21/05/2024

LES ANUNNAKI EN VUE PLONGEANTE par Irénée Sikora

 






Les AnunnaKi en vue plongeante

par Irénée Sikora





Sans Art, au lieu de la création véritable, il n'y a que des répliques 
qui décorent les impasses. Se servir du cœur dans un monde 
qui est dirigé par le cerveau, est un art.

Où sont les Artistes ?


 
À l'échelle universelle du temps cosmique, notre Système Solaire est jeune et la planète Terre sert de cadre à toutes sortes d'expériences dans les processus de l'apprentissage de tout ce qui a trait à la créativité libre et responsable. Ces expériences sont menées sur les formes de la Vie très variées que la Terre accueille et héberge, elle-même étant une sphère céleste consciente. Dans l'évolution des écosystèmes terrestres et des espèces considérées comme intelligentes qui les habitent, les énergies karmiques impliquées ont toujours eu une fonction éducative. De ce fait, toutes les expériences menées sur Terre recèlent le potentiel d'êtres vécues par les auteurs de ces expériences et elles le sont.



Les enjeux sont d'une magnitude cosmique.


Les unes après les autres, les civilisations terrestres ont échoué sur la piste de leur évolution, car elles n'ont pas su tirer de conclusions édifiantes quelconques à partir des leçons dans lesquelles elles s'étaient engagées. Elles ont réitéré une énième fois les mêmes erreurs et n'ont rien appris. 

Aujourd'hui, la version actuelle de la civilisation terrestre s'expose au même défi en termes de survie. Sauf que cette fois-ci, observateurs et participants actifs incarnés extraterrestres parvenus depuis diverses zones de la Voie Lactée et des autres galaxies, sont très nombreux. Ils ne sont pas sur Terre pour interférer avec le libre arbitre des Terriens, mais pour les assister dans leurs efforts à élever en fréquences le taux luminique vital d'autant d'individus que possible. Les enjeux sont d'une ampleur cosmique, car en cas d'échec, les répercussions involutives auraient un impact de type cancéreux intensément contagieux sur de nombreuses galaxies dans l'Univers. Ce n'est donc pas du tout une affaire locale dans les limites de laquelle on peut se permettre de laisser les Terriens continuer sans fin à se disputer entre eux, rien que pour des mots, et à s'entre-tuer.

Il est impératif de reconnaître que la souche Homo Sapiens ne représente pas la seule espèce humanoïde pensante qui vit sur la planète Terre. Sur le plan karmique inter-espèces, les Homo Sapiens et les AnunnaKi sont liés, que ce fait plaise aux uns et aux autres ou qu'il leur déplaise. Nous allons voir tout à l'heure qu'il y a aussi d'autres races humanoïdes terrestres avec lesquelles des liens karmiques résiduels continuent d'exister.



Il n'y a pas de drame.


La bonne nouvelle est que, pour les humains qui, tout en continuant à cheminer, réussissent à s'élever en fréquences jusqu'à un seuil requis, les énergies karmiques se dissolvent. En conséquence, ces humains n'ont plus besoin de poursuivre leur apprentissage moyennant le karma, tout naturellement s'en délestent et peuvent, si telle est leur volonté, entrer dans la cinquième octave de la conscience terrestre que les humains désignent par le terme Nouvelle Terre. Tous ceux qui n'y sont pas prêts, se fonderont dans un décor ailleurs ou continueront leurs leçons ailleurs, sur certaines autres planètes qui leur seront désignées. Il n'y a pas de drame, surtout que pour apprendre, nous avons tous l'éternité devant nous.

Ayant compris depuis des éons que les fréquences opaques, boueuses et lourdes s'attirent mutuellement et contaminent l'environnement cosmique, de nombreux extraterrestres regardent comment nous percevons les extraterrestres que nous sommes censés percevoir. Parmi eux, il y en a qui représentent les espèces de loin plus évoluées spirituellement que la nôtre. Ils constatent que pour de très nombreux Terriens, l'inconnu fait peur. Et ils voient qu'aux yeux de notre espèce en tant que collectif, les êtres en provenance de l'espace interstellaire représentent soit des sauveurs, soit des diables. Dans une telle classification de type médiéval toujours en cours, la place gardée pour imaginer d'autres catégories reste très restreinte, presque inconcevable. L'existence des extraterrestres s'avère dérangeante pour l'ordre établi par manipulation psychologique dans le conscient de la majorité d'entre nous. En leur présence tangible pour nos sens, nous nous prosternons devant eux, ou bien nous les fuyons, ou encore nous les tuons. Il arrive que certains d'entre nous essaient d'être malins et de les duper ... Autant de cas de figure pour retarder la mise en place des contacts officiels avec nous les Humains.

Tout cela pris en compte, la situation globale change en faveur de ceux qui ne se sont pas arrêtés, mais continuent de cheminer. Certains parmi eux seront sans doute intéressés à (re)découvrir en quoi consiste l'idée d'une cohabitation entre deux ou plusieurs espèces humanoïdes intelligentes sur une même sphère céleste, comme c'est le cas de la planète Terre.



Une invitation à savourer le plaisir d'explorer.


Nous reconnaissons aujourd'hui facilement une évidence quantique que le temps contient un grand nombre de potentialités se déroulant sur les pistes temporelles futures parallèles. Nous avons davantage de difficultés à digérer l'information selon laquelle le passé recèle pareillement des potentialités non seulement interprétatives, mais aussi événementielles. Cependant, dès que l'on conçoit que, dans une réalité quantique, il puisse exister des lignes temporelles parallèles dans le passé, alors, quelle que soit l'option choisie, chacune de nos positions ou perspectives historiques divergentes est correcte et nous n'avons pas besoin de nous disputer. Ce qui suit est soumis inconditionnellement au discernement de chaque lecteur qui à tout moment est libre de rejeter ou d'accepter partiellement ou entièrement l'enquête exposée. 

Si certains parmi nous se sentent mal à l'aise en matière de discernement, il leur suffit de s'observer pour ressentir s'ils vibrent avec ce qui est écrit ici ou s'ils ne vibrent pas. Dans notre espèce dénommée Homo Sapiens, les individus sceptiques qui placent l'intelligence dans les cerveaux, demeureront sceptiques jusqu'à la fin de leur incarnation, peu importe le nombre de démonstrations, de références et de preuves tangibles fournies.

Il se peut que pendant la lecture de ce texte, quelques-uns parmi vous détectent en eux-mêmes le sentiment d'encouragement à réviser quelques idées préconçues. Il se peut que quelques autres esprits interrogateurs entrevoient une nécessité de reconsidérer leurs propres perceptions sous un angle différent, mais dans tous les cas de figure il m'importe de signaler que je ne cherche ni à persuader, ni à influer sur les points de vue et les convictions de qui que ce soit, mon but étant simplement de partager le résultat de mes laborieuses investigations et de mes réflexions dûment examinées. Ce que les Lecteurs en feront ne relève que de leur volonté. Je vais seulement demander à vous tous de vous abstenir de me communiquer - directement et/ou par messages interposés - des critiques irrespectueuses et blessantes, car au plus intime de mon honnêteté, mon cœur me confirme que je ne le mérite pas.

Encore une remarque en guise d'introduction dans le vif du sujet. La question qui se pose d'elle-même est celle-ci : Que signifie pour vous personnellement le mot Humanité ? Si aux yeux de quelqu'un, ce mot se rapporte uniquement à la branche Homo Sapiens, alors tout ce qui suit dans ce texte ne sera probablement d'aucun intérêt pour ce quelqu'un. Dans cet article, l'histoire perçue, explorée et exposée par mes soins se développe durant une très longue période d'avant l'émergence de la souche adamique Caïn, désignée par les anthropologues par le terme Homo Sapiens. Qui plus est, je ne suis pas le seul à inclure dans le terme "Humanité" de multiples espèces humanoïdes indigènes et extraterrestres, à plus forte raison que la molécule ADN humaine possède des origines galactiques.

Les Lecteurs sont encouragés à ne pas sauter les paragraphes qui leur sembleront linguistiquement trop techniques. Il y a un sens plus profond pourquoi quelques suites de détails archétymologiques ont été placées ici. Il est très probable que certains passages catalyseront quelque chose de puissant et très personnel en vous. C'est aussi une invitation à savourer le plaisir dans une exploration riche en découvertes fascinantes et prises de conscience libératrices.

Bon. Ceux qui sont prêts, qu'ils attachent bien leur ceinture, le départ est imminent.



Les premiers qui ont changé de statut social.


À l'origine, l'histoire des Anunna est étroitement liée à celle des Nu'ungal. La création des uns et des autres fut réalisée dans un contexte politique d'infiltration ayant eu pour essence certains événements prémédités déclencheurs de décisions belligérantes désastreuses. Ces décisions menèrent à une étape successive particulièrement frénétique d'une guerre étendue à l'échelle interstellaire. L'écho de cette guerre est mentionné sur le cylindre d'argile rédigé en sumérien réf. CBS 8383-a dans la colonne 1, lignes 4-10 (et non 1-7, puisque les lignes 1-3 ont été brisées). De nombreux siècles plus tard, lors de la compilation des textes prévus pour la composition de la Bible, cet épisode belliqueux, comme beaucoup d'informations supplémentaires, aura été écarté et passé sous silence.

Dans le présent chapitre, avant d'entamer le sujet se rapportant aux Anunna, rappelons en condensé que les Nu'ungal constituaient un groupe d'êtres grands non seulement en termes de la taille, mais également en termes de l'intelligence et de la noblesse teintée de bienveillance orientée vers la recherche de solutions pacifiques. C'étaient des êtres hybridés avec un pourcentage de l'héritage génétique reptilien, des clones nobles et puissants d'entendement, capables de civiliser des races moins évoluées intellectuellement et technologiquement. Les Nu'ungal ont été programmés et éduqués pour suivre et protéger EnKi et les membres de sa famille d'abord à Sumer et plus tard en Atlantide et en Égypte.

