05/03/2023

ORION by Irénée Sikora (Fr-Eng)

 


               ORION
     05/03/2023      
      12/03/2020

 





LA  CONSTELLATION D'ORION 
PAR  IRÉNÉE SIKORA



Ce texte paraîtra peut-être trop linguistique dans certaines parties, 
mais je demande à mes Lecteurs de ne pas se décourager, car mon objectif est 
de transmettre un message accessible à tous ceux qui ne se considèrent pas 
comme des linguistes. C'est un peu comme aux échecs : on se laisse emporter avec 
une passion croissante par ce que ce jeu contient dans son potentiel au fur et à mesure 
que l'on se familiarise avec les règles et les coups anticipés sur l'échiquier. 
C'est très instructif. Un détail : je ne demande pas à mes Lecteurs d'adhérer à tout 
sur quoi je spécule. Que chacun écoute la voix issue des strates les plus profondes 
de son Intuition. Je me tiens ouvert à vos remarques ainsi qu'à vos questions,
prêt à y répondre s'il y en a et si je me trouve capable de le faire. 
Je ne sais pas tout, mais je cherche parce que l'investigation fait partie 
de la nature de mon âme dont quelques réminiscences vivantes inscrites 
dans d'autres espaces-temps simultanés au nôtre, ont été identifiées 
et exposées à la disposition de mon esprit analytique.


Pour rappel, la langue sumérienne épelée 𒅴𒀭 [Eme-An] ("langage du Ciel") 
ou aussi 𒅴𒂠 [Eme-Gi7(r)] ("langage noble, civilisé, d'origine") fait son apparition 
sur Terre longtemps avant l'hébreu, l'araméen, le grec, le turc, le perse, l'arabe, le mandarin.
Il est fort probable qu'elle apparaît avant le Sanskrit et même avant le Re'EnKemet 
qui est un langage hybride des pharaons en Égypte. Le sumérien n'appartient pas 
à la famille des langues indo-européennes. En fait, il n'appartient à aucune 
famille linguistique sur notre planète. Le sumérien a toutefois exercé 
une influence indéniable sur la codification de nombreux langages postérieurs 
tels que l'akkadien divisé subséquemment en assyrien et babilonien en Mésopotamie 
(qui sont des langues sémitiques), le turc et plus tard d'autres langues.

De ce fait, ma recherche sera balisée essentiellement par la référence 
archétymologique sumérienne qui, dans cette étude, s'avère incontournable.

D'aucuns supposent que le nom "Orion" pourrait provenir d'un terme proto-sumérien 
hypothétique Uruanna décomposé en Uru-Anna. Après une recherche approfondie 
que j'ai effectuée pour clarifier ce point, rien ne me permet de valider cette piste, 
ce terme n'ayant pas été répertorié dans les archives. Le premier terme Ùru(m) 
ne se réfère pas uniquement à 'Lumière', mais aussi aux verbes 'garder' et 'surveiller'. 
Son homophone Uru2 désigne 'inondation dévastatrice'. 
Nous verrons plus loin en détail les significations du morphème sumérien Ur(u).

Étant donné que la voyelle O n'existe pas en sumérien, 
il est légitime de la remplacer par U. Pour ce qui est du mot Anna, il faut vérifier 
s'il existe des altérations entre A et U. Dans les séries de mots sumériens de type 
V (Voyelle unique), VC (Voyelle-Consonne) et CV (Consonne-Voyelle), 
les cas de passage de la voyelle U à la voyelle A et vice versa sont très sporadiques, 
comptés seulement en quelques exemples (Uh → Ah = 'esclavagiste';   U → A6 = 'dix';   
Mù → Ma5 = 'broyer';   Su → Sa = 'remplir'    Nú → Ná = 'dormir' ...). 
Dans ces circonstances, la traduction de Uru-Anna en "Lumière du Ciel" 
comme certains le souhaitent, s'avère unilatérale et inexacte.

Il est établi que le mot hébreu חַנָּה‎ [ḥannāh] Hannah désignant 'faveur' ou 'grâce', 
est devenu le prénom Anna dans de nombreuses langues. Tel n'est pas le cas 
en ce qui concerne le terme prétendument sumérien Anna et le traduire par 'Ciel' 
est incomplet et donc incorrect. Seul le mot sumérien An a la signification 'Ciel', 
tandis que Na sumérien a la fonction d'affixe modal (plutôt préfixe), emphatique 
au passé, ainsi que de "non" (négation) en corrélation avec le temps présent. 
C'est pourquoi, la décomposition de Anna en An-Na nous mène vers des issues 
sémantiques comme : "Ciel [du] passé" ou "Ciel d'un autre temps" ou "Pas de Ciel" 
ou "Annihilation du Ciel". Cela dit, le morphème sumérien Na aux conséquences
 sémantiques non anodines, semble (involontairement ?) justifié, si nous 
n'écartons pas l'analyse linguistique d'autres termes liés directement 
ou indirectement à Orion tels qu'ils existent dans le langage sumérien 
et aussi dans de nombreuses langues sur Terre dont l'akkadien, le perse, 
le Re'EnKemet, le mandarin classique, le sanskrit, le turc, le grec ancien, le hopi ...

La décomposition de Uru-Anna en Uru-An-Na/Nu(d) ou en Uri-I-An-Na ou encore
en Ur-Ri-An-Na/Nu  où  chaque morphème est porteur d'un champ sémantique flexible 
en fonction de son voisinage morphologique direct, nous amène à plusieurs traductions 
telles que : "Inondation dévastatrice du ciel [passé]", "Désastre dans l'espace 
céleste passé", "Puissant ennemi chassant [depuis/dans] le ciel passé", 
"Guerriers incandescents protégeant [le passé]", "Douloureux désastre lumineux 
du ciel [passé/d'un autre temps]", quelques autres variantes sont envisageables. 
Si on enlève le dernier morphème Na, on obtient Uru-An et dans ce cas, 
nos traductions restent les mêmes avec l'omission de l'équivalent "passé" 
quelquefois interprété moins spécifiquement par "d'un autre temps".

Si le terme 'Anna' est remplacé par 'Unu2' signifiant 'forteresse', on pourrait traduire 
Uru-Unu2 à titre d'exemple par "Forteresse des guerriers flamboyants".

Il est important de savoir que dans le lexique sumérien il existe un terme précis 
désignat Orion. Ce terme est SIPAZIANNA. Sa décomposition morphologique 
phonétique en Si-Pa(4)-Zi-An-Na ou Sì-Pa/à-Zi-An-Na ou Sipa(d)-I/zi-An-Na 
ou Si-Pa4-Az-I-An-Na ou encore Sì-Pah-Zi(l)-An-Na, nous amène à quelques issues 
sémantiques telles que :"Gardiens incandescents silencieux [dans] le ciel d'autrefois", 
"Meneurs ancestraux sillonnant le ciel [malade] d'un autre temps", 
"Lumière radiante conservée annihilant la vie du/dans le ciel", "Cause d'emprise et 
de soumission du souffle (de vie) du ciel", "Ce qui détruit par le feu la vie du ciel".

