30/01/2023

Saturnus ------- (Fr-Eng)

     SATURNUS







Dans les traditions archaïques, Saturne était identifiée comme un soleil de polarité 
non pas masculine, mais féminine avec l'énergie lumineuse bénéfique. 
En sumérien, elle était appelée Utu comme un dieu de (l'autre) Soleil, sachant que 
son homophone Útu désigne "un aliment préparé avec du lait". En akkadien, 
en Mésopotamie, Saturne était appelée Šamaš en tant que divinité de la justice. 
Šamaš en syriaque est šemša ou šimšu, en hébreu שֶׁמֶשׁ šemeš et en arabe شمس šams. 
Il n'y a pas eu de confusion entre notre étoile la plus proche, c'est-à-dire le Soleil, 
et la sphère céleste que nous désignons aujourd'hui comme Saturne.

En sanskrit, Saturne est 
शनि [šani]. Dans les copies anciennes du Timée de Platon, 
le mot pour le Soleil est Ἥλιος [Hēlios] désignant un dieu. Comme dans de 
nombreuses langues, le phonème initial aspiré vélaire  [h] peut être facilement 
échangé avec le k occlusif non-voisé, tandis que le couple des consonnes liquides 
L et R peut être communément alterné de sorte que la racine grecque Ἥλ [H(ē)l] 
trouve son altération phonétique dans Κρ [K(e)r]. Les traditions grecques 
ont identifié Saturne comme Κρόνος [Kronos], un terme relatif au Temps.

En Re'EnKemet qui est la langue de l'Égypte ancienne, Saturne est désignée 
par H(e)r-Ka-P(e)t où Hr = 'faucon', aussi 'visage', 'double' ; Ka = 'vache'/'taureau', 
également 'déesse mère' ; Pt = 'ciel'. Les corrélations phonétiques et sémantiques entre 
le H(e)r égyptien et le Grec Ὧρος [Hōros] qui signifie "celle/celui qui est loin/au-dessus" 
ne sont pas surprenantes. Ainsi, le H(e)r-Ka-P(e)t égyptien peut désigner 
"la mère céleste du dédoublement" ou "la mère céleste face à l'/aux [envolée(s)]".

Le taureau/la vache est le symbole du A (alpha/aleph/alef, al/el/Dieu), et aussi de ce 
qui était autrefois considéré comme la dernière lettre T (tav/tau). א et ת, Aleph et Tav, 
premier et dernier, début et fin, Alpha et Ωmega. Dans les ouvrages philosophiques 
pré-socratiques, on relève que Chronos avec ses trois visages est 
la personnification du Temps. Ces visages sont le Passé, le Présent et le Futur.

Saturne dans la décomposition sumérienne du terme akkadien Šamaš en 
Ša (ou Še)-Ama-Aš est la suivante : Ša(g̃)11 = 'récolte' ; Še29 = 'captif' ; 
Sag̃, Sa = 'esclave', 'premier' ; Ama = 'mère' ; Ám(a) = 'taureau sauvage' ou 'vache' ; 
Ma = 'ligoter' ; Maš = 'jumeau/jumelle' et 'double' ; Aš = 'un', 'unique', 'seul' ; 
As(a) - 'cage', 'entrave'. Donc : "La première mère esclave [de l'abondance] capturée" 
ou "La première mère ligotée". Dans le contexte plus large, en tenant compte 
de tous les termes évoqués dans cet article et relatifs à Saturne, 
les morphèmes sémantiques Ša(g̃)11 = 'récolte' et Maš = 'jumeau/jumelle' ou 
'double' suggèrent que la Mère reçoit/récolte [et échange] les informations 
de [avec] son double [qui évolue dans un autre temps].

Le proto-sumérien Ka-Há-Ma-Nu pour Saturne signifie : Ka = 'porte' ; 
Há = 'nombreux' ; Ma = 'ligoter' ; An = 'ciel' ; Nu = 'sans', 'lumière' 
et 'pas de lumière' ; Man = 'compagnon', 'deux', U(d)4 = 'soleil', 'temps'. 
Ka-Há-Man-U4 = "La porte des nombreux compagnons du (des) temps" 
(comme suggéré par Anton Parks), et aussi Ka-Há-Ma-Nu 
"La porte [du] ciel entravée sans lumière" et plus précisément Ka-Há-Ma-Nu-U4 
"La porte [du] ciel entravée sans lumière menant à un autre (espace-)temps".