Quelques indications complémentaires sur ce sujet méritent d'être soulignées. Or, les Nu'ungal avaient pour concepteurs les généticiens Ea et sa mère génétique, la planificatrice interstellaire Namma. Sur la planète Terre, Ea a été dénommé EnKi. Rappelons que le plus célèbre des Nu'ungal s'appelait Zehuti. Son nom était prononcé aussi The[h]ut-i, pour simplifier Theut, et plus tard Thot. Nous reviendrons à ce personnage tout à l'heure. Précisons encore une fois qu'à une époque ultérieure, certains parmi les Nu'ungal et leurs compagnes de la souche génétique Homo, qu'ils, de ce fait, considéraient comme humaines, donnèrent naissance à une lignée d'humanoïdes hybridés désignés par le nom Nephilim. Il est intéressant d'ajouter que, dans la littérature mésopotamienne, les Nu'ungal ont été désignés par le nom akkadien Igigi. Ce nom pourrait être décomposé en morphèmes sumériens.

Voilà donc ce qui s'ensuit dans notre enquête. Le terme sumérien 𒅆𒄀 est prononcé [IgiGi]. Ce terme provient de 𒅆 [Igi] signifiant 'premier', 'celui d'avant', ainsi que 'œil' et par extrapolation 'observateur ou veilleur (impartial)' + 𒄀 [Gi] signifiant 'agir avec justesse' et implicitement 'avec sagesse' et aussi 'stabiliser', 'renforcer' ; 'fiable', 'digne de confiance'. En conséquence, le terme 𒅆𒄀 [IgiGi] désigne au pluriel : "les premiers veilleurs qui agissent avec justesse" et/ou "les premiers veilleurs dignes de confiance". Remarquons aussi que le 𒄀 [Gi] signifie 'roseau (pour écrire)', 'canne' et aussi le verbe 'implanter (un projet)'. Cela en dit long sur le potentiel intellectuel de ces êtres. Sur le plan de leur morphologie, selon mon entendement, cela signifie aussi que les IgiGi étaient fondamentalement végétariens, comme l'étaient leurs concepteurs EnKi et Namma.

Ajoutons encore que les pictographes homophoniques 𒅆𒄄 [IgiGi4] où 𒄄 [Gi4] signifie 'changer de statut (social)', contribuent à nous rapprocher de la signification plus complète de l'identification de ces individus. Donc, le terme synonymique 𒅆𒄄 se laisse traduire par "les premiers qui ont changé de statut social". On pourrait entrer ici dans plus de détails archétymologiques révélateurs (dont, pour les Nu'ungal, le morphème 𒅅 [G̃ál] signifiant 'sage et puissant', 'empli de sagesse et de force' et aussi 'la charrue'), mais, pour ne pas alourdir notre récit de notes trop techniques, juste mentionnons pour l'instant que peu après l'arrivée des Anunna sur la planète Terre, on contraignit les Nu'ungal aux travaux physiques pénibles.



Des hybrides à l'héritage génétique complexe.


Les pictographes sumériens lus de gauche à droite 𒀭𒀀𒉣𒈾 sont prononcés [A-Nun-Na] et en conséquence désignent les Anunna. Pour rappel, le signe 𒀭 [An] peut être omis dans la prononciation, étant donné que très souvent, il a la fonction de déterminatif introduisant un personnage parvenu sur la planète Terre désignée par le pictographe 𒆠 [Ki] depuis une région lointaine dans l'espace cosmique, donc un personnage d'origine extraterrestre. Le pictographe 𒀀 [A] signifie 'père', 'engendreur', 'fluide séminal', 'progéniture (mâle)', mais aussi 'larmes' et l'interjection 'hélas !'. Le 𒉣 [Nun] signifie 'objet métallique / (armure) en cuivre', mais aussi 'noble' et 'prince'. Un détail non anodin : le 𒉣 a son homophone qui est 𒁍 [Nùn] signifiant 'combat'. Pour finir, le 𒈾 [Na] signifie 'mâle', 'homme'.

Mais voilà encore un détail inattendu qui renforce l'idée qu'il s'agit bel et bien d'une souche hybridée créée à partir du matériel génétique spécifié, prélevé initialement sur des spécimens humanoïdes appartenant à de multiples et variées races disséminées dans notre galaxie. Juste observons que le pictographe 𒉣 signifiant 'noble' possède son synonyme exact 𒍘 prononcé [Ušum] qui signifie une fois de plus 'noble' et également 'serpent'. Des hommes-serpents donc. Des hybrides à l'héritage génétique complexe. Le camouflage linguistique était presque parfait ... 

Ajoutons à ce propos un autre détail non anodin. La désignation Anunna (avec trois N) est quelquefois écrite Anuna (avec deux N). Dans ce cas, le terme Anuna recèle le terme 𒅇𒈾 [Ù.Na] ou [Una] qui signifie 'animal' et aussi 'sauvage et fier'. Cela en dit long sur le profil psychologique de ces guerriers. Selon mon entendement, cela signifie aussi que les Anunna étaient génétiquement programmés pour éprouver le besoin de consommer de la viande.

Toutefois, la morphologie de la langue sumérienne nous permet de décomposer le terme Anunna en An(u)-Nu'-Na, ce qui pourvoit une désignation étendue non pas contradictoire, mais complémentaire. Dans cette variante, on obtient respectivement : 𒀭 [An(u)] + 𒉡 [Nu] + 𒈾 [Na]. Ici, le pictographe 𒀭 peut être prononce [An] ou [Anu] qui alors n'est pas un déterminatif, mais un nom propre. En l'occurrence, il s'agit d'un personnage de sexe masculin appelé initialement An et ultérieurement Anu. Le pictographe 𒉡 [Nu] signifie 'organes génitaux mâles' ; 'filer', 'le fil' ; la négation 'non', 'ne pas'. Son homophone 𒀕 [Nu7] signifie 'créateur', 'engendreur'. Et comme on l'a vu, le 𒈾 [Na] signifie 'mâle', 'homme'.

Tout cela pris en considération, en nous référant fidèlement aux champs sémantiques des morphèmes sumériens tels qu'ils ont été relevés ici et en cherchant à les associer, on peut voir plus en profondeur ce que signifie la désignation Anunna. Ce sont donc "des êtres humanoïdes hybridés, fondamentalement reptiliens de sexe masculin, considérés ou se considérant comme nobles et dont l'occupation primordiale est le combat filé (perpétuellement), cause d'affliction (hélas !) et de larmes". Ce sont aussi "des créatures mâles de contestation (et de combat) dont le concepteur extraterrestre s'appelait An". En définitive, ce sont des guerriers supposés avoir participé à une guerre dans les étoiles. Lorsqu'ils arrivèrent dans le Système Solaire et finirent par s'installer dans la troisième octave fréquentielle de la planète Terre, cette octave terrestre ayant été désignée par le pictographe 𒆠 [Ki], à leur nom Anunna on ajouta le 𒆠 comme terminaison et depuis, on les appela par le nom AnunnaKi.



On façonnait les images clonées.


La question que l'on peut se poser ici concerne le personnage dénommé An(u). Qui était-il ? Dans l'Épopée de la Création retrouvée à Ninive qui commence par les mots 𒂊𒉡𒈠𒂊𒇺 prononcés [Enūma Eliš], ce qui signifie littéralement "Lorsque dans les hauteurs ...", un document en argile en plusieurs parties appartenant aux collections de British Museum à Londres et Ashmolean Museum à Oxford, nous apprenons de la tablette 1 de ce document (lignes 1-15) que 𒀭 [An] fut conçu par ses deux créateurs qui s'appelaient 𒀭𒊹 [AnŠár] et 𒆠𒊹 [KiŠár]. Sachant qu'en phonétique la lettre Š est lue "sh" comme dans le mot flash, leurs noms sont retranscrits respectivement Anshar et Kishar. Dans le texte, on lit que An fut façonné à l'image de Anshar. Il est ici intéressant de préciser que le nom AnŠár signifie "le Ciel dans sa Totalité" et que le nom KiŠár signifie "la Terre dans sa Totalité". Un détail supplémentaire pertinent constitue le fait que le pictographe 𒊹 [Šár] signifie non seulement 'totalité', mais aussi 'mélange' et en termes de la génétique 'hybridation'. Non par hasard, son homophone 𒊬 [Šar] signifie 'rendre splendide'.

Il est possible de retracer l'ascendance de Anshar et Kishar remontant au-delà de l'horizon du dédoublement cyclique majeur des temps jusqu'avant la déchirure intentionnelle non maîtrisée du tissu spatio-temporel dans une partie ciblée de notre galaxie dénommé Voie Lactée, mais ce serait un autre chapitre. Pour davantage d'informations au sujet des matrices artificielles et de l'art du clonage exercé dans notre passé lointain, les lecteurs intrigués sont libres de se référer à mon article "Enki le généticien et les Nu'ungal" publié ici sur les pages FlorRaison.

Comme ses ancêtres directs, An fut conçu selon un procédé de conception génétique in vitro et porté biologiquement à maturité en temps accéléré dans une matrice artificielle. Lui-même était un généticien spécialisé dans la science du clonage. Une des plus importantes créatures humanoïdes que An a conçues dans son laboratoire, était un individu cloné de sexe masculin dénommé pendant longtemps Ea. Son héritage génétique fondamentalement, mais pas seulement reptilien résulta d'une hybridation savante unique basée sur un concept que An a tenu secret et ne révéla jamais à quiconque. Soulignons que Ea n'était pas un spécimen Anunna étant donné que la souche Anunna n'existait pas encore au moment de la mise au monde de Ea qui ultérieurement sur Terre, portera le nom EnKi.

