, si nous nous
considérons comme victimes, nous attirons des êtres de l'espace évolunat
dans une telle fréquence, des êtres experts en manipulation.
Si nous devenons honnêtes, ouverts et coopératifs, nous attirons vers nous
des êtres de l'espace adéquats. C'est une question de fréquence,
c'est toujours une question de longueur d'onde. Ça vaut la peine, parce que
nous pouvons apprendre beaucoup de choses fascinantes de ces êtres.
Ils regardent si nous sommes prêts ou pas.
Quelques généticiens en provenance de l'espace continuent de vivre parmi nous.
Aujourd'hui il faut comprendre que : eux plus nous égalent Nous Tous.
L'Humanité sur Terre ne se limite pas à l'espèce Homo Sapiens. Alors ?
Mettons-nous à travailler ensemble en notre statut de partenaires égaux.
C'est une invitation.
Qu'en est-il de la Source de toutes les origines ?
Son Intelligence Infinie traverse tous les univers, tous les corps célestes, paysages,
objets et organismes, toutes les ondes-particules de notre corps biologique et l'espace
où elles se meuvent, nous le savons au plus intime de l'indestructible Essence
de qui nous sommes. Nous pouvons communiquer avec cette Source
à tout instant et dans les ouvertures temporelles.
Pour communiquer avec chacun de nous, la Source de toutes les origines
n'a besoin ni de gène, ni de technologie, ni de hiérarchie, ni de demi-vérité.
Heureux d'être aujourd'hui sur Terre, je coopère avec des gens ouverts d'esprit et de cœur. Horizons, nationalités, orientations, religions et non-religions, professions, explorations,
fascinations, couleurs, traditions, langues, défis, générations, rêves, cultures ...
quelle mozaïque humaine fabuleuse ! Quel monde de questions !
C'est le moment de se rendre à l'évidence :
La Réponse est en nous-mêmes.
Un jour nous allons mettre en cause la prétendue couleur blanche de la peau
de la première lignée génétique adamique Homo Sapiens Sapiens.
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L'étymologie du terme RELIGION et au-delà
[1/2] et [2/2]
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FlorRaison, Le 17 Septembre 2017
Irénée Sikora
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