15/03/2024

ENKI LE GÉNÉTICIEN ET LES NU'UNGAL par I. Sikora






Enki le généticien et les Nu'ungal
.
par Irénée Sikora



Aux Femmes et Hommes de la Terre qui savent lire et entendre entre les mots.


Il existe des Humains qui ont rêvé d'un même message, 
mais ne s'en souviennent guère. 
Qu'entendez-vous maintenant ? 

Voici le mot nouveau incarné : Corps.
Le Corps n'est ni atome, ni organe, ni matière.
Le Corps est le Plan par Lequel 
la Source de toutes les origines élève toutes les graines.
 

Cette recherche est un message dont le propos central est méditation. Une méditation sur les origines biologiques cosmiques de l'Humanité dans le tissu intermittent spatio-temporel. Cette méditation sera facilitée si celles et ceux qui sont en train de lire ce texte se détendent et prennent avec sérénité leur temps de lecture. De ce fait, les Lecteurs sont encouragés à ne pas sauter les chapitres qui leur sembleront linguistiquement trop techniques. Il y a un sens plus profond pourquoi quelques suites de détails étymologiques ont été placées ici. Il est très probable que certains passages catalyseront quelque chose de puissant et très personnel en vous. C'est aussi une invitation à savourer le plaisir dans une exploration riche en découvertes fascinantes et prises de conscience libératrices. 


Juste avant d'entrer dans le vif du sujet sur les Nu'ungal, relevons d'abord l'existence d'un document qualifié de nos jours comme appartenant au genre de littérature mésopotamienne en lequel ont été insérés les éléments liés aux faits historiques advenus dans un passé très lointain. Il s'agit de " Enūma Eliš ", c'est-à-dire l'Épopée de la Création rédigée sur des tablettes en argile en langue babylonienne qui était un dialecte sémitique akkadien. Ce document a été retrouvé en 1849 sous les décombres de la célèbre dans l'antiquité Bibliothèque royale d'Assurbanipal à 𒌷𒉌𒉡𒀀, ce qui veut dire dans la 𒌷 [Uru] ville de 𒉌𒉡𒀀 [Ni Nu (w)A], autrement נִינְוֵה [Nīnəwēen hébreu, ܢܝܼܢܘܹܐ [Nīnwē] en araméen (syriaque), نَيْنَوَىٰ [Naynawā] en arabe à partir du perse, Νινευή [Nineüḗ] en grec, Nīnevē en latin ou Nineveh en anglais et Ninive en français. 

Ici, je ne peux m'empêcher de m'attarder quelques instants sur cette ville de Ninive à cause de sa bibliothèque. Voyez-vous, les bibliothèques sont des espaces de prédilection de mon âme. Eh bien, les pictogrammes sumériens homophoniques pour Ninive sont : 𒃻 [ní(g̃)] signifiant 'trésor' + 𒉢 [Nu11] signifiant 'lumière', 'lampe' et aussi 'albâtre' + 𒂷 [Ba4] (le V fut à l'origine un B) signifiant 'maison', 'foyer' en Eme-Sal qui était un dialecte Eme-An sumérien, écrit et parlé uniquement par des Sumériennes hautement éduquées. La suite de pictogrammes retranscrite comme 𒃻𒉢𒂷 désignant donc la ville de Ninive fameuse pour sa bibliothèque, eût signifié "Foyer du trésor lumineux" ou "foyer du trésor de l'illumination". 

Mais reprenons l'Épopée de la Création retrouvée à Ninive. Le texte contient des noms propres sumériens, donc des noms existant longtemps avant l'émergence de la langue et de la culture akkadiennes. Cette épopée commence par les mots 𒂊𒉡𒈠𒂊𒇺 qui sont prononcés [Enūma Eliš], ce qui signifie littéralement "Lorsque dans les hauteurs ...". Dans ce document, déjà dans la ligne 16, apparaît le personnage dénommé 𒉡𒁶𒄷𒄭 [NuDímMud]. Ce nom est composé de 𒉡 [Nu] + 𒁶 [Dím] + 𒄷𒄭 [Mud]. La décomposition sémantique est la suivante : 𒉡 = 'image', 'ressemblance', 'reflet/copie' + 𒁶 = 'créer', 'bâtir', 'façonner' + 𒄷𒄭 = 'donner naissance' et aussi 'sang'. 