Dans la ligne 68 du texte "Enki et l'ordre du monde", réf.: tablette AO 6020 (TCL 1536) se trouvant aujourd'hui au Musée du Louvre à Paris, nous lisons ce que EnKi déclare au sujet de lui-même : " Je suis le premier né de An ". Pour rappel, EnKi fut programmé pour travailler essentiellement comme généticien, donc comme son créateur An.

Dans le contexte d'une crise épidémiologique et politique préméditée, An obtint une autorisation royale pour concevoir génétiquement les Anun(n)a. Dans ce même contexte, Ea (EnKi) obtint une autorisation royale pour concevoir génétiquement les Nu'ungal.
 
" Lorsque, sur la colline du ciel et de la terre, An a engendré les dieux Anuna, [...] il n'a ni engendré, ni créé de céréales avec eux [...] Les Anuna, les grands dieux, ne connaissaient même pas les noms Ezina-Kusu (Grain) ou Mouton. " Lignes 1-3 et 10-11 in la tablette " Céréale contre Menu-bétail " in Musée d'archéologie et d'anthropologie de l'Université de Pennsylvanie. Il en ressort que les Anunna n'étaient pas destinés à labourer la terre. Selon la désignation que leur concepteur génétique An leur donna, nous l'avons vu, les Anunna étaient des guerriers.



Un créateur et sa créature.


Cet épisode recèle un incident marquant qui aura de multiples conséquences dans la portion du tissu spatio-temporel contenant le bras galactique d'Orion où se trouve notre Système Solaire. L'incident concerne une création génétique expérimentale maîtrisée seulement partiellement et réalisée dans le même contexte de la crise épidémiologique et politique évoquée. Il s'agit d'un spécimen mâle hybridé à partir des séquences ADN sélectionnées et prélevées aléatoirement sur le patrimoine génétique de nombreux humanoïdes appartenant, pour la plupart, aux diverses souches de la branche reptilienne disséminées dans certaines constellations de la Voie Lactée. Dans cette conception, le risque d'incompatibilité épigénétique était particulièrement élevé. L'auteur de cette conception et son réalisateur était 𒀀-𒂗𒆠 [Ea-EnKi] en personne. Le clone en question auquel Ea-EnKi donna naissance à partir d'une matrice artificielle, fut appelé ultérieurement 𒂗𒆤 EnLíl.

Rappelons à ce propos que l'épithète 𒂗𒆠 [EnKi] désigne "le Seigneur / Ancêtre de la (planète) Terre" et précisons que l'épithète 𒂗𒆤 [EnLíl] désigne étymologiquement "le Seigneur ordinaire" ou "le Seigneur du Vent / du Souffle de fantôme malveillant / de la Maladie mentale", sachant que le pictographe 𒆤 [Líl] désigne aussi un savoir dissimulé et la folie.

Dès le début, EnLíl se révéla irascible, vindicatif, démesurément ambitieux, relativement adroit en décisions manipulatrices tranchantes et très motivé à s'exercer dans des activités de compétions sportives et de combat, mais n'était pas capable de faire la différence entre un acte planificateur et un acte de violence sexuelle. EnKi aurait pu éliminer ce clone dans les premiers jours de l'existence incarnée de celui-ci, mais ne le fit pas. Il convient de souligner que le patrimoine génétique de EnLíl n'était pas celui des Anunna. Cela implique le fait qu'il n'était pas un Anunna, même si, sur les plans du profil psychologique de groupe et de la combativité, il y avait une similarité et une attirance indéniables entre lui et ces guerriers.

Bien évidemment, EnLíl n'était pas un Nu'ungal non plus, surtout que le taux vibratoire de son âme aspectée oscillait trop bas pour pouvoir s'élever jusqu'au seuil requis et être inclus dans les fréquences luminiques hautement spirituelles caractérisant les planificateurs interstellaires fédérés. En termes de la génétique des espèces, EnLíl constiuait un cas hybridé à part, un prototype déficient unique. Très vite, il se sépara de son concepteur EnKi et devint le premier protégé de An. Dans la Bible, EnLíl aura été dissimulé derrière le nom יהוה lu en hébreu (de droite à gauche) [YHWH]. Ce nom n'apparaît pas dans le Chapitre 1 en début de la Genèse où les Dieux au pluriel sont désignés par le nom אֱלֹהִים [EL(o)H(i)M]. Ces deux appellations de "Dieu" ne sont pas synonymiques et se réfèrent à des entités incarnées distinctes. Les lecteurs intéressés peuvent compulser mes autres articles publiés dans le blogspot FlorRaison.

La suite des événements advenus se révéla d'importance historique majeure pour une zone notable de notre galaxie.



Une installation militaire stratégique.


Dans des circonstances dramatiques, EnKi en compagnie de la plannificatrice interstellaire 𒀭𒇉 [Namma], d'un petit groupe de Nu'ungal et de quelques autres individus, réussit à s'évader d'un assaut, pénétrer à bord d'un vaisseau spatial dans un tunnel intertemporel et arriver sur la 𒀭𒅁 [Uraš], donc la secrète planète Terre, autrement dit la Terre aux multiples secrets, qui est un autre nom désignant notre planète se trouvant à cette époque lointaine pendant un temps seulement, à l'écart des guerres dans notre galaxie.

Sans trop tarder, le généticien An, le créateur des guerriers Anunna dont il était le commandant suprême, leur assigna un chef subalterne. Il attribua cette fonction militaire à EnLíl. Lorsque An, EnLíl et les Anunna arrivèrent dans le Système Solaire, An en tête d'une grande partie de son armée, après une suite de combats sanglants, avait réussi à établir ses quartiers généraux sur la 𒀭𒄊𒀕𒃲 [KišUnuGal], c'est-à-dire la planète Mars. Il est intéressant de noter à ce propos que le terme sumérien 𒄑𒈥𒋗 [MarŠu] désigne 'une arme', plus spécifiquement 'une épée', tandis que son quasi homophone archaïque 𒈥𒊓 [MarSa] signifie 'entrepôt militaire'. 

Peu de temps après, An imposa l'installation de EnLíl et d'un groupe de ses soldats Anunna sous les ordres de ce dernier, sur la planète Terre dans la zone désignée initialement par le nom Eden, ultérieurement dénommée Kalam et plus tard Sumer, en raison de son potentiel agricole prometteur et surtout, en raison de l'existence de plusieurs 𒋛𒀀𒀯 [Diri(g)Mul] portails stellaires (portes des étoiles ou stargates en anglais), déjà repérés à cette époque, ce qui aux yeux de ces nouveaux colonisateurs, constituait un argument militaire stratégique de toute première importance.

Les AnunnaKi, dès leur arrivée dans l'Eden, nourrissaient une animosité envers les Nu'ungal désignés plus tard par le terme akkadien Igigi. Rappelons ici que les Nu'ungal ont été conçus en laboratoire par leurs deux concepteurs identifiés sous les noms EnKi et Namma. Précisons que la planificatrice Namma se spécialisait dans la science des hybridations génétiques ascensionnelles et du clonage. Cette animosité était doublement amplifiée par le chef des AnnunaKi, c'est-à-dire EnLíl qui n'aimait pas son concepteur EnKi, ainsi que par An qui, pour rappel, était le concepteur de tous les guerriers Anunna dont ceux qui ont été installés sur la planète Terre où ils portaient le nom AnunnaKi.



Les travaux forcés d'irrigation.


Je propose de passer maintenant à l'évocation d'un texte mésopotamien rédigé sur des tablettes d'argile en langue akkadienne. L'œuvre dont il est question porte le titre 𒀜𒊏𒄩𒋀 prononcé [Atra-Ḫasīs], ce qui signifie "Extrêmement sage". Il s'agit d'une description de la création du monde et d'un déluge. Ici, focalisons notre attention sur le fait que, selon ce texte, les Igigi, donc les Nu'ungal, considérés comme des 𒀭𒀭, un terme prononcé [Dig̃ir] ou [An-An], c'est-à-dire comme des êtres divins de rang inférieur parvenus sur Terre depuis le Ciel, travaillaient physiquement. Ils étaient forcés à creuser deux cours d'eau du Tigre et de l'Euphrate pour rediriger les eaux de ces rivières possiblement directement vers la grande plaine du pays de Kalam appelé aussi KiEnGir et plus tard Sumer, dans le but d'irriguer en permanence sa grande superficie prévue comme arable et agricole. Cette entreprise était menée jour et nuit pendant de très nombreuses années sous la direction des Anunna qui, en tant que guerriers, étaient exemptés de travaux physiques sans rapport direct avec les activités militaires.

" Quand les dieux, au lieu des hommes, faisaient le travail, portaient les fardeaux, le fardeau des dieux était trop grand, le travail trop dur, la punition trop lourde, les grands dieux Anunna firent porter aux dieux [prisonniers] Igigi le septuple de la charge à accomplir. Anu, le père de tous les Anunna était roi, leur conseiller était le guerrier Enlil, leur chambellan était Ninurta, leur contrôleur des canaux Ennugi. ", lignes 1-10. Et plus loin : " Les dieux Annuna du ciel faisaient porter la charge de travail aux dieux [prisonniers] Igigi. Ces dieux devaient creuser des canaux, dégager des voies, les lignes de vie de la terre. Ces dieux ont creusé le Tigre, puis l'Euphrate.", lignes 19-24 in Atra-Ḫasīs.