En Mésopotamie, le terme akkadien désignant Orion est Šitaddalu ou plus 
brièvement Šidallu. La décomposition de ce terme en morphèmes sumériens 
Šita4/5-Da(5)-Al-Lu ou Šid-Dal-Lú ou Ši-Dalla-Lù nous mène vers d'autres issues 
sémantiques telles que : "[Ceux qui] assaillent et ligotent la lumière lointaine agitée", 
"De nombreux et lointains chasseurs protecteurs de la mémoire", "De nombreux 
chasseurs fulgurants qui ligotent la mémoire".

Là-dessus, revenons au morphème sumérien Ur(u) et ses variantes homophiniques 
pour voir de quoi est composé leur champ sémantique. Ur = 'guerrier', 'trembler'.   
Ur2 = 'récolter', 'inonder', 'éliminer'. Ur4 = 'chasser'. Uru2 = 'inondation dévastatrice', 'orage'.
Ú, Uru16 = 'valeureux', 'puissant'.   Ùru(m) = 'lumière', 'incandescent' ; 'surveiller'. 
La seule voyelle U est porteuse de significations pertinentes dans notre analyse : 
U(d)4 = 'lumière', '[espace-]temps', 'tempête (comme le mal)'. Ù = 'sommeil'. U3 = 'bataille'. 
Ici, les morphèmes Ur4 et Uru2, tout en faisant référence aux chasseurs et au désastre, 
contiennent la composante sémantique implicite liée à l'impétuosité née de la colère
Ces deux morphèmes revêtent une importance particulière, car ils semblent avoir eu 
un impact majeur sur d'autres langues sur Terre. Observons ne serait-ce que 
ces quatres exemples suivants : En sanskrit : हीर [hIra] = 'coup de foudre'. 
En grec ancien : Ἄρη-ς [are-s] = divinité de la tempête ; 'guerre', 'guerrier'. 
En turc : ur = 'tumeur'. En latin : īra = 'rage', 'fureur', 'colère'.

La Constellation d'Orion en Re'EnKemet qui en Égypte était le langage des pharaons, 
est SAH(u) dont le hiéroglyphe est la représentation de 3 colonnes verticales, 
piliers ou cordes. En chinois classique, Orion est :  [Sān] = 'connecter' et phonétiquement 
le nombre '3'. Phonétiquement proche de  [Ší] 'temps' +  [Jiān] 'entre' et 
'espace' = 时间 [Šíjiān] = "entre les temps" ou plus spécifiquement "entre les différents 
espaces-temps". En sumérien, le morphème Sa signifie 'Corde/Connexion' 
et le morphème An signifie 'Ciel'. Une pure coïncidence ?

Il est intéressant d'ajouter le morphème sumérien Sa(g̃) qui signifie 'leader', 'premier' 
ainsi que 'capturé' et 'esclave'. En sanskrit, le mot शोक [zoka] ou [sok(h)a] 
signifie 'affliction', 'flamme', 'agitation', 'angoisse'. En hindi, le nom Orion en tant que 
chasseur est शिका [šika-ar]. En persan, Orion en tant que chasseur est شکارچی [šikārjī]
("celui qui chasse") où چی [šik] désigne 'chasse'. Dans la langue hopi en Arizona, 
le mot Soohu signifie 'étoile' et donc est apparenté avec le ciel. 

Maintenant comparons : le 'Sah(u)' égyptien avec le शोक [Sok-a] en sanskrit, 
le چی [šik] en persan, le 'Soohu' en hopi, le 'Sag̃' en sumérien et le  [Sān] 
en chinois classique. Une fois de plus, une pure coïncidence ? 

Étant donné qu'une partie de la Constellation d'Orion abrite une zone ombrageuse 
identifiée comme Nébuleuse M42, il est intéressant de noter que dans la langue sumérienne 
le terme Ganzer ou plus spécifiquement Ga'Ansir semble s'y référer. 
Ce terme décomposé en Ga-An-S(z)ír où Ga = 'lait',   An = 'ciel'   et   S(z)í(ù)r = 'densité', 
'fébrile', 'affaiblir', 'drainer' et 'anéantir', peut être traduit par "Assombrissement du 
lait du ciel" ou "Drainage du lait céleste" ou encore "Anéantissement du lait céleste". 
Le terme sumérien Ganzer en tant qu'unité sémantique autonome, 
se traduit aussi par "ténèbres", "obscurité" ou "enfer". 

"[...] la lumière qui était sortie du silence [...] se mut hors du milieu et s'en retourna 
vers (son) lieu. Alors le nuage irradia et de lui jaillit un feu inextinguible. 
Quant à la partie qui s'était séparée de l'étonnement, elle s'était revêtue de l'Oubli ; 
elle avait été trompée par le feu obscur. Or le trouble de son agitation rejeta 
le fardeau de la nuée. (Ce fardeau) était mauvais, puisqu'il n'était pas pur."
Paraphrase de Sem in 14,17-15,2. 

Les grands spécialistes univeritaires en littérature gnostique pourvoient leurs analyses 
linguistiques remarquables, pertinentes et très intéressantes en nous offrant 
des interprétations relatives aux domaines de la spiritualité, de la mythologie, 
de la philosophie, de la cosmogonie et de l'histoire de la littérature sans pour autant 
oser spéculer plus en profondeur sur les corrélations astrologiques ainsi que 
les potentielles origines scientifiques, donc aussi technologiques et astronomiques 
de tous ces écrits. Cela nous amènerait à ne pas écarter l'option selon laquelle 
ce qui est narré dans ces documents, relève d'événements historiques 
advenus dans un passé fort lointain à l'échelle cosmique du temps. 

Très proches à l'échelle des distances intersidérales, notre Système Solaire 
et la Constellation d'Orion se trouvent dans un même bras galactique dénommé 
Bras d'Orion ou parfois Éperon d'Orion. Pour nos yeux, les quatre étoiles les plus 
brillantes de cette constellation sont désignées par les noms  
Rigel, Bételgeuse, Bellatrix et Saïph. Dans une région de la Constellation d'Orion 
se trouve la célèbre zone ombrageuse identifiée comme Nébuleuse M42.