Mentionnons ici deux détails importants qui ne sont pas dus au hasard. Le premier, c'est que le pictogramme 𒄷𒄭 [Mud] trouve son homophone dans le 𒁁 prononcé [Múd] qui signifie 'le sang'. Le deuxième détail concerne le pictogramme 𒁶 [Dím] qui, en fait, dérive de 𒆕 [Dù] signifiant 'le moule / mouler', 'injecter', 'bâtir' + 𒅎 [Im] signifiant 'argile', 'boue', 'tablette'. Ici, le concept "tablette en argile" implique l'introduction d'une information ou d'un code. 

Nous pouvons avancer non sans fondement que les concepts 'sang' et 'argile' sont interchangeables, surtout lorsqu'il s'agit de l'introduction d'une information de programmation dans une forme vivante. En définitive, il s'agirait d'une programmation de la molécule organique ADN retranscrite comme 𒅎𒀀 [ImA] où 𒅎 [Im] signifie en ce cas 'tablette', tandis que 𒀀 [A] ou [EA] signifie 'père', un nom plus ancien pour désigner EnKi, 'fluide séminal' et aussi 'descendance'. Le terme 𒅎𒀀 peut signifier donc "Tablette ou gabarit d'informations (ou codes paternels) à la progéniture". 

Ainsi, le nom du personnage 𒉡𒁶𒄷𒄭 [NuDímMud] signifie "le créateur mâle des images de sang (qui lui ressemblent)", c'est-à-dire "un cloneur".

Dans ce contexte, il est intéressant de noter que dans la langue sumérienne, il existe au moins deux termes étonnants désignant les images de sang ressemblant à leurs géniteurs sans que ces images constituent nécessairement une progéniture d'adoption ou une progéniture issue des rapports sexuels entre leurs géniteurs. L'un de ces termes est 𒀩 prononcé [Alan] ou [Ala] désignant 'une image', 'un reflet' et qui, en définitive, signifie 'clone'. L'autre terme synonymique est 𒃻𒍣𒅅 [NígZiG̃ál] signifiant 'créature vivante'. Précisons ici que la décomposition de ce terme en 𒃻 'propriété', 'chose', 'de valeur' 𒍣 'souffle de la vie', 'âme' 𒅅 'placer à l'intérieur', 'introduire', nous amène vers la signification "chose ou propriété de valeur en laquelle le souffle de la vie a été placé / introduit". En un seul mot, il s'agit d'un clone. 

Chose insolite, il existe un terme sumérien énigmatique encore plus étonnant que certains spécialistes ont du mal à décoder, ce qui est compréhensible, tant que l'on écarte une option selon laquelle notre réalité qui demeure inscrite dans un passé considéré comme historique, revêt de multiples aspects de l'interconnectivité quantique. Ce terme est 𒅊𒂗𒅊𒄭 prononcé [Sig7.En.Sig7.Dùg]. Ce terme apparaît dans les lignes 26, 32 et 46 dans le texte "Enki et Ninmah" réf.: AO7036. La décomposition de ce terme se présente comme suit : 𒅊 [Sig7] 'créer', 'façonner', 'laisser vivre', 'rendre beau', 'résider dedans', 'couleur jaune vert' et aussi 'tirer vers l'extérieur' + 𒂗 [En] 'dignitaire', 'seigneur', 'créature noble', 'ancêtre' + 𒅊 [Sig7] (reprise de 'créer' et donc 're-créer', 'multiplier' {depuis un liquide jaune vert}) + 𒄭 [Dug3] 'membre (en tant qu'organe ou un être entier en mouvement / en croissance )'. Le 𒄭 [Dug3] a son homophone qui est 𒂁 [Dug] et qui signifie 'récipient', 'cuve'. 

Certains chercheurs académiques traduisent l'expression 𒅊𒂗𒅊𒄭 [Sig7.En.Sig7.Dùg] en "déesses d'accouchements ?" avec un point d'interrogation, n'étant pas sûrs si leur conjecture met le lecteur sur la bonne piste. Leur honnêteté est fort appréciable. Cette piste devrait être prise sérieusement en considération, si on ose aller plus loin. 