EnKi aurait pu rejeter l'ordre énoncé par An de condamner les civilisateurs Nu'ungal à l'emprisonnement et aux travaux forcés d'irrigation, mais y consentit. Il savait que son insoumission aurait déclenché la chasse acharnée aux Nu'ungal menant à leur condamnation ultime à la peine de mort. Surtout que les tout premiers supporters de An étaient EnLíl, le chef des AnunnaKi et en ce temps la compagne de ce dernier, l'intransigeante et ambitieuse 𒀭𒎏𒄯𒊕 [NinḪurSag̃] appelée ultérieurement Ninmah, la conceptrice et la fondatrice de sa résidence avec un somptueux jardin dénommé initialement 𒄯𒊕 [KḪurSag̃] (comme indiqué sur le cylindre d'argile CBS 8383-a dans les colonnes 2 et 5) et plus tard 𒂔 [Eden], donc le célèbre Eden biblique, localisé dans la région sud-est des montagnes Taurus, à proximité des cours supérieurs du Tigre et de l'Euphrate.

À un moment, mais pas du tout au début, EnKi réussit à négocier et à libérer un seul Nu'ungal identifié comme 𒍪𒄷𒋾 [ZuḪuTi] qui plus tard sera installé au pays de 𓆎𓅓𓏏𓊖 [K(u)M(a/e)T], un terme rendu en 𓂋𓏺𓈖𓆎𓅓𓏏𓊖 [R'n-Km.t] ou Re-EnKemet qui est la langue des pharaons égyptiens. Le 𓆎𓅓𓏏𓊖  aura été retranscrit plus tard en copte par le nom Ⲕⲏⲙⲉ [K(h)ēmə], pour simplifier Kemet, c'est à dire l'Égypte. Là-bas, 𒍪𒄷𒋾 [ZuḪuTidevenu le premier protégé de EnKi, portera le nom 𓅝𓏏𓏭 [DjuHuTi] prononcé aussi [Djehuti], ultérieurement prononcé [Th(e)uT(i)] et retranscrit en grec ancien Θώθ [Thốth], donc le célèbre Thot. Notons que l'expression sumérienne ZuḪuTi désigne "la connaissance ailée (spirituelle) qui traverse en partage la matérialité". Pour quelques renseignements supplémentaires, les lecteurs intrigués peuvent voir mon article "Enki et Osiris" publié ici sur les pages FlorRaison.

Les travaux forcés d'irrigation auxquels étaient contraints les Nu'ungal-(Igigi) se poursuivirent donc très longtemps jusqu'à leur insurrection qui marqua une césure historique tranchante rétrograde sur le plan de l'évolution de la vie sur la planète Terre. Cela étant donné qu'avant cette insurrection, le genre humain à l'héritage génétique fondamentalement simiesque était constitué de la branche identifiée sous l'appellation Ádam Abel, autrement dit Homo Neanderthalensis. Cela signifie que le prototype Ádam Caïn, autrement dit Homo Sapiens qui aura été conçu intentionnellement plus rigide et étroit dans l'exercice des activités mentales et moins développé spirituellement, n'existait pas à cette époque, car il n'était pas encore sorti d'une matrice artificielle.



Une souche ancestrale au potentiel multiple.


Aujourd'hui nous sommes encouragés à devenir plus souples dans nos interprétations des réalités que nous percevons de manière trop souvent distordue, préfabriquée, fragmentée et incomplète. Ce glissement dans nos attitudes mentales limitées vers davantage de formes pensées à connectivité cristalline de loin plus fluide, mais encore inutilisées par de nombreux humains, surtout ceux qui opèrent quasi exclusivement avec l'hémisphère gauche du cerveau, s'avère incontournable à qui souhaite élever son propre taux fréquentiel vital.

Il est important d'envisager une réalité advenue dans un passé lointain en terme de notre histoire terrestre sous un autre angle. Il s'agit d'une réalité depuis laquelle, au moins quelques-uns parmi nous les humains d'aujourd'hui, sont capables de reconnaître que la souche de colonisateurs humanoïdes reptiliens témoigne de caractéristiques génétiques diversifiées sur le plan des espèces issues essentiellement à partir des procédés d'hybridation scientifiquement assistés. Nous l'avons vu, les Nu'ungal-(Igigi) et les Annuna-(Ki) ne partageaient pas du tout le même génome prototypique.

Bien sûr, ces deux branches ne sont pas les seules à avoir existé sur Terre. Par exemple, les nombreuses plantes aquatiques et de surface ont été introduites pour ensemencer, former et structurer de façons écologiques harmonieuses les écosystèmes terrestres par des planificateurs intergalactiques non reptiliens. Il en était de même par exemple pour les coraux, les poissons, les insectes et les oiseaux. Il en sera de même ultérieurement à un moment décisif pour les mammifères. Cela signifie que le Système Solaire avec bien évidemment la planète Terre a été et continue d'être visité par certaines races planificatrices extraterrestres.

Pour en considérer seulement la grande famille humanoïde reptilienne, elle se laisse définir dans la lexicographie sumérienne par le terme 𒂍 [E2] signifiant 'foyer', 'maisonnée', et dans l'extension du champ sémantique subséquent par 'souche génétique de fondement (ou ancestrale au potentiel multiple)'. Ce terme sert ici d'identifiant et introduit l'expression (𒂍)𒄀𒈾𒀊𒄭 [GiNaAbi] qui se décompose en : 𒄀 [Gi] 'essence' + 𒈾 [Na] 'humanoïde mâle' + 𒀊 [Ab] 'ancêtre mâle' + 𒄭 [Ḫi] 'transformation / restructuration tissulaire ou plus spécifiquement cutanée'. Le terme final 𒄭 [Ḫi] suggère qu'il s'agit d'une caractéristique cutanée commune propre aux lézards qui consiste en renouvellement périodique de la peau. C'est donc le phénomène physiologique de la mue. 

Dans notre contexte, l'indication 𒂍𒄀𒈾𒀊𒄭 désigne en conséquence une branche ancestrale humanoïde reptilienne englobant plusieurs espèces reptiliennes diversifiées, pas nécessairement génétiquement compatibles entre elles. Le terme GiNaAbi a son synonyme sumérien précis qui est Šutum et qui reprend la même forme pictographique 𒄀𒈾𒀊𒄭. Remarquons que ces deux désignations GiNaAbi et Šutum, se réfèrent à un seul et même mot qui est 'Lézards'. Dans quelques autres contextes, on les traduit incorrectement par le mot 'Dragons', sachant que le terme 'dragon' est représenté par le mot 𒍘𒃲 prononcé [UšumGal] signifiant littéralement 'dragons grands et nobles', les Ushumgal étant une autre lignée de reptiliens humanoïdes établis dans la constellation 𒀯𒍘 [Ušu(m)], autrement dit la constellation du Dragon ou Draco en anglais.



Une spirale des désaccords entre les sexes.


Par un passé reculé dans son étendue cosmique et pendant longtemps, certaines souches de descendants reptiliens considéraient les reptiliens humanoïdes de sexe féminin comme étant des êtres appartenant à une lignée ou à quelques lignées reptiliennes génétiquement distinctes. Le pictographe 𒂼 prononcé [Ama] signifie 'mère' et a été souvent utilisé comme mot d'introduction dans la désignation de ces êtres. Par exemple le mot 𒂼𒈲 [AmaMuš] signifie 'mère serpent', sachant que le terme 'serpent' (ou 'lézard') a plusieurs synonymes pictographiques et phonologiques sumériens, tels 𒈲 [Muš], 𒈲𒃲 [MušGal], 𒈲𒄈 [MušG̃ír], 𒍘 [Ušum], 𒂇 [Mir], 𒅴𒋃 [EmeŠid] ou 𒅴𒁶 [EmeŠidim], ou à l'origine 𒀏 [Ag̃arin] qui est une lignée que nous allons aborder dans le paragraphe qui suit. Quelques-uns parmi ces mots désignent donc des animaux-serpents, d'autres désignent des êtres pensants à l'héritage génétique reptilien. Une surprise : le mot 𒈲 [Muš] signifiant 'serpent' qui apparaît plus souvent que ses autres synonymes, possède son homonyme qui est 𒈹 [š] signifiant 'Espace sacré laiteux (Voie Lactée)' et par extrapolation 'espace cosmique assigné / sous gestion'. Bien évidemment ce n'est pas dû au hasard.

Il est intéressant de noter que la très ancienne lignée des 𒀏 [Ag̃arin] est également écrite avec les pictographes 𒂼𒂆 [Ag̃arìn]. Prononcés identiquement, ces deux désignations synonymiques 𒀏 et 𒂼𒂆 sont donc ici homophoniques et signifient 'Matrice', 'Utérus', 'Mère-et-Père' ou encore 'Formatrice'. En fait, il s'agit d'une lignée de reptiliens humanoïdes de sexe féminin étant capables de mettre au monde leur progéniture sans rapports sexuels avec leurs partenaires mâles, c'est-à-dire par parthénogenèse. Dans les textes gnostiques rejetés par l'Église chrétienne, la faculté de procréation pouvant advenir physiquement par parthénogenèse est sous-entendue dans le terme aux multiples couches interprétatives qui est "Triple Puissance" (réf.: la Bibliothèque NagʿḤammādī, X-1, Marsane 9:1-29) et est indiquée dans la phrase "Auto-Engendrement à la manière d'une image (ou d'un clone)" (réf.: NagʿḤammādī, l'Allogène 51:13-32). Il y est indiqué par exemple que l'une des entités incarnées pourvues de cette puissance s'appelait Pistis. Ce nom, rendu en grec Πίστις [Pistis] peut provenir d'une autre langue très ancienne. 

Voici ce que j'ai trouvé donc. Dans la langue sumérienne, les voyelles 'e' et 'i' peuvent souvent être remplacées l'une par l'autre. Le même phénomène naturel d'alternance phonétique dans cette langue s'applique aux consonnes 'd'/'t' et aussi 's'/'š'. En conséquence, le nom Πίστις se laisse retranscrire en morphèmes sumériens 𒄫𒁹 prononcés [PešDiš], ce qui signifie "Trois en Un" (!). C'est révélateur. Pistis ne représentait pas le seul cas de la triple puissance réalisée dans la matérialité. Il y en a eu d'autres, sachant que cet épisode de l'histoire de la vie manifestée dans des formes humanoïdes intelligentes sur la planète Terre remonte très loin dans le passé à travers de nombreux millions d'années.