S'il existe des connexions spécifiques assurées par des couloirs inter-temporels 
de type tachyonique entre notre Système Solaire et la Constellation d'Orion, 
et si l'on considère qu'une telle probabilité n'est pas dénuée de sens, on peut alors 
se demander en quoi consisterait cette spécificité. Selon ma compréhension, 
 elle consiste en perturbations en termes de fluidité des déplacements de voyageurs 
à l'intérieur de ces couloirs. Ces perturbations auraient eu pour origine 
un événement cataclysmique dont le résultat visible même à l'œil nu 
depuis la Terre est exactement la Nébuleuse M42.

Nous pouvons nous interroger sur la cause de l'existence de cette nébuleuse. 
Dans les documents apocryphes et gnostiques (qui ont été rejetés par l'Église Chrétienne)
dont "De l'Origine du Monde", "Traité Tripartite", "Paraphrase de Sem" et quelques autres,
plusieurs passages évoquent un cataclysme ou une série de cataclysmes d'amplitude 
cosmique. Un détail ne saurait passer inaperçu à quiconque lit attentivement ces textes : 
Un groupe d'humanoïdes non anonymes est affecté à une ou plusieurs nuées radiantes 
qui abritent également l'obscurité. Cette obscurité aurait donc directement concerné 
les humanoïdes évoqués ainsi qu'une région céleste concrète, 
puisqu'elle est localisée dans une partie de la Constellation d'Orion.

L'un des nombreux noms de ces humanoïdes énigmatiques, celui qui semble 
avoir une signification exceptionnelle en raison de sa singularité, est Adamas.   

La décomposition du nom Adamas en deux morphèmes sumériens Ada-Maš :
où Ada = 'ancêtre(s)' et Adda = 'cadavre', 'squelette' + Maš = 'demi', 'jumeau', 'double', 
nous conduit à des désignations comme celles-ci : "les ancêtres de la moitié", 
"le jumeau mort/de la mort", "les ancêtres du dédoublement". 

Originellement, Adamas aurait pu désigner un seul être qui donna la vie à sa progéniture 
en instaurant ainsi une lignée Adamas. Il n'est pas déraisonnable d'envisager 
le scénario selon lequel Adamas fut non seulement androgyne, mais aussi un être 
doté de triple puissance, c'est-à-dire ayant la faculté de parthénogenèse, 
du grec παρθένος [parthénos] ='mâle puceau/femelle vierge
et par extrapolation 'immaculé(e)' + γένεσις [génesis] = 'naissance', 
donc Παρθενογένεση, une caractéristique de reproduction monoparentale. 
Nous retrouvons l'équivalent de ce mot dans le terme sumérien Agarin 
qui désigne au singulier un seul être non divisible : 'mère' et 'père' et 'utérus/matrice'. 

Alors citons : "Adamas [singuler ou pluriel] existai[en]t dans la première 
nuée lumineuse, celle qu'aucun Ange n'avait jamais vue parmi tous ceux 
appelés dieu[x]. [...] La multitude de ces immortels fut appelés Cosmos, 
c'est-à-dire Corruption (ou encore Perdition) [...].
L'Évangile de Judas in 48,21 et 50,11 (Extraits).

Les Adamas auraient-ils été des Cosmos ? Là-dessus, je me suis attardé 
sur le mot-serrure : Kosmos. Quelle est la clef pour cette serrure ?

Allons voir ... La décomposition du terme KOSMOS en morphèmes sumériens 
se présente comme suit :  Kuš7-Muš    où Kuš7 = 'dévastation', 'destruction' ;
Kù = 'brillant', 'noble' ;   Kúš = 'à bout de souffle' ; 
Muš = 'serpent' où Mu/ú(d) = 'qui fait peur', 'sanguin' et Úš = 'mort', 'tuer', 'mourir' ; 
Uš11 = 'crachat', 'venin', 'poison'. 
Mais aussi :
Ùš = 'membrane placentaire', 'postnatal' et '[nouvel/le] ordre/naissance'.

En grec ancien Κόσμος reprend seulement la séquence cohérente et édifiante du vaste 
champ sémantique de Kosmos, donc ici le synonyme d'Ordre harmonieux dans l'Univers
On peut se demander pourquoi. Eh bien, deux explications sont alors envisageables. 
Ou bien Kosmos désigne un ordre harmonieux nouveau dans l'Univers, advenu  
implicitement après une ère de chaos, ou bien, longtemps avant le chaos 
il y eut un temps harmonieux initial contenant toutes les potentialités événementielles 
d'avant le dédoublement de la perception du temps (et de l'espace).
Juste mentionnons à ce propos que les Grecs anciens de notre antiquité historique 
connaissainent le phénomène du dédoublement des temps.

"Entre l'Être indivisible (Créateur) qui reste toujours le même et l'Être divisible (Double) 
qui devient dans les corps, il [Créateur suprême] forma par un mélange des deux 
une troisième sorte d'Être (Créature)." Timée, Platon. Cette connaissance englobe 
les réalités des enfers sous le nom ᾍδης [Háidês] pour les Grecs.

Les Égyptiens et les Sumériens connaissaient aussi le phénomène du dédoublement des temps
  qui est directement lié aux six intermittences ou ouvertures temporelles cosmiques jour-nuit 
débouchant sur la septième. Ce sont les douze portes (six jours alternés par six nuits) 
reliées par un serpent dans la contrée des morts pour les pharaons et ce sont 
les six alternances jour-nuit débouchant sur la septième permettant 
de sortir des enfers pour les Sumériens.

Ainsi, considérer pour une fois Kosmos non pas en tant qu'espace, mais en tant que race,
est très intéressant. Les morphèmes sumériens Kuš7+Muš révèlent plusieurs issues 
sémantiques pertinentes et complémentaires telles que : "serpents destructeurs essoufflés", 
"nobles serpents de la dévastation", "brillants serpents de la mort", "serpents effraynats de la destruction" et aussi "serpents venimeux de l'ordre [nouveau] [établi] par la destruction".

Le fait que la lignée des Adamas-Kosmos représente une race humanoïde de type reptilien 
est donc manifeste. Le fait que le nom de cette lignée contient l'idée du dédoublement
s'avère de première importance dans notre analyse. Cela nous permet d'envisager l'option 
selon laquelle l'espèce reptilienne concernée n'est pas homogène, tout du moins 
à l'intérieur de certains cycles cosmiques du temps. Cela concorde avec de nombreux 
écrits gnostiques que cette étude ne me permet pas de développer, le sujet étant trop vaste.