Après avoir décomposé morphologiquement le terme 𒅊𒂗𒅊𒄭 et après en avoir sondé les champs sémantiques retrouvés, selon ma compréhension, ces "déesses d'accouchements ?" ne sont ni des femelles, ni même des êtres organiques quelconques, mais des dispositifs technologiques, des outils, une sorte de cuves en quartz remplies d'un liquide amniotique verdâtre dans lesquelles des clones sont portés à maturité biologique. Vue sous cet angle, l'expression sumérienne 𒅊𒂗𒅊𒄭 [Sig7.En.Sig7.Dùg] nous donne la signification "Où les dignitaires (ou membres nobles / divins) créés grandissent et se démultiplient vers l'extérieur (ou vers le monde)". Le "Où" implique un espace enfermé, une machine et subséquemment, dans tout ce contexte de la création des dignitaires divins, une matrice artificielle servant à produire des clones.

À l'origine, ces matrices artificielles étaient utilisées pour produire des êtres clonés génétiquement très performants en terme de la longévité, de la motricité, de la santé infaillible et des capacités intellectuelles et psychiques amplifiées. Pour schématiser, ce genre de création était réservé à certaines races galactiques évoluant dans les fréquences dimensionnelles de la matérialité dense, des races qui visitaient les systèmes stellaires ciblés, contribuaient à y ensemencer diverses formes de la vie, et se percevaient comme des races investigatrices et fondatrices de nouveaux écosystèmes planétaires. 

Plus tard à l'échelle cosmique du temps, certaines des familles de ces races se définissaient comme des descendants colonisateurs voués à la propagation de la connaissance et de la paix. C'était à l'origine, avant un dédoublement cosmique majeur des temps qui a ouvert l'accès à une ligne temporelle avec un potentiel égotique d'événements conflictuels de compétitivités et de guerres fratricides et inter-espèces.

Dans cette ligne temporelle que l'on pourrait qualifier de chaotique en termes de collisions à l'échelle micro- et macroscopique, certains généticiens devenus soit avides de pouvoir et corrompus, soit immatures et irresponsables, soit menacés mortellement, utilisaient les matrices artificielles Sig7.En.Sig7.Dùg évoquées pour produire des lignées d'êtres humanoïdes à l'entendement rétréci et craintif, destinés à travailler comme serviteurs dociles à longévité délibérément très compromise sans la perspective de pouvoir s'affranchir de leur statut d'esclaves.

Si, par le grand passé, une civilisation extraterrestre connaissait la génétique, il n'est pas hors de propos de présumer que cette civilisation était aussi très avancée technologiquement dans le domaine des déplacements interstellaires, qu'elle disposait des moyens de locomotion très sophistiqués. 

Le terme sumérien 𒄑𒈥-𒁍𒁕 [Mar-Gida] signifie 'chariot-lance', c’est-à-dire un chariot ou un véhicule qui se déplace aussi vite qu’une lance dans les airs (donc dans l'espace). Ce même terme articulé 𒄑𒈥-𒁍-𒁕 [Mar-Gíd-Da] signifie 'chariot (qui est) long/lointain et qui tire' (ou transporte une cargaison). Lorsque le nom d'un personnage sumérien est précédé par le signe 𒀭 prononcé [An] signifiant 'ciel', ce signe a la fonction de déterminatif servant à préciser que le personnage en question est d'origine céleste, c'est-à-dire extraterrestre. Lorsque le nom désignant un groupe d'étoiles est précédé par le signe 𒀯 prononcé [Mul] signifiant 'les étoiles regroupées' ou quelquefois prononcé [Šún] signifiant 'brillance (stellaire)', ce signe a la fonction de déterminatif servant à préciser qu'il s'agit d'une constellation. Nous pouvons en déduire que la constellation 𒀯-𒄑𒈥𒁍𒁕 [Mul-Magrida] se réfère comme synonyme à Ursa Major désignée aussi par l'appellation Grand Chariot. 

Pour en revenir aux Sig7.En.Sig7.Dùg, notons qu'il existe certains documents iconographiques anciens contenant les dessins de matrices artificielles et les actes de clonage. Par exemple, dans le Codex Zouche-Nuttall pré-colombien mixtèque, on trouve l'illustration d'une prêtresse qui assiste à l'émergence d'un humain mâle cloné à partir d'une cuve artificielle de naissances. Une illustration du texte funéraire égyptien de l'Amduat, dans la tombe de Thutmosis III (18e dynastie), 6e heure, registre 1, scène 5, montre une prêtresse qui veille sur trois matrices artificielles dans lesquelles des parties de corps croissent et s'assemblent pour résulter en images organiques clonées. Dans la partie supérieure de chacune de ces matrices apparaît un ovule fécondé in vitro par un spermatozoïde. Sur le cylindre sumérien BM 123279, EnKi assiste à l'émergence d'un humanoïde de sexe féminin cloné à partir d'une matrice artificielle.