 


Nous pouvons considérer que la planète Saturne est originellement de polarité féminine 
avec le statut de mini-étoile. Elle a des capacités uniques et complémentaires 
par rapport à tous les autres corps célestes dans notre Système Solaire. 
Il serait intéressant de songer que ses anneaux étaient originellement inexistants 
et que, chose impensable (?) leur apparition est due à une intervention artificielle. 
Il serait intéressant de songer que Saturne a une fonction de connectivité avec 
d'autres constellations dans notre Voie Lactée et tout particulièrement avec 
la constellation d'Orion et sa région d'ombre identifiée comme Nébuleuse M42. 
Il s'agit de connexions-vortex entre divers espaces-temps allant vers le passé 
précéde du temps initial ou imaginaire enfermant l'information fossile 
sur la naissance de notre Univers et allant aussi vers le futur. Cette connectivité 
serait assurée par des nervures cosmiques sous forme 
de couloirs intertemporels tachyoniques. 

À un moment est advenu un cataclysme galactique précisément dans cette partie 
de la constellation d'Orion où nous observons la présence de ladite nébuleuse. 
Ce cataclysme a provoqué l'effondrement de plusieurs étoiles, l'apparition 
de failles spatio-temporelles et trous noirs supplémentaires et a déséquilibré 
les connexions interstellaires tout du moins dans le même bras galactique
 où la constellation d'Orion et notre Système Solaire se trouvent 
et cela jusqu'à la région centrale de la Voie Lactée. 

Telle porte de barrage, susceptible d'assurer la défense du Système Solaire 
face à l'afflux d'informations nuisibles et involutives en provenance de ces lignes 
de temps futurs qui s'avèrent débiles, chaotiques et/ou dangereuses, Saturne a été 
volontairement ligotée avec des anneaux aux propriétés inhibitrices et dévitalisantes. 
Étant donné que le Système Solaire entier est en train de passer par la période de la fin 
du dédoublement des temps, le passé et le futur se rapprochent et les actions 
de bienveillance peuvent être mises en place. Les anneaux de Saturne sont en voie 
de diminution, ce que nos scientifiques constatent. Il est intéressant de ne pas 
écarter l'option selon laquelle Saturne est une experte irremplaçable dans la gestion 
de la fin d'un cycle de temps cosmique et du début d'un cycle qui lui succède. 
Nous pourrions envisager une probabilité selon laquelle certaines civilisations, 
(pas nécessairement du genre homo) qui ont précédé la nôtre dans le Système Solaire, 
savaient que pour faire un bond ou une envolée vers d'autres constellations, 
la voie la plus rapide commençait au seuil de certaines portes stellaires de Saturne.

S'ouvrir à une réflexion non restrictive d'amplitude cosmique est un défi, car ce type 
d'information va bien au-delà de notre conception des univers. Cela signifie 
adopter implicitement la perspective fascinante de l'existence des intelligences 
pas uniquement humanoïdes qui nous ont précédés et qui peuvent encore être présentes 
au sein de notre Système Solaire. Si nous apprenons à conjuguer humilité, honnêteté, 
courage et ouverture d'esprit et de cœur, nous pouvons nous épanouir bien 
plus efficacement pour le mieux-être de ce monde. En effet, le but 
de notre existence ici et maintenant est l'expansion individuelle et collective 
dans le mouvement ascensionnel de notre évolution. 



.        .



In archaic traditions Saturn was identified as Sun not of masculine, but feminine polarity 
with the beneficial light energy. In Sumerian it was called Utu as a god of (another) Sun 
knowing that its homophone Útu designates "food made with milk". 
In Akkadian in Mesopotamia, Saturn was called Šamaš as a divinity of justice. 
Šamaš in Syriac is šemša or šimšu, in Hebrew שֶׁמֶשׁ šemeš and Arabic شمس šams. 
There was no confusion between our closest star that is Sun 
and the heavenly sphere we designate today as Saturn.

In Sanskrit, Saturn is 
शनि [šani]. In archaic copies of Plato's Timaeus, the word 
for the Sun is Ἥλιος [Hēlios] as a god. Since in many languages the initial aspirated 
velar phoneme  [h] can be easily exchanged with the non-voiced occlusive k, 
while the couple of the liquid consonants L and R can be commonly alternated, 
the Greek root Ἥλ [H(ē)l] finds its phonetic alteration in Κρ [K(e)r]. Well, 
the Greek traditions identified Saturn as Κρόνος [Kronos], a term pertaining to Time.

In Re'EnKemet that is the Ancient Egyptian, Saturn is designated as H(e)r-Ka-P(e)t 
where Hr = 'falcon', also 'face', 'double' ;  Ka = 'cow'/'bull', also 'mother goddess' ; 
Pt = 'sky'. The phonetic and semantic correlations between the Egyptian H(e)r 
and the Greek Ὧρος [Hōros], meaning 'the one who is distant/above' are not surprising. 
Therefore the Egyptian H(e)r-Ka-P(e)t can designate "Heavenly Mother of Doubling" 
or "Heavenly Mother Facing [the Flight(s)]".