Je n'éprouve aucune tentation de porter un jugement quelconque sur la lignée 
Adamas-Kosmos. Il est probable qu'à un moment donné inscrit dans un passé cosmique 
fort lointain, quelques-uns d'entre les individus de cette lignée étaient partis 
à la recherche de l'identification de leur origine. Ils auraient disposé d'une technologie 
leur permettant d'utiliser les couloirs intertemporels pour explorer l'espace de notre 
Voie Lactée et peut-être d'autres galaxies dans notre Univers. Il n'est pas improbable 
que ces individus aient pu cartographier et sillonner la région céleste délimitée 
par la Constellation d'Orion. À un moment, advenu avant ou après l'exploration 
de cette constellation, ces individus auraient pu s'être rapprochés de la région centrale 
de notre Voie Lactée pour en étudier la signature énergétrique porteuse 
d'information fossile sur l'origine de notre Réalité potentiellement multiple. 

 Il n'est pas improbable que ces individus aient découvert et compris 
qu'eux mêmes étaient des créatures résultant d'une séparation d'avec leurs doubles, 
ces doubles étant leurs créateurs et que cette séparation implique le fait que 
créateurs et créatures évoluent simultanément dans des temps différents. 
Puisque le Passé, le Présent et le Futur se déploient simultanément chacun 
à une autre vitesse de propagation de la Lumière, il est important de se rappeler 
que le Passé se déroule plus lentement par rapport au Présent, pendant que 
le Futur se déroule plus vite par rapport au Présent et donc encore plus vite 
par rapport au Passé. Les échanges d'informations entre ces trois temps 
ne sont réalisables que par les ouvertures temportelles. 

Cela signifie que s'informer au Présent sur un futur stupide, chaotique et dangereux 
pour l'éviter est possible. Puisque pour les êtres évoluant dans le futur, ce futur est 
Leur Temps Présent, depuis la perspective de ces êtres, Notre Temps Présent 
est Leur Temps Passé. Pour ces êtres, nous sommes donc dans le Passé. 
Les informations que nous pouvons recevoir de ces êtres futurs (par exemple 
de façon subliminale) influencent nos pensées et donc ont le potentiel de modifier 
Notre Temps Présent et Leur Temps Futur. Si ces êtres du futur sont nous-mêmes, 
il devient donc possible de modifier de manière optimale Notre Temps Présent. 
Nous pouvons faire de même avec Notre (propre) Temps Passé. Il n'y a pas 
de manipulation seulement si les êtres du futur sont nous-mêmes, 
quelle que soit leur apparence biologique. Si ce n'est pas le cas, 
nous sommes des marionnettes faites pour être manipulées.

Selon ma compréhension, les Adamas-Kosmos ne maîtrisaient pas tout malgré 
un degré très avancé de leur technologie. À bord de leurs vaisseaux spatiaux, 
ils auraient pu passer par ce que nous appelons "les trous noirs cosmiques" jumelés 
à leurs sphères de lumière blanche respectives de l'autre côté du miroir de la singularité. 
Lors de ces passages, leur métabolisme a dû muter de manière biologiquement rétrograde 
et irréversible pour eux, ce qui aurait pu avoir comme conséquence néfaste 
le verrouillage énergétique de la connexion intuitive avec leurs doubles du passé. 
Devenus apprentis sorciers dans ce genre d'aventure, leurs explorations auraient 
débouché sur une réalité chaotique inscrite dans un futur cosmique lointain, donc 
un futur dangereux, puisque connecté encore à son temps présent simultané devenu 
passé pour eux depuis leur perspective, mais désormais coupé de l'accès au passé 
de leur passé ou en d'autres mots, séparé d'un messager (gr. παράκλητος [paraklétos]) 
qui intercède pour rétablir le lien avec le passé préalablement verrouillé.

Dans leur investigation chaotique, à un moment, les Adamas-Kosmos auraient généré 
leurs autres doubles et ces doubles auraient été propulsés vers le futur encore plus lointain, 
c'est-à-dire un futur de leur futur. Cela expliquerait pourquoi les Adamas-Kosmos 
et plus tard, dans un cycle du temps cosmique plus proche du nôtre, Yaltabaôth
et sa progéniture représentée par la lignée des Archontes, souffrent de l'Oubli, 
autrement dit de l'incapacité à se souvenir de l'existence de la Source 
de toutes les origines. En effet, les Archontes sont persuadés que 
ce sont eux les dieux, donc qu'ils sont à l'origine de toute création. 

Cependant, certains d'entre les Adamas-Kosmos auraient parfaitement compris 
la complexité de la situation et les dangers potentiels qu'elle recèle. Rappelons-nous
 que frustration, jalousie, vengeance, besoin de domination et agressivité retrouvent 
leur racine dans l'angoisse. Que cela nous plaise ou déplaise, bourreau et victime 
partagent une même caractéristique : tous les deux ont peur. À maintes reprises, 
 les Adamas-Kosmos auraient essayé de communiquer avec leurs alter ego 
du passé lointain, c'est-à-dire avec ceux qui n'avaient pas muté et qui se souvenaient 
de l'existence de la Source de toutes les origines. Ainsi, les Adamas-Kosmos 
auraient fait de considérables efforts pour avertir d'un grand danger leurs lointains 
ancêtres du passé en essayant d'entrer en communication avec ces derniers. 
Ces Adamas-Kosmos pacifiques auraient tout fait pour modifier le passé, mais 
ils ne réussirent pas dans cette tâche, leurs ancêtres ayant peur d'eux. 
Les Adamas-Kosmos en devinrent agressifs pour se faire entendre et se mirent 
à chasser leurs ancêtres lorsque ceux-ci sillonnaient l'espace intersidéral.

Dans ce contexte, le plus grand danger aurait consisté en une catastrophe 
d'amplitude cosmique. Il est probable qu'une telle catastrophe s'est produite 
dans une portion de la Constellation d'Orion. Un groupe d'Adamas-Kosmos exacerbés 
aurait pu en être l'auteur. Quelle aurait pu être la cause de leur colère ? Je ne pense pas 
que ce soit uniquement l'incapacité à communiquer avec leurs alter ego du passé 
pour modifier le passé. Il doit y avoir eu d'autres raisons complémentaires dont 
certaines d'aspect social, commercial et politique et d'autres encore d'aspect 
scientifique non maîtrisé concernant la région centrale de notre Voie Lactée.
Dans ce contexte, il n'est pas déraisonnable de songer que la Nébuleuse M42
serait le résultat d'un cataclysme déclenché intentionnellement. 