En regardant toute cette histoire dans une perspective élargie dans le tissu spatio-temporel, on peut se demander pourquoi dans ce monde d'humanoïdes à l'héritage morphologique reptilien, il existait et peut-être il existe encore une scission génétique préméditée aux conséquences négativement compétitives entre les deux sexes. Nous sommes aujourd'hui libres de ne pas écarter le scénario selon lequel il en est ainsi à cause d'une très longue guerre encourue dans notre galaxie dénommée Voie Lactée. L'un des aspects de ce conflit belliqueux prit forme d'une guerre psychologique et technologique entre deux sexes.

Avec quelques exceptions tantôt décevantes, tantôt édifiantes dans chaque camp adverse, en considérant impartialement la complexité décisionnelle et événementielle inhérente à l'Univers dans lequel nous évoluons, il est intéressant de mettre en évidence le fait que dans de multiples réalités où évoluent les reptiliens, globalement, les lignées de sexe féminin témoignaient d'un taux de vitalité luminique aimante originelle plus élevé que celui des lignées de leurs partenaires de sexe masculin. En conséquence, les femelles, pas toutes, mais la majorité d'entre elles, étaient plus intuitives, capables d'établir plus vite et plus facilement le contact avec les esprits de la Nature, quelle que soit la planète de leur résidence, et d'être à l'écoute des messages non biaisés qui leur parvenaient depuis la sphère de la Source de toutes les origines de tous les univers.

Une telle vibration intuitive rendait possible la vision des événements advenus dans les lignes parallèles intermittentes des temps futurs. Nombreuses étaient ces femelles qui disposaient d'une connaissance plus approfondie et d'un pouvoir sibyllin phénoménal. Elles utilisaient ce pouvoir pour éloigner et neutraliser les lignes temporelles chaotiques, dangereuses et inutiles. En même temps, elles focalisaient ce pouvoir sur la sélection de lignes temporelles futures pacifiques optimales.

Les reptiliens mâles, pas tous mais la majorité d'entre eux, ne disposaient guère de ces caractéristiques psychiques et demeuraient volontairement de loin plus intellectuels et de moins en moins compatissants. Ce qui les embarrassait le plus, c'était donc ce qu'ils ne possédaient pas, à savoir la faculté de procréation par parthénogenèse et la capacité de prévoir l'avenir. Il y eut un moment où, pour des raisons de pouvoir politique et de contrôle, la parthénogenèse a été interdite au profit des rapports sexuels classiques. À un autre moment, toute procréation naturelle (donc par parthénogenèse et par accouplements), à été interdite et éliminée au profit du clonage. Dans ces autres contextes socio-politiques, si une progéniture devait naître de manière naturelle, il fallait alors que sa mise au monde soit réalisée clandestinement.



Des déviations planificatrices subversives.


Tout cela laisse conjecturer que pour le moins dans notre galaxie, la diversité des espèces humanoïdes réptiliennes est étonnamment grande. Dans la littérature mésopotamienne il existe par exemple un terme désignant une lignée de reptiliens hybridés mâles aux caractéristiques motrices et psychiques singulièrement agressives. Cette lignée est définie par le terme akkadien 𒈲𒍽 prononcé [MušḪuššu] et signifiant 'rougeâtre', 'furieux, 'méchant'. Ces êtres étaient perçus comme ressemblant à des serpents humanoïdes ailés. Le terme sumérien plus ancien 𒈲𒄊 [MušḪúš] signifie 'serpents mythiques féroces'. J'ai fait une recherche supplémentaire orientée sur les synonymes sumériens s'y rapportant. Or, le pictographe 𒂇 [Mir] signifie 'serpent mythique', 'tempête', 'méchant'. Le 𒉈 [Gir10] signifie 'méchanceté', 'rage', tandis que le 𒁽 [Gir5] signifie 'coureur' et traduit aussi les verbes 'se glisser', 'se faufiler'. Selon certains mythes, les 𒈲𒄊 [MušḪúš] étaient des êtres capables de se matérialiser et de se dématérialiser à des moments imprévisibles dans des batailles et des combats. Non par hasard, le terme phonétiquement très proche qui est 𒉎𒄭𒄊 [NíḪúš] signifie 'apparition terrifiante'. Selon ma compréhension, c'étaient des êtres vivant dans un spectre vibratoire très opaque et bas imperceptible pour notre vision, mais capables de se glisser depuis leur octave fréquentielle vers la nôtre et de devenir temporairement visibles pour nos yeux.

Nous pouvons penser sans tort qu'il s'agit de créatures belliqueuses farouches pestilentielles, donc des guerriers dont le taux de vitalité luminique était exrêmement bas. Ces créatures ont bel et bien existé sur la planète Terre et, par exemple, ont les a représentées sous forme de gargouilles décorant certaines parties de nos églises et de nos cathédrales. Et nous pouvons penser sans tort que An, très probablement en compagnie au moins de l'un des généticiens dans la lignée de ses ascendants, a cocréé dans son laboratoire cette souche des 𒈲𒄊 [MušḪúš] pour des motifs de guerre et de conquête. Les femelles reptiliennes n'étaient pas les seules à avoir très peur de l'armée des Mush-Hush. Clarifions donc que sur les plans génétique et psychologique, les Mush-Hush n'étaient pas du tout des Anunna.

Ce qui est intrigant, c'est le fait que l'on retrouve le même terme 𒄭𒄊 [Ḫúš] dans la désignation sumérienne 𒄭𒄊𒈣 [ḪúšMa] signifiant 'roi furieux' et aussi 'arme' ou 'roi(s) armé(s)'. Il n'y a pas de hasard si, phonétiquement, donc sur le plan de la prononciation, le 𒈣 [Ma] est très proche du 𒊬 [Mú] qui signifie 'enragé/s'. Sauf que ici, il nous faut remonter le temps de plusieurs millions d'années terrestres. Selon mon entendement, il ne s'agit pas d'un type quelconque d'êtres pensants, mais d'une lignée d'animaux sauvages que l'on pourrait désigner aujourd'hui par le terme 'dinosaures prédateurs'.

Cet épisode se rapporterait à la phase triasique tardive lors de laquelle fut intentionnellement altéré un projet initial d'ensemencement de formes animales exclusivement herbivores. Cette altération constitua une déviation planificatrice subversive. Elle consista en l'introduction de prototypes de dinosaures carnivores singulièrement agressifs conçus génétiquement en laboratoire en vue de baisser par étapes et à long terme les fréquences de la planète Terre. Il y eut un but stratégique pour ce faire, mais ce serait pour nous un autre chapitre.

Relevons toutefois à ce propos que dans la documentation gnostique apparaît un nom propre copte retranscrit en grec ancien qui est Ἀδάμας [Ădămās]. Malgré le fait que ce nom indique grammaticalement une seule entité consciente et agissante, il se réfère à une souche génétique reptilienne humanoïde, donc un groupe d'âmes incarnées. Dans ce groupe, pas toutes, mais de très nombreuses âmes se trouvaient enfermées dans la déficience luminique des reflets. Certains individus Adamas étaient les auteurs de cette déviation subversive susmentionnée. Ajoutons qu'à l'échelle du temps stellaire, les lointains ascendants de cette souche étaient responsables du cataclysme de magnitude cosmique advenu dans la 𒀯𒉺𒇻𒍣𒀭𒈾 [PaLuZiAnNa] prononcé aussi [SiPa(d)ZiAnNa], en grec ancien Ὠαρίων [Ô-a-ríôn], donc dans la constellation d'Orion. Plus spécifiquement, il s'agit d'une zone assombrie de cette constellation désignée aujourd'hui sous l'appellation Nébuleuse M42.

Précisons que le terme sumérien 𒀯𒉺𒇻𒍣𒀭𒈾 se traduit par "La région stellaire où la fronde ailée humanoïde contrôlante (= des surveillants de troupeaux d'animaux) annihila le ciel". Il est très probable que le terme sanskrit रुद्र [Rudra] désignant le dieu à quatre visages de la tempête, de la destruction, de la désolation et de la médecine (on sous-entend la génétique), se réfère à un groupe d'individus manipulateurs obsédés par leur volonté de l'anéantissement de l'ordre cosmique établi. Il est très probable que le रुद्र [Rudra] se réfère à la souche Adamas. D'autant plus qu'en reconstituant ce mot en morphèmes sumériens 𒊒𒌓𒊏 [R(u)Ud] où 𒊒 [Ru] = 'souffler' + 𒌓 [Ud] = 'tempête' 𒊏 + [Rà] = 'étriper' et 'tuer', on obtient l'expression "les déclencheurs et propagateurs de la tempête qui éventre / annihile (le monde)". Relevons à ce propos que रुद्र [Rudra] qui en sanskrit signifie aussi 'épouvantable', préfigure शिव [Šiva], donc Shiva.