Jugez par vous-mêmes en lisant cette citation : 

" Le sage et intelligent, l'habile ... en ses capacités, le concepteur de toutes choses fabriqua des Sig7.En.Sig7.Dùg (matrices artificielles) qu'il installa à côté (à la portée de son bras) et dirigea son attention vers elles (les examina). Après avoir réfléchi consciencieusement, Enki, le façonneur des modèles en personne, dit à sa mère Namma : « Mère, la créature que tu as planifiée sera véritablement mise à l'existence. Tu imposeras à celle-ci le labeur de transporter les paniers lorsque tu auras pétri l'argile prélevée du dessus (membrane supérieure) de 𒍪𒀊 [AbZu] (eau de la connaissance). Et alors les Sig7.En.Sig7.Dùg (matrices artificielles) tailleront (produiront) des formes à l'existence à partir de cette argile. » Extrait de "Enki et Ninmah", lignes 26-32.

Ce passage se réfère à la création d'un prototype humanoïde pour la planète Terre, un prototype aux capacités intellectuelles limitées et au patrimoine génétique essentiellement simiesque. Il s'agit de la création génétique d'une branche que nous pouvons identifier sous l'appellation Humaine, une appellation généralisée qui englobe plusieurs variantes dont Homo Neanderthalensis dit Adam Abel et Homo Sapiens dit Adam Caïn. Relevons à ce propos que les esclaves clonés qui venaient de sortir biologiquement adultes d'une matrice artificielle, étaient informés que leurs créateurs étaient des dieux. Il n'était pas indispensable que cette information leur soit communiquée verbalement, puisqu'elle était engravée dans leur génome.

Mais remontons dans le temps et voyons ce que EnKi était capable de réaliser avant sa contribution dans la conception génétique de la lignée Homo Sapiens pour la planète Terre. 

Comme nous l'avons mentionné, le terme sumérien 𒅊𒂗𒅊𒄭 [Sig7.En.Sig7.Dùg] indique que les matrices artificielles étaient à l'origine destinées à produire des êtres nobles à l'entendement élargi, donc des seigneurs et des dignitaires. Ici, le seul pictogramme 𒂗 [En] est explicite, puisqu'il signifie 'noble', 'seigneur', 'dignitaire' et aussi 'ancêtre'. Il est intéressant d'apprendre que EnKi a co-créé un groupe d'êtres humanoïdes identifiés comme 𒉡.𒌦.𒃲 [NuUnGal] que l'on peut retranscrire par le nom Nu'ungal. Ce qui signifie respectivement 𒉡 [Nu] 'fluide séminal', 'progéniture (mâle)', 'reflet (comme dans un miroir)' + 𒌦 [Un] 'peuple' + 𒃲 [Gal] 'fils aîné', 'chef', 'grand', 'puissant'. Non par hasard, le pictogramme 𒉡 [Nu] trouve son homophone dans le 𒀕 [Nu7] signifiant 'créateur', 'engendreur'.

Il existe un autre terme homophonique nous permettant de voir de plus près certaines des caractéristiques des Nu'ungal. Ce terme est retranscrit avec la suite de trois pictogrammes 𒀉𒉣𒅅 prononcée [A2NunG̃al] et signifie 'puissant', 'fort'. Ce terme est donc composé de 𒀉 [A2] = 'bras', 'aile', 'labeur', 'force' + 𒉣 [Nun] = 'en cuivre', 'prince', 'noble', 'le meilleur' + 𒅅 [G̃al] = 'être disponible / au service', 'gardien', 'protecteur'. Ici, le premier pictogramme 𒀉 [A2] a son homophone 𒀀 [A] qui signifie 'source', mais qui aurait pu être prononcé aussi [Ea], sachant que Ea était le nom de EnKi avant qu'il ne fût arrivé sur la planète Terre. Ainsi, le terme 𒀉𒉣𒅅 [A2NunG̃al] définit des êtres d'ascendance princière ailée (extraterrestre), donc noble, des êtres physiquement forts, disponibles à travailler dur avec leurs bras, des êtres connaissant probablement l'art de fondre le cuivre, peut-être vêtus en armure de cuivre, des êtres dont la tâche aurait été de préserver un savoir et de protéger quelqu'un, éventuellement d'être au service comme gardiens d'un ou des sites de quelque importance stratégique.