Pour finir cet article, présisons que dans le Système Solaire, le dédoublement donne 
six associations ou connexions entre les horizons planétaires du dédoublement 
ou plus concrètement entre les horizons des particules solaires et planétaires. 
Une de ces six connexions est représentée par la conjonction Terre-Saturne. 
Pour plus de détails, je réfère mes lecteurs aux travaux de Johann D. Titius, 
Johann E. Bode, Saul Permutter, Brian Schmidt, J.P. Garnier Malet et Jacques Atlan.
Si à son tour Saturne est connectée à la Constellation d'Orion, toute cette spéculation 
nous importe. Après tout, une onde osirienne relierait son point de départ localisé 
dans la Chambre du Roi de la Grande Pyramide de Gizeh en Égypte à son point 
d'arrivée localisé quelque part dans la Constellation d'Orion. Osiris était certainement 
un grand civilisateur et défenseur de l'humainité. Cela semble indiquer que tout n'est 
pas anéanti dans la constellation d'Orion, que peut-être une race intelligente
reptilienne, féline ou autre y existe encore, une race dont la mission consisterait 
à protéger la paix dans au moins une partie de notre galaxie.

Il ressort de toutes ces considérations que notre Voie Lactée a un passé tumultueux 
et en tant que cellule macro-cosmique n'est pas obligatoirement en très bonne santé.
Mais nous, les humains de la planète Terre, avons tous la responsabilité individuelle 
et collective d'ouvrir nos cœurs et nos esprits pour voir en plus grand. Le temps est 
propice pour cela. De ce qui se passe sur notre planète bleue, tout m'amène à voir
le potentiel de prospérité, de santé et d'épanouissement dont nous disposons. 
Il y a une condition à cela : c'est reconnaître notre puissance créatrice 
alignée sur le mieux-être de la Terre, de notre Système Solaire 
et de notre Voie Lactée.

Puisque tout est connecté entre les différents espaces-temps à tous les niveaux de notre 
 compréhension et puisqu'il existe au moins un lien entre notre Système Solaire 
et la Constellation d'Orion, on peut se poser cette question :
Qu'en est-il de notre aujourd'hui juste ici sur Terre ?

Quand on regarde un tableau entier au lieu de ses fragments, il n'est pas hors de 
propos d'observer qu'à l'heure actuelle, la panique, la peur et le chaos s'esquissent 
en grande partie intentionnellement pour maintenir et tracer de nouvelles brêches 
de division et de polarisation, ce qui est immanent à la troisième densité (le terme 
"dimension" étant inadéquat) de la réalité. Cela, à cause d'un programme visant 
à empêcher le carbone de se transformer en cristal au sein de l'humanité, 
à verrouiller la mémoire cosmique et de ce fait, à ralentir autant que se peut
l'ascension en tant que mouvement naturel et non inversé de l'évolution. Cela, 
parce que nous avons laissé les manipulateurs agir en leur déléguant nos pouvoirs. 
Bonne nouvelle :  Cette manipulation ne peut viser que l'aspect carbone. 
L'aspect cristallin ne peut être ni manipulé, ni détourné et le fait de le savoir 
est notre antidote. Lorsqu'on en est conscient, le code cristallin protège et abrite 
l'aspect carbone, ce qui nous immunise. Mais cela n'exclut pas le pragmatisme. 
Être vigilants sans jugement et sans panique est tout aussi important.


Une fois de plus : nous tous, les humains de la planète Terre, avons la responsabilité 
individuelle et collective d'ouvrir nos cœurs, nos mémoires et nos esprits pour voir 
la situation dans son ensemble. Le moment est venu de le faire, et en ce moment 
même, notre transformation kristalline est en train de se produire. 
Par conséquent, à des niveaux plus profonds du voyage éternel de notre Vie, 
embrassons l'évidence qu'il nous faut assumer la responsabilité illimitée 
de la totalité de nos pensées et actions individuelles.  
Toutes les étoiles et leurs planètes nous en seront reconnaissantes.

                                                               Irénée Sikora, FlorRaison 2020.






  THE  ORION  CONSTELLATION
BY  IRÉNÉE SIKORA



This text may seem too linguistic in some parts, but I ask my Readers 
not to be discouraged, as my goal remains to convey a message that is accessible 
to all those who do not consider themselves linguists. It's a bit like with the chess game : 
one gets carried away with increasing passion by what this game contains in its potential 
as one becomes more familiar with the rules and the anticipated moves on the chessboard. 
It becomes very instructive. One detail : I do not ask my Readers to agree with everything 
I specify. Let everyone listen to the voice from the deepest layers of their Intuition. 
I am open to your remarks as well as your questions, ready to answer if there are any 
and if I find myself in a position to do so. I do not know everything, but 
I search because investigation is part of the nature of my soul of which 
a few living reminiscences inscribed in other time-spaces simultaneous to ours, 
have been identified and exposed to the disposition of my analytical mind. 


As a reminder, the Sumerian language spelled 𒅴𒀭 [Eme-An] ("language of Heaven") 
or also 𒅴𒂠 [Eme-Gi7(r)] ("noble, civilized, native language") appeared on Earth 
long before Hebrew, Aramaic, Greek, Turkish, Persian, Arabic, Mandarin. 
Most likely it appeared before Sanskrit and even before Re'EnKemet which is 
a hybrid language of the Pharaohs in Egypt. Sumerian does not belong to 
the Indio-European language family. In fact, it does not belong to any 
linguistic family on our planet. However, Sumerian undeniably influenced 
the codification of many posterior languages such as Akkadian, subsequently 
split into Assyrian and Babylonian in Mesopotamia (which are 
Semitic languages), Turkish and later other languages.

For this reason, my research will be marked out primarily by 
the Sumerian archetymological reference which, in this study, proves to be unavoidable. 

It is speculated that the name 'Orion' might come from a hypothetical 
Proto-Sumerian term Uruanna decomposed into Uru-Anna. After a thorough research 
I have done to clarify this point, nothing allows me to validate this track, as this term 
has not been catalogued in the archives.  The first term Ùru(m) does not only refer to 'light', 
but also to the verbs 'guard' and 'oversee'. Its homophone Uru2 indicates 'devastating flood'. 
We will see later in detail the meanings of the Sumerian morpheme Ur(u). 

Since the vowel O does not exist in Sumerian, it is legitimate to substitute U for it. 
As far as the word Anna is concerned, it is necessary to check whether there are 
alterations between A and U. In the series of Sumerian words of type V (Single Vowel), 
VC (Vowel-Consonant) and CV (Consonant-Vowel), the cases of transition from 
the vowel U to the vowel A and vice versa are very sporadic, counted in just a few 
examples (Uh → Ah = 'slaver'; U → A6 = 'ten'; Mù → Ma5 = 'to grind'; 
Su → Sa = 'to fill up' Nú → Ná = 'to sleep' ...). Under such circumstances, 
the translation of Uru-Anna into "Light of Heaven" as some people wish, 
proves to be one-sided and inaccurate. 