Selon les règles dans la conjugaison référentielle des formes verbales, le terme grec Adamas se laisse décomposer en Ἀ-δαμάζΩ [A-damazÔ] où  constitue la première lettre de l'alphabet, c'est-à-dire un début. Le verbe δαμάζω [damazô] signifie 'dominer' et se termine grammaticalement par un Ω [Ô-Méga] qui est l'avant-dernière lettre, donc la 26-ème de l'alphabet grec ancien, ce qui désigne une fin au-delà de laquelle il y a l'ouverture vers une autre réalité inversée, valable pour un autre cycle cosmique du temps. Il pourrait s'agir aussi d'un cycle de temps et d'une réalité parallèles. Qui plus est, le Ἀ porte en soi l'idée de la négation. Ainsi, le mot δαμάς signifie 'indomptable' et dans le sens physique, 'incassable' comme le diamant, 'adamantin'. Avant de clore ce paragraphe, notons que le terme sumérien 𒁁𒈪 [Adama] signifie 'un écoulement corporel de couleur assombrie'. Ici, je ne peux m'empêcher de penser à la Nébuleuse M42 dans une zone de la constellation d'Orion où "le lait céleste a été annihilé". Et finalement, le terme sumérien phonétiquement quasi identique 𒈓 [Adamin] signifie 'peuple de contestation', 'peuple de dispute et de combat'. Ce pictographe nous révèle un détail visuel flagrant : deux mondes (ou deux réalités) qui, en traversant un miroir invisible, empiètent l'un sur l'autre.

Juste songeons à ces trois brèves citations  : " [...] Adamas existait dans la première nuée lumineuse, celle qu'aucun Ange n'avait jamais vue parmi tous ceux appelés dieux. ", extrait du manuscrit copte sahidique réf.: Codex Tchacos, l'Évangile de Judas, 48:13. Et aussi : " La multitude de ces immortels [Adamas] fut appelée Kosmos - ou perdition [...]. "l'Évangile de Judas, 50:14. Et par exemple plus loin " [...] Adamas, le grand tyran, et tous les tyrans se trouvant dans tous les Éons, commencèrent à combattre sans cause contre la Lumière [...] ", extrait du Codex Askewianus réf.: Pistis-Sophia I, 15.

Sur Terre, de très nombreux humains Homo Sapiens d'aujourd'hui, confondent les AnunnaKi principalement avec les Mush-Hush, aussi avec les Ushumgal et les Igigi, ne se rendant pas compte que ces lignées constituent les races reptiliennes très différentes, aux taux de luminosité vitale variés et, dans de nombreux cas, génétiquement incompatibles.



Des efforts pour infuser la paix entre deux sexes.
 

À un moment ultérieur de l'histoire, les AnunnaKi dont le statut était donc celui de guerriers de sexe masculin établis initialement dans le pays d'Eden, avaient obtenu l'autorisation de pouvoir fonder des familles avec les 𒅴𒁶 [EmeŠidim], donc les humanoïdes reptiliens de sexe féminin présents sur la planète Terre longtemps avant l'arrivée des Annuna. Il y eut des EmeŠidim qui acceptèrent volontairement le projet de s'accoupler avec des AnunnaKi en vue de pourvoir une progéniture immanquablement hybridée. Cela était possible du fait de la compatibilité génétique acceptable entre ces deux lignées, malgré de nombreux écarts dont le principal représentait la grande différence entre leurs taux de luminosité spirituelle vitale, celui des femelles étant de loin plus élevé.

La désignation sumérienne 𒅴𒁶 [EmeŠidim] signifie '(qui parle) la langue femelle des serpents bâtisseurs', sachant que l'homophone 𒌝𒈨𒁶 [Eme2Šidim] signifie 'bâtisseuse/s nourrice/s (de progéniture) serpent/s'. La désignation 𒅴𒁶 [EmeŠidim] recèle le terme 𒋃 [Šid] qui signifie 'pot (pour céréales)', 'datte' et, selon ma perception, laisse entendre que les EmeŠidim étaient végétariennes. Pour rappel, les Anunna étaient carnivores. Le mélange de ces deux lignées permit, au moins pour certains d'entre les AnunnaKi, d'élever tant soit peu leurs fréquences sur les plans morphologique et éthérique, toutefois non sans risque de baisser le taux vibratoire de certaines des EmeŠidim.

Il est intéressant de mentionner qu'après la libération des IgiGi, certains d'entre eux eurent des rapports sexuels amoureux avec certaines autres d'entre les EmeŠidim. Leur progéniture hybridée s'en trouva rehaussée sur le plan vibratoire global.



C'étaient d'habiles traqueurs, mais pas du tout des investigateurs.
 

Pour en revenir aux AnunnaKi, essayons de voir de plus près quelles auraient pu être leurs caractéristiques psychologiques. Pendant la compulsion de nombreux fac-similés de tablettes en argile rédigées en sumérien, je n'ai pas pu m'empêcher de reconnaître en moi une impression que les originaux à partir desquels des séries entières de copies ont vu le jour dans des archives préhistoriques aujourd'hui inexistantes, ont été écrits par des individus appartenant à la branche génétique AnunnaKi. Il en ressort que c'étaient des êtres calculateurs non dépourvus d'émotions. Ils éprouvaient facilement les sentiments de colère, d'euphorie, d'abattement et d'angoisse. Ils savaient ce que signifie la peur, étant donné qu'en maintes circonstances de la vie au quotidien, ils avaient peur. Leur sentiment de compassion était rudimentaire et leurs âmes se devaient d'approfondir la transcendante valeur de ce sentiment, ce qui, dans la sphère énergétique de leur mental, constituait un véritable défi, sans doute insurmontable pour certains d'entre eux. Cela ne signifie point que ces êtres ignoraient la souffrance, eux-mêmes y étant soumis. Leurs facultés intellectuelles n'étaient pas élargies, pourtant suffisamment aiguës pour considérer eux-mêmes comme les représentants d'une lignée meilleure que toutes les autres lignées humanoïdes du simple fait que par décret, ils dominaient administrativement les autres races établies sur la planète Terre.

Leur domination sociale ne nécessitait guère de compétences scripturales, et ceux parmi les AnunnaKi qui savaient lire et écrire étaient extrêmement rares. Leur compréhension du monde dans lequel ils évoluaient témoignait d'une mentalité, disons, médiévale. Ils désignaient leurs seigneurs par le titre 𒀭 [An] prononcé aussi [Diir] signifiant "célestes altesses" et s'identifiaient comme 𒀭𒌉 [Diir-Dumu], c'est-à-dire leurs "fils divins". Tous ceux qui se trouvaient sous leur contrôle, donc par exemple, pendant longtemps les Nu'ungal-IgiGi ou plus tard les communautés de la souche Homo comme, dans un premier temps de cet épisode Ádam Abel (Homo Neanderthalensis), représentaient selon leur convictions astucieusement programmées, des êtres subalternes et, en cas de la souche entière Homo, des êtres inférieurs qui ne vivaient sur Terre que pour servir les AnunnaKi et leurs créateurs.

Pas tous les Anunna, toutefois certains parmi eux, éprouvaient un plaisir malsain à abaisser moralement les autres qui se trouvaient sous leur autorité et, ce qui n'était pas rare, même à recourir à leur infliger des sévices corporels. Pas tous, toutefois de nombreux Annuna(Ki) éprouvaient un sentiment de confort vibratoire dans des environnements carcéraux où, en des périodes de couvre-feu, ils travaillaient comme gardes-chiourme et geôliers. Cependant, les tâches les plus ingrates dans les groupes de vigiles, étaient relayées à des spécimens traités comme une main-d'œuvre vulgaire, appartenant à une des branches 𒊾 [Kiši6] qui était constituée d'humanoïdes à tête de fourmi, une des créations génétiques réalisées par une faction des reptiliens 𒄀𒈾𒀊𒄭 [GiNaAbḪi]. Relevons à ce propos que le terme 𒊾 [Kiši6] signifie littéralement 'fourmi', son homophone Kiši(b) signifie 'main/s' et par extrapolation 'main-d'œuvre'. Ces êtres n'ont pas d'intelligence individuée et sont très obéissants. Aujourd'hui, de nombreux humains les considèrent comme une espèce hostile et, en manque de discernement, les confondent avec quelques autres races qui sont bénéfiques pour l'humanité.

Reconnaissons l'évidence que dans de nombreuses espèces humanoïdes intelligentes, donc non seulement reptiliennes, il y a toujours eu des individualités exceptionnelles échappant à toute catégorisation sociale et/ou psychologique. Certains autres parmi les AnnunaKi cherchaient inconsciemment à apprendre à élever leur taux vibratoire et souvent y échouaient, mais quelquefois, à grands efforts, y parvenaient. Dans ces cas, il importait d'envisager plusieurs options événementielles, d'en sélectionner celle qui se présentait comme optimale sous forme d'un chemin de la vie qu'on choisit dans la physicalité et d'entrevoir dans quelle mesure un individu concerné serait capable d'évoluer en termes de sa fréquence vitale lors d'une même incarnation. Précisons que ce processus est initialisé au niveau de l'âme avant qu'elle ne décide de s'incarner dans une espèce telle ou autre et donc dans un corps génétique de son choix.

Globalement dans leur évolution, les Anunna établis sur Terre et ailleurs ont toujours eu un problème intellectuel sérieux. Ce problème représentait pour eux la grande difficulté à formuler les questions, surtout les bonnes questions. Bien évidemment ils ne sont pas la seule espèce qui a ce même problème. Rien que de ce fait, les AnunnaKi étaient d'habiles traqueurs, mais pas du tout des investigateurs. Ils savaient protéger leurs acquis et privilèges sociaux. Ils le faisaient manu militari. Majoritairement, eux-mêmes n'étaient pas très disciplinés, ce qui ne les empêchait pas d'imposer une discipline de fer aux autres. Relevons à ce propos que des experts longuement expérimentés en manipulation psychologique, des spécialistes appartenant à quelques autres races reptiliennes distinctes, savaient rendre les Anunna obéissants et disciplinés en leur faisant peur et en les figeant dans des circonstances de menace et de survie.