The bull/cow is the symbol for A (alpha/aleph/alef, al/el/God), and also what was 
once considered the last letter, T (tav/tau). א and ת, Aleph and Tav, first and last, 
beginning and end, Alpha and Ωmega. The three faced Chronos in pre-Socratic 
philosophical works is said to be the personification of Time. 
Those three faces are Past, Present and Future.

Saturn in the the Sumerian decomposition of the Akkadian term Šamaš 
into Ša (or Še)-Ama-Aš is as follows : Ša(g̃)11 = 'harvest' ;  Še29 = 'captive' ;  
Sag̃, Sa = 'slave', 'first' ;  Ama = 'mother' ;  Ám(a) = 'wild ox' or 'cow' ;  Ma = 'to bind' ; 
Maš = 'twin' and 'double' ; Aš = 'one', 'unique', 'alone' ; As(a) = 'cage, 'fetter'. 
So : "The First Captured Enslaved Mother [of Abundance]" or "The Bound First Mother". 
In the wider context, taking into account all the terms mentioned in this article 
and related to Saturn, the semantic morphemes Ša(g̃)11 = 'harvest' 
and Maš = 'twin' or 'double' suggest that the Mother receives/harvests 
[and exchanges] information from [with] her double [that evolves in another time].
 
The Proto-Sumerian Ka-Há-Ma-Nu for Saturn means : Ka = 'gate' ;  Há = 'numerous' ;  
Ma = 'to bind' ;  An = 'sky' ;  'Nu = 'without', 'light' and 'no light' ; Man = 'companion', 'two' ;  
U(d)4 = 'sun', 'time'. Ka-Há-Man-U4 = "The door of the many companions of the Time(s)" 
(which is suggested by Anton Parks), and also Ka-Há-Ma-Nu 
"The Door [to] Heaven Hindered Without Light" and more specifically Ka-Há-Ma-Nu-U4  
"The Door [to] Heaven Hindered Without Light Leading to Another (Space-)Time".

 


We can consider that the planet Saturn is originally of feminine polarity with the status 
of a mini-star. She has unique and complementary capabilities compared to all other 
celestial bodies in our Solar System. It would be interesting to consider that 
her rings were originally non-existent and that, unthinkably (?) their appearance 
is due to an artificial intervention. It would be interesting to figure out that Saturn 
has a function of connectivity with other constellations in our Milky Way and 
specifically with the constellation Orion and its dark region identified as Nebula M42. 
These are vortex connections between various time-spaces moving into the past 
preceded by the initial or imaginary time enclosing fossil information about the birth 
of our Universe and also moving into the future. This connectivity would be provided 
by cosmic ribs in the form of tachyonic inter-temporal corridors.

At one point occurred a galactic cataclysm precisely in that part of the constellation 
Orion where we can observe the presence of the aforementioned nebula. 
This cataclysm caused the collapse of several stars, the appearance of space-time breaches 
as well as additional black holes and unbalanced the interstellar connections at least 
in the same galactic arm where the constellation Orion and our Solar System 
are located and this up to the central region of the Milky Way. 

As a dam gate, capable of ensuring the defense of the Solar System against the influx 
of harmful and involutive information from those of future time lines which are silly, 
chaotic and/or dangerous, Saturn has been deliberately tied up with rings with 
inhibiting and devitalizing properties. As the entire Solar System is going through 
the period of the end of the doubling of time, the past and the future are getting closer 
and benevolent actions can be implemented. Saturn's rings are shrinking, which 
our scientists are observing. It is interesting not to dismiss the option that Saturn 
is an irreplaceable expert in managing the end of a cosmic time cycle 
and the beginning of a succeeding one. We can consider a probability that 
in the Solar System, certain civilizations, (not necessarily of the homo genus) 
which preceded ours, knew that to make a leap or a flight to other constellations, 
the fastest route started at the threshold of some of Saturn's star gates.

To be open to non-restrictive reflection in such a cosmic amplitude is a challenge, 
as this type of information goes far beyond our understanding of the universes. 
It means implicitly adopting the fascinating perspective of the existence of not only 
humanoid intelligences that have preceded us and that may still be present 
within our Solar System. If we learn to combine humility, honesty, courage and openness 
of mind and heart, we can blossom far more effectively for the betterment of this world. 
This is because the purpose of our existence here and now is individual 
and collective expansion in the upward movement of our evolution.






FlorRaison Cosmic Insights

Engraving 1 and light by Harm Kuijers
Pictures and text by Irénée Sikora
in cooperation with 


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