It is established that the Hebrew word חַנָּה [ḥannāh] Hannah, meaning 'favor' or 
'grace', has become the forename Anna in many languages. This is not the case with 
the allegedly Sumerian term Anna and translating it as 'Heaven' is incomplete and 
therefore incorrect. Only the Sumerian word An has the meaning 'Heaven/Sky', while 
the Sumerian Na has the function of a modal affix (rather a prefix), emphatic to the 
past tense as well as the function of 'no' (negation) in correlation with the present tense. 
Thus, the decomposition of Anna into An-Na leads us to semantic outcomes such as : 
"Sky [of the] Past" or " Sky of Another Time" or "No Heaven" or "Annihilation of Sky". 
That said, the Sumerian Na morpheme, with its non-trivial semantic consequences, 
seems (unintentionally ?) justified, if we do not discard the linguistic analysis of 
other terms directly or indirectly related to Orion as they exist in Sumerian and also 
in many languages on Earth including Akkadian, Persian, Re'EnKemet, 
Classical Mandarin, Sanskrit, Turkish, Ancient Greek, Hopi ... 

The decomposition of Uru-Anna into Uru-An-Na/Nu(d) or Uri-I-An-Na and 
Ur-Ri-An-Na/Nu, where each morpheme contains a flexible semantic field according 
to its morphological neighborhood, leads us to several translations such as :
 "Devastating Flood of/in the [Past] Sky", "Disaster in Past Celestial Space", 
"Mighty Enemy Hunting [from/in] the Past Sky", "Glowing Warriors of [Past] Protection", 
"Painful Light Disaster of Sky [of the Past/another Time]", some other variants are 
possible. If we remove the last morpheme Na, we get Uru-An and in such a case, 
our translations remain the same with the omission of the equivalent "past" 
which sometimes can be understood as "of another Time"... 

If the term 'Anna' is replaced by 'Unu2' meaning 'fortress', therefore Uru-Unu2 
can be translated for example as "Glowing Warriors' Fortress". 

It is important to know that in the Sumerian lexicon there is a precise term for Orion. 
This term is SIPAZIANNA. Its phonetic morphological decomposition into 
Si-Pa(4)-Zi-An-Na or Sì-Pa/à-Zi-An-Na or Sipa(d)-I/zi-An-Na or Si-Pa4-Az-I-An-Na 
or else Sì-Pah-Zi(l)-An-Na, leads us to some semantic outcomes such as : "Silent 
Glowing Guardians [in] the Former Sky", "Ancestral Leaders roaming the [sick] Sky 
of another Time", "The Radiant Preserved Light annihilating the Life of/in the Sky", 
"The Cause of Capture and Submission of the Breath (of Life) of the Sky", 
"That which destroys by Fire the Life of the Sky". 

In Mesopotamia, the Akkadian term for Orion is Šitaddalu or more briefly Šidallu. 
The decomposition of this term into the Sumerian morphemes Šita4/5-Da(5)-Al-Lu 
or Šid-Dal-Lú or Ši-Dalla-Lù leads us to other semantic issues such as : 
"[Those who] beset and bind the Restless Distant Light", "Many Faraway Hunters 
who protect the Memory", "Many Dazzling Hunters who bind the Memory".

Now, let's go back to the Sumerian morpheme Ur(u) and its homophonic variants 
to see what their semantic field is composed of. Ur = 'warrior', 'to tremble'. 
Ur2 = 'to harvest', 'to flood', 'to eliminate'. Ur4 =  'to hunt'. Uru2 = 'devastating flood', 
'thunderstorm'. Ú, Uru16 = 'valiant', 'mighty'. Ùru(m) = 'light', 'glowing' ; 'to oversee'. 
The only vowel U carries relevant meanings in our analysis : U(d)4 = 'light', 'time', 
'storm (as evil)'.   Ù = 'sleep'.   U3 = 'battle'. Here, the morphemes Ur4 and Uru2
while referring to hunters and disaster, contain the implicit semantic component 
related to the impetuosity arising from wrath. These two morphemes are singularly 
significant, as they seem to have had a major impact in other languages on Earth.
Let's consider just these following four examples : The Sanskrit हीर [hIra] = 'thunderbolt'. 
The Ancient Greek Ἄρη-ς [are-s] = divinity of tempest ; 'war', 'warlike'. 
The Turkish ur = 'tumor'. The Latin īra = 'rage', 'fury', 'wrath'. 

The Orion constellation in Re'EnKemet, which in Egypt was the language of the pharaohs, 
is SAH(u) whose hieroglyph shows three vertical columns, pillars or strings.
In classical Chinese, Orion is :  [Sān] = 'to connect' and phonetically number '3'. 
Phonetically close to  [Ší] 'time' +  [Jiān] 'between' and 'space' = 时间 [Šíjiān] = 
"between time(s)" or more specifically "between [different] time-spaces". 
In Sumerian, the morpheme Sa means 'String/Connection' 
and the morpheme An means 'Sky'. A pure coincidence ? 

It is interesting to add the Sumerian morpheme Sa(g̃) meaning 'leader', 'first' as well 
as 'captured' and 'slave'. In Sanskrit, the word शोक [zoka] or [sok(h)a] means 
'affliction', 'flame', 'trouble', 'anguish'. Orion as a hunter in Hindi is शिका [šika-ar]. 
Orion as a hunter in Persian is شکارچی [šikārjī] ('the one who hunts') where چی [šik] 
means 'hunting'. In the Hopi language in Arizona, the word Soohu means 'star' 
and therefore is akin to the sky.

Thus, let us compare : the Egyptian 'Sah(u)' with the Sanskrit शोक [Sok-a], 
the Persian چی [šik], the Hopi 'Soohu', the Sumerian 'Sag̃', the classical Chinese  [Sān]. 
Again a pure coincidence ? 

Since part of the Orion constellation contains a shaded area identified as Nebula M42, 
it is interesting to note that in the Sumerian language the term Ganzer or more 
specifically Ga'Ansir seems to refer to it. This term decomposed into Ga-An-S(z)ír 
where Ga = 'milk', An = 'sky' and S(z)í(ù)r = 'density', 'feverish', 'weaken', 'drain' 
and 'annihilate', can be translated as "Darkening of the Milk of the Sky" or 
"Drainage of the Heavenly Milk" or "Annihilation of the Heavenly Milk". 
The Sumerian term Ganzer, as an autonomous semantic unit, 
is also translated as "Darkness", "Gloom" or "Hell". 

"[...] the light that had come [...] from the silence departed from the middle 
and returned to (its) place. Then the cloud shone, and from it came unquenchable fire. 
The part that had seperated from astonishment had put on forgetfulness ; 
it had been tricked by the fire of Darkness. The trouble of its restlessness cast off  
the burden of the cloud. (This burden) was evil, for it was unclean."
Paraphrase of Shem in 14,17-15,2.