Il arrivait que certains AnunnaKi étaient forcés à descendre dans la fréquence vibratoire en dessous du seuil du besoin de survie et devenaient mentalement déséquilibrés au point de perdre le contrôle de leurs propres pensées et de leurs actes. Cette descente effleurait une profondeur inaccessible aux vibrations plus élevées d'un quelconque spécimen de la souche Homo. Toutefois, c'étaient des cas relativement rares. Certains autres AnnunaKi cherchèrent à élever leurs fréquences en se mettant à côtoyer des individus au taux vibratoire de la force vitale plus lumineux (comme par exemple les femelles reptiliennes Eme-Shidim) et à coopérer avec eux.

Contrairement à certaines branches génétiques reptiliennes comme Ushumgal ou Ag̃arìn, ou comme certaines femelles EmeŠidim, les Anunna(Ki) n'étaient pas des télépathes, ce qui laisse entendre qu'ils étaient incapables de lire les pensées et scruter les images mentales des autres. 

Pour mettre une touche finale à ce portrait psychologique sommaire, relevons encore qu'ils ne trouvaient aucun intérêt dans les activités artistiques. Après tout, les Anunna(Ki) étaient à l'origine programmés comme des guerriers censés n'avoir aucun état d'âme dans les batailles sanglantes, lorsqu'ils tuaient ceux qui étaient désignés comme leurs ennemis et lorsqu'ils démolissaient toutes les possessions matérielles du camp adverse avec toutes les œuvres d'art que ces possessions abritaient. Bien plus tard, seulement quelques-uns d'entre eux, dans leur quête inconsciente d'une élévation fréquentielle évolutive engrammée dans leurs âmes, apprirent à apprécier les œuvres d'art uniquement dans le registre de leur valeur matérielle, sans pour autant pouvoir y déceler une quelconque possibilité d'initiation et d'ouverture vers les dimensions spirituelles émanant de ces œuvres.



Les nobles gardiens de la Terre au destin immense.


Tout cela exposé en grand raccourci, nous ressentons au plus profond de nous-mêmes que la préhistoire de la vie intelligente sur la planète Terre ne se limite pas uniquement à des espèces humanoïdes dont l'héritage génétique s'avère fondamentalement reptilien et ultérieurement simiesque. Il est très important dans notre enquête de ne pas omettre l'existence d'au mois une espèce humanoïde fort ancienne, primordiale à plusieurs égards.

Dans la langue sumérienne nous retrouvons le terme archaïque 𒉆𒇽𒍇 [NamÙlu], prononcé souvent [NamLú'lu] et aussi en forme contractée [NamLúU]. Ce terme désigne l'Humanité originelle sur Terre. On peut évidemment le décomposer en trois pictographes successifs lus de gauche à droite : 𒉆+𒇽+𒍇 et scruter les champs sémantiques de chacun d'eux. Ainsi, le premier pictographe 𒉆 [Nam] signifie 'volonté', 'foi', 'testament', 'aire de responsabilité', 'destin' et aussi initialement 'gardien', un concept étendu ultérieurement à 'gérant' et 'seigneur'. Son homophone 𒉇 [Nám] signifie encore une fois 'destin' et aussi 'prévoyance', 'capable d'anticiper, de planifier', ainsi que 'prince' et 'noble'. Ensuite, le deuxième pictographe 𒇽 [Lú] signifie 'être/s humain/s important/s'. Et puis le troisième qui est 𒍇 [Ùlu], prononcé aussi [U18], signifie dans chaque cas phonétique 'immense'. Nous pouvons en déduire que le terme 𒉆𒇽𒍇 [NamÙlu] se référait aux "Nobles Gardiens de la Terre au destin immense". Là-dessus, sur le plan de la prononciation, il y une forte ressemblance avec ce que nous offre la langue sanskrite où le नाम [Nama] signifie 'nom' et le मूल [Mula] signifie 'commencement', 'source'. En plus, le आमूलम् ['AmUlam] signifie 'dès le début'. Ainsi, le terme sumérien 𒉆𒇽𒍇 [NamÙlu] ressemble étonnamment au terme sanskrit नाम मूल [Nam(a)M(u)La] pouvant désigner un peuple qui portait un nom archaïque originel, ou se rapporter à un premier peuple de la Terre à qui on a donné un nom. Serait-ce encore un hasard ?

Relevons ici que, dans cette souche, il en existait pour le moins deux versions génétiques. La version humanoïde initiale était davantage physique, la seconde était plus éthérée. Les planificateurs reptiliens en matière de la génétique n'ont pas été impliqués dans la conception de la lignée NamLú'lu, que ce soit dans sa version initiale ou dans ses versions ultérieures. Les NamLú'lu étaient présents déjà sur le méga continent de la Pangée. C'étaient des êtres plutôt solitaires, mais parfois ils formaient des triades, donc des groupes de trois individus pour des raisons que nous n'allons pas développer dans ce chapitre. Mentionnons seulement que les NamLú'lu étaient des télépathes capables de communiquer par images mentales avec des esprits de la Nature qui investissaient les formes vivantes de minéraux, de plantes et d'animaux. Ils protégeaient énergétiquement les écosystèmes à l'échelle planétaire. La version éthérée possédait davantage de capacités à se déplacer dans des octaves fréquentielles ondulant au-dessus de la troisième octave valable pour le fonctionnement de la conscience aspectée dans ce que les humais d'aujourd'hui désignent par le terme "troisième dimension".

Pour ces êtres, notre octave était la plus dense d'accès et, contrairement à l'espèce Homo Sapiens qui verra le jour un fragment de l'éternité plus tard, ils ne pouvaient pas descendre plus bas. Cela signifie aussi qu'à leur niveau luminique, les NamLú'lu échangeaient les informations vitales avec certaines sphères de la conscience évoluant dans les fréquences angéliques et d'autres sphères capables de s'élever jusqu'aux fréquences propres à la conscience des avatars cosmiques divins.

Contrairement à de très nombreuses espèces humanoïdes dont la branche Homo Sapiens, Les NamLú'lu n'agissaient pas comme des êtres programmés. Pendant certaines périodes sagement prolongées, ils se tenaient à l'écart des scènes de la lutte pour la survie, de la corruption, des qui pro quo et de la bataille, s'étant placés en retrait souvent en qualité d'observateurs impartiaux dont la tâche consistait à continuer à transmettre l'information de ce qui se passe vers les octaves plus hautes. En réalité, ils n'ont jamais quitté la planète Terre. De leur plein gré, en termes de l'incarnation, les âmes de certains de ces êtres se sont aspectées physiquement parmi nous à notre époque de ce temps présent, parce qu'il y a une urgence de magnitude galactique.



Une échelle étoilée de la longévité.


Bien évidemment nous sommes dans notre droit de nous interroger sur la longévité des NamLú'lu et nous n'aurons pas tort en conjecturant que les spécimens appartenant à la souche aux corps plus éthérés de cette espèce, vivaient très, très longtemps. Et qu'en est-il des AnnunaKi ? Pouvaient-ils vivre longtemps ?

Eh bien, le document rédigé en sumérien sur les tablettes en argile intitulé 𒉆𒈗 [NamLugal], ce qui signifie "Royauté", connu plus souvent sous le titre "La liste royale sumérienne" nous en donne une idée. Cette liste énumère les rois depuis les dynasties antédiluviennes jusqu'à Sin-magir, quatorzième roi de la dynastie d'Isin (v. 1827-1817 av. J.-C.). Il convient de savoir qu'il y eut plusieurs déluges et il n'est pas évident lequel d'entre eux marqua la césure. Quoi qu'il en soit, pour ce qui est de la longévité d'un nombre considérable de ces rois, nous avons de quoi nous étonner.

" La royauté étant descendue du ciel, Eridu (fut) pour la royauté. À Eridu, Alulim fut roi ; il régna 28 800 ans ; Alalgar régna 36 000 ans ; 2 rois régnèrent 64 800 ans. Eridu fut abandonnée, sa royauté fut portée à Bad-tibira. À Bad-tibira, Enm(n)-lu-ana régna 43 200 ans ; Enme(n)-gal-ana régna 28 800 ans ; le divin Dumuzi, le pasteur, régna 36 000 ans ; 3 rois régnèrent 108 000 ans. [...] " Extrait du début, lignes 1-17 de "La liste royale sumérienne" (qui se poursuit jusqu'à la ligne 431) dans les collections à Ashmolean Museum, Oxford en Grande-Bretagne.

Non, ce n'est ni de l'affabulation, ni de la science fiction. On peut se poser la question si, avec les durées de vie de cet ordre, il s'agit d'individus Homo Sapiens. Je ne le pense pas, surtout que dans le paysage des questions que je me pose et de mes recherches qui s'ensuivent, il apparaît manifeste que les humanoïdes terrestres de la branche simiesque avaient à leur disposition des incarnations biologiques courtes comptées tout au plus en quelques dizaines d'années.

Cela auraient pu être certains civilisateurs reptiliens IgiGi, mais une carrière politique ne les intéressait pas. Ils ont déjà quitté le territoire de l'Eden. Certains d'entre eux s'en allèrent en direction des montagnes Taurus.

Je me suis amusé en cherchant à retranscrire le nom de la province Şanlıurfa en morphèmes sumériens. Cette province est située dans les montagnes Taurus dans le sud de la Turquie d'aujourd'hui. Elle a une frontière avec la Syrie. Ainsi, sachant qu'en sumérien la consonne N peut parfois prendre forme de G̃ prononcé [ng] et que l'inexistante consonne F doit être remplacée par B, l'appellation turque Şanlıurfa se décompose en 𒊕𒉌𒃡𒌍 [Sag̃LíÙrBà], ce qui se laisse traduire par "L'avant-garde qui dans les montagnes mesure la voûte (céleste) des signes des événements futurs".