Il s'ensuit que les Nu'ungal représentent la progéniture mâle aînée, donc première en descendance. C'est un groupe d'êtres grands non seulement en termes de la taille, mais également en termes de l'intelligence et de la noblesse teintée de bienveillance orientée vers la recherche des solutions pacifiques. Nous pouvons présumer qu'il s'agit du fruit de la première co-création génétique à laquelle EnKi a participé comme concepteur en chef. D'une certaine façon, et cette façon se révèle éminemment scientifique, EnKi a créé des êtres à son image, donc des êtres délibérément moins brillants que leur concepteur. Pour finir, c'étaient des clones nobles et puissants d'entendement, capables de civiliser des races moins évoluées intellectuellement et technologiquement. Les Nu'ungal ont été programmés et éduqués pour suivre et protéger EnKi et les membres de sa famille.

Ce qui est frappant, c'est le fait que lorsqu'on procède à un rapprochement comparatif archétymologique du nom sumérien Nu'ungal et du nom égyptien Shemsu, il y a matière à réfléchir. Nous nous souvenons que les Shemsu étaient à l'origine les suiveurs et les défenseurs d'Enki-Osiris (voir mon article "Enki et Osiris"). Au pays de Kemet, donc en Égypte des pharaons, les Shemsu étaient désignés par le hiéroglyphe 𓌞 prononcé [š(e)ms(u)]. 

Après avoir fait une recherche sur les suiveurs Shemsu dans le système d'écriture hiéroglyphique égyptienne, j'ai repéré des associations pictographiques, phonétiques et sémantiques très intéressantes qui, depuis mon point de vu, ne sont pas dues au hasard et cela, en corrélation avec le nom sumérien reconstitué Nu'ungal. Il en ressort que le terme égyptien Shemsu auquel se réfère phonétiquement le signe 𓌞 [š(e)ms(u)], se prête à une décomposition plausible permettant de conjecturer plus en profondeur quelle aurait été l'identité des êtres désignés par ce vocable. 

Ainsi, nous allons aborder la suite consonantique Š/S-M-S, repérer les hiéroglyphes appropriés et voir ce que le résultat recèle à travers les champs sémantiques s'y rapportant. Un détail important : au pays de Kemet (en Égypte), en Re'enKemet qui est la langue du temps des pharaons, dans le système d'écriture hiéroglyphique, les voyelles sont pratiquement inexistantes. 

Or, le hiéroglyphe 𓈙 [š] décrit 'une cuve'. Son homophone 𓆆 [š] représente 'le pied d'un être ailé (sur terre)'. Son autre homophone 𓆈 [ꜥšꜣ] signifie 'lézard' et 'reptile'. Le 𓁹 [mꜣꜣ] veut dire 'voir'. Son homophone 𓀺 [mꜣ(u)] signifie 'étranger docte', 'venu du pays de Kalam', donc du territoire qui ultérieurement sera désigné par le nom Sumer (!). Pour rappel, l'appellation Kalam avait remplacé le nom sumérien originel Eden. Le hiéroglyphe 𓀸 [sꜣ(u)] signifie 'gardien', 'protecteur'. Le hiéroglyphe 𓅱 prononcé [w] et aussi [u] additionné à la fin, désigne quelqu'un qui est 'promu à s'envoler' et/ou qui est 'd'ascendance ailée (ou, par extrapolation, d'ascendance étoilée)'. Mentionnons encore que le hiéroglyphe 𓀘 [sms(u)] signifie 'aîné(s)'. Remarquons aussi que le même hiéroglyphe 𓁹 évoqué, mais prononcé cette fois-ci différemment, à savoir [(w)rs(u)], signifie 'regarder', 'observer', 'veiller'. Ce dernier détail suggère que les Shemsu auraient pu être désignés aussi par les synonymes 'Ursu' ou 'Urshu' qui signifient 'les observateurs' et 'les veilleurs'. 

En définitive, à la lumière de ce que nous avons retrouvé, le terme égyptien Shemsu laisse voir que c'étaient des individus éduqués de sexe masculin d'ascendance ancestrale ailée, mis au monde à partir d'une cuve (matrice artificielle) probablement en dehors de la planète Terre et que c'étaient probablement des êtres hybridés avec un pourcentage de l'héritage génétique reptilien.