The great university specialists in Gnostic literature provide their remarkable, relevant 
and very interesting linguistic analyses by offering interpretations related to the fields 
of spirituality, mythology, philosophy, cosmogony and the history of literature 
without daring to speculate more profoundly on the astrological correlations 
as well as the potential scientific, therefore also technological and astronomical origins 
of all these writings. This would lead us not to rule out the option that what is narrated 
in these documents concerns historical events that occurred 
in the very distant past on the cosmic scale of time.

Very close on the scale of intersideral distances, our Solar System and the Orion Constellation 
are located in the same galactic arm called Orion Arm or sometimes Orion Spur. 
To our eyes, the four brightest stars in this constellation are designated 
by the names Rigel, Betelgeuse, Bellatrix and Saiph. In a portion of 
the Orion Constellation is the famous shady area identified as Nebula M42.

If there are specific connections ensured by inter-temporal tachyon-type corridors 
between our Solar System and the Orion Constellation, and considering that such 
a probability is not meaningless, one may then wonder what this specificity 
would consist of. As I comprehend it, it consists of disruptions in terms of 
the fluidity of passengers' travels within those corridors. These disruptions would 
have originated from a cataclysmic event whose result visible even to the naked eye 
from Earth is exactly Nebula M42.

We may wonder what brought this nebula into existence. In apocryphal and 
Gnostic documents (which were rejected by the Christian Church) including 
"On the Origin of the World", "Tripartite Treatise", "Paraphrase of Shem" 
and a few others, several passages evoke a cataclysm or a series of cataclysms 
of cosmic magnitude. There is one detail that cannot go unnoticed by anyone 
who reads these texts carefully : A group of non-anonymous humanoids is assigned 
to one or more radiant clouds that also shelter the darkness. This darkness would 
thus have directly concerned the aforementioned humanoids as well as 
a concrete celestial region, since it is located in a part of the Orion Constellation.

One of the numerous names of those enigmatic humanoids, the one which seems 
to have an exceptional significance because of its singularity, is Adamas.

The decomposition of the name Adamas into the Sumerian morphemes Ada-Maš :  
where Ada = 'ancestor(s)' and Adda = 'corpse', 'skeleton' + Maš = 'half', 'twin', 'double'
leads us to designations such as : "The Ancestors of the Half", 
"The Dead Twin/Twin of Death" or "The Ancestors of Doubling".

Originally, Adamas could have designated a single being who gave life to 
her or his offspring, thus - establishing an Adamas lineage. It is not unreasonable 
to consider the scenario in which Adamas was not only androgynous, but also 
a being endowed with triple power, namely with the faculty of parthenogenesis, 
from the Greek παρθένος [parthenos] = 'female virgin/male virgin' and by extrapolation 
'immaculate' + γένεσις [genesis] = 'birth', therefore Παρθενογένεση, a feature 
of single-parent reproduction. We find the equivalent of this word in 
the Sumerian term Agarin which, in the grammatical singular, designates a
 single non-divisible being : 'mother' and 'father' and 'womb/matrix'. 

Let's quote : "Adamas [singular or plural] was[were] in the first cloud of light, 
which no Angel could see among all those who are called 'god[s]'. [...] 
The multitude of those immortal beings is called 'Cosmos', 
that is Corruption (or else Loss) [...]." 
The Gospel of Judas in 49,21 and 50,11 (Excerpts).

Would the Adamas have been many Cosmos ? 
On that, I dwelt on the lock-word : Kosmos. What is the key to this very lock ?

Let's see ... Decomposing the term KOSMOS into Sumerian morphemes 
provides us : Kuš7-Muš  where Kuš7 = 'devastation', 'destruction' ; 
Kù = 'brilliant', 'noble' ;  Kúš = 'breathless' ; 
Muš = 'snake' where Mu/ú(d) = 'frightening', 'bloody' and Úš = 'death', 'kill', 'die' ; 
11 = 'spit', 'venom', 'poison'.
But also :
Ùš = 'placental membrane', 'postnatal' and '[new] birth/order'.

In Ancient Greek Κόσμος takes up only the coherent and uplifting sequence of the vast 
semantic field of Kosmos, thus right here the synonymous with Harmonious Order 
in the Universe. One might wonder why. Well, then, there are two possible explanations. 
Either Kosmos designates a new harmonious order in the universe, implicitly occurring 
after an era of chaos, or, long before chaos there was an initial harmonious time 
containing all the event potentialities of before the doubling of the perception of 
time (and space). Let us just mention in this connection that the ancient Greeks 
of our historical antiquity knew the phenomenon of the doubling of time.

"Between the indivisible Being (Creator) who always remains the same 
and the divisible Being (Double) who becomes in bodies, by mixing the two, 
he [Supreme Creator] formed a third kind of Being (Creature)." Timaeus, Plato.
This knowledge encompasses the realities of the inferno 
under the name ᾍδης [Háidēs] for the Greeks.

Egyptians and Sumerians did know the phenomenon of the doubling of time, 
which is directly related to the six day-night cosmic intermittencies or time openings 
leading up to the seventh. These are the twelve gates (six days alternating with six nights) 
bound by a serpent in the land of the dead for the Pharaohs and the six day-night alternations 
leading to the seventh allowing the Sumerians to emerge from the hell.

Thus, considering for once Kosmos not as a space, but as a race, is very interesting. 
The Sumerian morphemes Kuš7+Muš unveil several relevant and complementary 
semantic issues such as : "Breathless Destructive Serpents", 
"Noble Serpents of Devastation", "Brilliant Serpents of Death", 
"Fearful Serpents of Destruction" and also 
"Poisonous Serpents of the [New] Order [Eestablished] by Destruction".

The fact that the Adamas-Kosmos lineage represents a humanoid race 
of reptilian type is therefore self-evident. The fact that the name of this lineage contains 
the idea of doubling is of primary importance in our analysis. This allows us to consider 
the option that the relevant reptilian species is not homogeneous, at least within 
some of the cosmic cycles of time. This is in accordance with many Gnostic writings 
that this study does not allow me to develop, the subject being too vast.

I feel no temptation to pass any kind of judgment on the Adamas-Kosmos lineage. 
It is probable that at one point in time in the distant cosmic past some of the individuals 
of this lineage had gone in search for the identification of their origin. They would 
have had the technology to use the intertemporal corridors to explore the space of 
our Milky Way and perhaps other galaxies in our Universe. It is not unlikely that 
these individuals were able to map and roam the celestial region bounded 
by the Orion Constellation. At some point, either before or after the exploration 
of this constellation, these individuals may have approached the central area 
of our Milky Way to study its energy signature, which carries fossil information 
about the origin of our potentially multiple Reality. 