Lorsqu'on remplace le pictographe 𒃡 [Ùr] qui signifie 'voûte' par son homophone 𒄯 [Ur5] se référant aux adjectifs 'confiné/s', 'emprisonné/s' et aux verbes 'collecter', 'stocker', on obtient la variante "L'avant-garde en confinement qui mesure et collecte les signes (célestement scintillants) des événements futurs". Cette traduction est envisageable si le pictographe final 𒌍 [Bà] signifiant 'présage', est remplacé par son homophone 𒈦 [Ba7] signifiant 'étincelant'. Relevons donc que, aptes à fournir l'information stratégique en observant rigoureusement le ciel étoilé, incarnant des experts civilisateurs en plusieurs domaines dont l'astronomie, les Nu'ungal-IgiGi - on s'en souvient - se trouvaient, avant leur affranchissement social sur Terre, sous le contrôle carcéral exercé par les AnunnaKi. Est-ce un hasard, si la province turque Şanlıurfa abrite en son sol le site archéologique Göbekli Tepe ?

En quittant définitivement l'Eden, un autre groupe de Nu'ungal-IgiGi se dirigea vers le pays de Kemet, c'est-à-dire l'Égypte.

Pour évoquer une fois de plus la fameuse liste sumérienne des rois, il semble très plausible que, témoignant de durées de vie incroyablement longues à nos yeux, mais rendues possibles grâce à un patrimoine génétique spécifique, fondamentalement reptilien, ces rois humanoïdes aient été des AnunnaKi et leurs descendants dont les descendants, au moins quelques-uns parmi eux, possédaient l'aptitude à transformer l'apparence physique de leur corps. 



D'autres camouflages.


En sumérien, la suite des pictographes 𒋗𒅗𒋢𒈹 prononcée [ŠuDug4SuMùš] se décompose en : 𒋗𒅗 [ŠuDug4] 'transformer' + 𒋢 [Su] 'corps', 'chair' + 𒈹 [Mùš] 'apparence', ce qui désigne "la transformation de l'apparence corporelle". Ou encore le terme 𒁶𒉽𒋢𒈹 qui se décompose en 𒁶 [Dím] 'faire' + 𒉽 [Kúr] 'différent', 'alternant' + 𒋢 [Su] 'corps', 'chair' + 𒈹 [Mùš] 'apparence', ce qui signifie "faire changer ou alterner l'apparence corporelle". Ajoutons là-dessus que le synonyme de 𒋢 [Su] 'corps' est le mot 𒌣 [Úmun] signifiant donc encore une fois 'corps' et aussi 'connaissance', ce qui sous-entend une capacité en même temps psychique et génétique. Et rappelons que le mot 𒈹 [Mùš] 'apparence', a son homonyme parfait qui est 𒈲 [Muš] signifiant 'serpent'. Cette caractéristique n'a rien à voir avec la mue, mais avec un glissement dans l'apparence des contours et de la surface du corps. En anglais, ce phénomène est désigné par le terme shape-shifting. 

À l'échelle galactique, certaines espèces de loin plus évoluées spirituellement que les AnunnaKi et les Homo Sapiens, possèdent la capacité de transformations polymorphiques qu'elles utilisent à des fins pacifiques. Sachant que de très nombreux individus appartenant à l'espèce Homo Sapiens ont peur de ce qui est différent et qu'ils ne comprennent pas, surtout en matière des manifestations physiques, ces êtres évitent d'apparaître sous leur forme originelle dans les environnements intellectuellement immatures. Ils ne souhaitent d'êtres perçus ni comme des sauveurs, ni comme ceux que les humains fuient ou qu'ils cherchent à éliminer. Certains d'entre eux sont toutefois présents parmi nous et nous côtoient en arborant une forme humaine ordinaire.



Les figurants et ceux qui se déprogramment.


Une vision mémorielle s'expose maintenant à mon regard qui traverse un cristal. Certains individus pensants, peu importe à quelle race galactique ils appartiennent, ont un chemin, tandis que d'autres, peu importe à quelle race galactique ils appartiennent, n'en ont pas. Ceux qui ont un chemin, ont choisi ce chemin, parce qu'ils avaient un choix parmi plusieurs options. Ils ont toujours un choix, parce qu'ils savent poser les questions et écouter, et parce qu'ils écoutent.

Ceux qui n'ont pas de chemin, n'en ont pas, parce qu'ils ne posent pas de questions et n'écoutent pas. Ils n'écoutent pas, parce qu'ils font partie d'un décor. Ils n'ont pas vraiment de but dans leur vie. Au lieu d'un but quelconque, ils ont un programme dont ils ne sont pas les auteurs. Ils sont programmés à la façon d'un hologramme. Ils s'incarnent pour vivre dans la matérialité, pour travailler et pour mourir. Ils n'ont rien choisi. Ils font partie du décor, ce sont des figurants. Ce sont des énergies brutes chaotiques placées dans un décor pour ceux qui ont un chemin. Ces énergies se déplacent d'un système stellaire à un autre et se matérialisent comme des figurants dans un film. La fonction fondamentale de ces figurants consiste à constituer des entraves et à dévier du chemin ceux qui avancent sur ce chemin. Il s'ensuit que certains parmi ceux qui avancent sur leur chemin, peuvent être égarés et piégés.

Tout cela fait partie des leçons à ceux qui ont un chemin, continuent à poser des questions et à écouter. Ceux qui ont arrêté d'écouter, même ceux parmi eux qui parlent d'une voix autoritaire sans écouter les autres, n'apprennent plus rien et finissent par se fondre dans le décor.

Certains parmi ceux qui ne sont pas des figurants, arrivèrent sur Terre plusieurs fois dans le passé étendu sur des millions d'années terrestres. Dans ce groupe, il y a aussi ceux qui, en leur qualité d'âmes de maîtres cosmiquement évoluées, sont arrivés dans le Système Solaire pour la première fois et qui, aujourd'hui, nous côtoient. Eux tous savent que les figurants appartenant à la race Homo Sapiens sont querelleurs, se fâchent, se blessent mutuellement, se jugent et s'entre-tuent, n'arrivant pas à comprendre que sur Terre, la souffrance n'a plus aucune fonction karmique et qu'elle n'est plus utile. Ils savent que les figurants confondent l'humilité avec l'humiliation et la victimisation. Ils savent qu'il est très difficile aux figurants de verbaliser un remerciement ou un compliment justifié édifiant à qui que ce soit qui le mérite.

Dans les nombreux cycles cosmiques du dédoublement des temps, ceux qui n'ont pas de chemin se sont découpés de leur Moi Central que les humains dénomment "moi supérieur" et n'en ont pas. Ils demeurent en périphérie, là où se trouve le décor et en font partie.

Ceux qui ont un chemin sur la planète Terre de notre temps présent, sont ici de leur plein gré. Ils n'interfèrent pas avec le libre arbitre de quiconque. Ils sont ici - redisons leur motivation - pour assister nous les Terriens dans nos efforts à élever en fréquences le taux luminique vital d'autant d'individus que possible. Les enjeux sont d'une ampleur cosmique, car en cas d'échec, les répercussions involutives auraient un impact de type cancéreux intensément contagieux sur de nombreuses galaxies dans l'Univers. Ce n'est donc pas du tout une affaire épisodique locale de l'espèce terrestre humanoïde qui se désigne par l'appellation Homo Sapiens.

Ceux qui ont un chemin sur la planète Terre de notre temps présent infusent et contribuent à apporter et à propager les vibrations luminiques vitales divines qu'ils reçoivent directement depuis le Centre Cardiaque de la Source de toutes les Origines. Cette tâche n'est pas facile, mais elle est fascinante, d'autant plus que les races humanoïdes pensantes présentes sur la Terre d'aujourd'hui ne sont pas les seules concernées. Les nombreux minéraux, l'eau, l'air, l'univers des plantes et des animaux s'alignent par étapes en fréquences ascensionnelles de plus en plus vite. Ces alignements leur permettent de se remplir de plus en plus facilement de hautes vibrations de connectivité et de guérison ondulant sous forme de faisceaux multicolores d'un rayonnement conscient et indestructiblement vivifiant. Il en est ainsi du fait que les cristaux, les arbres et beaucoup d'animaux ont aussi un chemin.

Pour ce qui est des humains qui ont un chemin, ils ont la capacité de se reconnaître intuitivement. Ils sont aujourd'hui très nombreux. Et voici la plus belle nouvelle que ceux qui savent écouter, entendent : Eux, c'est nous-mêmes.



En accord avec notre vocation et nos talents uniques.


Dans le tissu spatio-temporel où le passé, le présent et le futur se déroulent simultanément, la Nouvelle Terre existe déjà. L'Univers entier qui n'est pas un mécanisme, mais un organisme, La soutient. Notre inévitable défi se résume en notre contribution à soutenir cet effort. C'est pour cela que nous nous sommes incarnés ici. Que faire alors ? Arrêter d'avoir peur, de fuir et de haïr. Pour ce faire, il faut réorienter nos pensées vers toutes sortes de formes de coopération édifiante, surtout que la peur n'est localisée que dans la tête. Nous l'avons compris, il faut aussi arrêter de provoquer, de se disputer entre nous, de blesser, de chercher à tout prix à avoir toujours le dernier mot à dire.

Notre chemin à nous tous est d'aider de mille manières possibles, en accord avec notre vocation et nos talents uniques conjugués ensemble pour notre propre épanouissement, celui de la planète Terre et de l'Univers dans sa totalité. En nous aidant les uns les autres, nous nous élevons en fréquences. Et alors, mêmes les étoiles les plus lointaines nous en sont reconnaissantes.



Toute croyance qui part de la tête, fait éclater l'univers du corps. 
Toute croyance qui part du cœur, renforce la totalité de l'univers du corps 
dans son indestructible magnificence. 

Où réside la Force ? 



Irénée Sikora 






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Paysages cosmiques  -  ©Harm Kuijers
Photographie et Texte - ©Irénée Sikora
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