It is not unlikely that these individuals discovered and understood that they 
themselves were creatures resulting from a separation from their doubles as creators 
and that this separation implies that creators and creatures evolve simultaneously 
in different times. Since the Past, Present and Future each simultaneously  
unfold at another speed of propagation of Light, it is important to remember that 
the Past unfolds more slowly in relation to the Present, while the Future unfolds 
more rapidly in relation to the Present and thus still more rapidly in relation 
to the Past. The exchange of information between these three times 
is only possible through the time openings.

This means that it is possible to inform oneself in the Present about a stupid, 
chaotic and dangerous future in order to avoid it. Since for the beings evolving 
in the future, this very future is their Present Time, from the perspective of these beings, 
Our Present Time is their Past Time. For these beings, we are thus in the Past. 
The information we may receive from these future beings  (for example subliminally) 
influences our thoughts and therefore has the potential to modify Our Present Time 
and Their Future Time. If these future beings are ourselves, then it becomes possible 
to optimally modify Our Present Time. We can do the same with Our (own) Past Time. 
There is no manipulation only if the beings of the future are ourselves, 
regardless of their biological appearance. If this is not the case, 
we are puppets made to be manipulated.

As I understand it, the Adamas-Kosmos did not master everything despite their 
very advanced level of technology. On board their spaceships, they could have passed 
through what we call "cosmic black holes" paired with their respective spheres of 
white light on the other side of the mirror of singularity. During these crossings, 
their metabolism would have had to mutate in a biologically retrograde and 
irreversible manner, which could have had as a harmful consequence the energetic 
lock-in of the intuitive connection with their doubles from the past. Having become 
sorcerer's apprentices in this type of adventure, their explorations would have led 
to a chaotic reality inscribed in a distant cosmic future, thus a dangerous future, 
since it is still connected to its simultaneous present time that has become a past 
for them from their perspective, but now cut off from access to the past of their past 
or in other words, separated from a specific messenger (Gr. παράκλητος [parakletos]) 
who intercedes to re-establish the bond with the previously locked past.

In their chaotic investigation, at some point, the Adamas-Kosmos would have 
generated their other doubles and these doubles would have been propelled into 
the even more distant future, that is, a future of their future. This would explain  
why the Adamas-Kosmos and later, in a cycle of cosmic time closer to ours, 
Yaldabaoth and her-his progeny represented by the lineage of the Archons, 
suffer from Oblivion, in other words, from the inability to remember 
the existence of the Source of all origins. Indeed, the Archons are convinced 
that they are the gods and consequently the origin of all creation.

However, some of the Adamas-Kosmos would have fully understood the complexity 
of the situation and its potential dangers. Let us recall here that frustration, jealousy, 
vengeance, need for domination and aggressiveness are rooted in anguish. 
Whether we like it or dislike it, executioner and victim share the same characteristic : 
both are afraid. The Adamas-Kosmos would have repeatedly tried to communicate 
with those who had not mutated and who remembered the existence of the Source 
of all origins. Thus, the Adamas-Kosmos would have made great efforts to warn their 
distant ancestors of the Past of great danger by trying to communicate with them. 
These peaceful Adamas-Kosmos would have done everything possible to change 
the past, but they were not successful in this task because their ancestors were 
afraid of them. The Adamas-Kosmos became aggressive to make themselves heard 
and began to chase away their ancestors as they travelled through outer space.

In this context, the greatest danger would have been a catastrophe of cosmic magnitude. 
It is likely that such a catastrophe occurred in a portion of the Orion Constellation. 
A group of exacerbated Adamas-Kosmos could have been the perpetrator of it. 
What could have caused their anger ? I don't think it was just the inability to 
communicate with their past alter egos to change the past. There must have been 
other complementary reasons, some of them of a social, commercial and political 
aspect and others of an uncontrolled scientific aspect concerning the central region 
of our Milky Way. In this context, it is not unreasonable to imagine that 
Nebula M42 would be the result of an intentionally triggered cataclysm.

To finish this article, let's assume that in the Solar System, the doubling produces 
six associations or connections between the planetary horizons of doubling 
or more specifically between the horizons of the solar and planetary particles. 
One of these six connections is represented by the Earth-Saturn conjunction. 
For more details, I refer my readers to the work of Johann D. Titius, Johann E. Bode, 
Saul Permutter, Brian Schmidt, J.P. Garnier Malet and Jacques Atlan. 
If Saturn in turn is connected to the Orion Constellation, then this entire speculation 
matters to us. After all, an Osirian wave would link its starting point in 
the King's Chamber of the Great Pyramid of Giza in Egypt with its destination point 
located somewhere in the Orion Constellation. Osiris was certainly a great civilizer 
and defender of humanity. This would suggest that not everything is destroyed 
in the Orion Constellation, that perhaps an intelligent reptilian, feline or other race 
still exists there, a race whose mission would be the protection of peace 
in at least one part of our galaxy.

From all these considerations it appears that our Milky Way has a tumultuous past 
and as a macro-cosmic cell is not necessarily in very good health. But all of us, 
humans on planet Earth, have an individual and collective responsibility to open 
our hearts and minds to see the bigger picture. The time is right for this. 
Given what is happening on our blue planet, everything leads me to see
the potential for prosperity, health and fulfillment that we have at our disposal. 
There is one condition for this : the recognition of our creative power 
aligned with the betterment of the Earth, our Solar System and our Milky Way. 

Since everything is connected between the different time-spaces at all levels 
of our understanding and since there is at least one link between our Solar System 
and the Orion Constellation, we can ask ourselves this question :
What about our today right here, on Earth ? 

When we look at a whole picture instead of its fragments, it is not out of place 
to note that panic, fear and chaos are now for the most part intentionally looming 
to maintain and draw new breaches of division and polarization, which is immanent 
to the third density (the term 'dimension' being inadequate) of reality. 
This is because of a program to prevent carbon from turning into a crystal within 
humanity, to keep the cosmic memory locked and thereby slow as much as possible 
the ascension as a natural, non-inverted upward movement of evolution. 
This is because we have allowed the manipulators to act by devolving 
our powers to them. Good news : This manipulation can only be targeted 
at the carbon aspect. The crystalline aspect can neither be manipulated nor hijacked 
and knowing this is our antidote. When we are aware of it, the crystalline code 
shields and shelters the carbon aspect, making us immune. But that doesn't rule 
out pragmatism. Being vigilant without judgment or panic is equally important.


Once again : all of us, humans on planet Earth, have an individual and collective 
responsibility to open our hearts, memories and minds to see the bigger picture. 
Now is the time to do so, and at this very time, our krystalline transformation 
is happening. Therefore, at deeper levels of the eternal journey of our Life, 
let us embrace the evidence that we must assume unlimited responsibility 
for all our individual thoughts and actions. 
For this, all the stars and their planets will be grateful to us.

                                                                     Irénée Sikora, FlorRaison 2020.  



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