Continuons notre enquête. À titre informatif pour une parenthèse, précisons que de tout temps, dans de nombreuses langues, les consonnes M et N sont interchangeables. C'est assez souvent le cas en sumérien. Les glissements articulatoires entre M et N peuvent avoir lieu facilement lorsqu'on passe d'un langage parlé à un autre, ce qui très souvent entraîne des modifications orthographiques, par exemple the coMfort en anglais et le coNfort en français.  Il en est de même pour ce qui est des consonnes Š, S et Z. Pour rappel, la lettre Š se lit CH comme dans 'CHatoiement' en français ou come SH dans 'flaSH' en anglais.

En tenant compte des alternances consonantiques M/N et Š/S/Z, je propose maintenant de décomposer le terme égyptien 𓌞 [š(e)ms(u)] en morphèmes sumériens [Šen] ou [Šún] + [Sú] ou [Zu]. Ainsi, le premier pictogramme 𒊿 prononcé [Šen] signifie 'pur', 'étincelant (comme du cuivre)', 'vert-de-gris' (comme sur du cuivre), 'reflet', 'miroir'. Le pictogramme phonétiquement similaire 𒀯 prononcé [Šún] signifie 'brillance stellaire' (donc 'shine' en anglais). Ceci n'est pas un hasard. Le deuxième pictogramme 𒍪 [Zu] signifie 'sagesse', 'connaissance'. Il en résulte que les Shemsu égyptiens étaient des êtres nobles mâles d'ascendance extraterrestre, familiarisés avec les armures en cuivre, détenteurs sages d'un grand savoir.

Vus sous cet angle, les Nu'ungal sumériens et les Shemsu égyptiens partagent les mêmes similitudes de portée sociale et psychologique. On pourrait avancer que, sur le plan génétique, ce sont exactement les mêmes êtres et personnellement, j'opte pour une telle variante.

Ici, nous allons relever encore quelques détails supplémentaires d'importance civilisatrice et toujours génétique au sujet de ce groupe d'êtres qui semble avoir bien connu au moins deux territoires sur Terre dénommés antérieurement Kalam et Kemet, donc plus tard respectivement Sumer et Égypte. Dans le contexte de mes longues recherches et selon la sensibilité de mon âme, les individus Nu'ungals-Shemsu étaient perçus comme des "Anges" par les humains qui les avaient côtoyés ou vus ne serait ce que de loin. Certains de ces individus dits angéliques eurent des rapports sexuels avec des femmes humaines sélectionnées.

" Quand les enfants des hommes se furent multipliés dans ces jours, il arriva que des filles leur naquirent élégantes et belles. Et lorsque les Anges, les enfants des Cieux, les eurent vues, ils en devinrent amoureux ; et ils se dirent les uns aux autres : choisissons-nous des femmes de la race des hommes, et ayons des enfants avec elles. [...] Ils (ces Anges) étaient au nombre de deux cents qui descendirent sur Aradis, lieu situé près du mont Armon. " Le Livre d'Enoch 7: 1-(...)10.

Il ressort de cette citation qu'il n'était pas question de violenter qui que ce fût. L'on sous-entend que ces "Anges" agissaient en leur qualité de veilleurs amoureux. En effet, notons que le premier volet du Livre d'Enoch est intitulé "Le Livre des Veilleurs" où tous ces veilleurs sont des Anges, ce qui fait que les termes 'anges' et 'veilleurs' sont synonymes. 

Dans quelques autres passages du Livre d'Enoch (dans cf. 8 et 9), quelques noms de ces individus "angéliques" sont énoncés. Par exemple un Barkayal qui enseigna l'art d'observer les étoiles, un Akibeel qui enseigna les pictogrammes, un Tamiel qui enseigna l'astronomie ou surtout un Azazël (ou As/zaël dans Qûmran cf. 4Q 22, 26) qui enseigna à "confectionner des épées de fer et des cuirasses de bronze, (...) comment travailler l'or pour en faire bon [usage] et l'argent pour en faire des bracelets [et des parures] pour [les femmes]"Quelques-uns parmi ces "Anges", comme Amazarak, enseignèrent la médecine douce basée sur la connaissance approfondie et l'usage approprié des plantes. Il n'est pas illogique de conjecturer que quelques autres enseignèrent la méditation teintée d'un respect inconditionnel de la nature et par exemple les rapports sexuels tantriques. 

Toutefois, dans le Livre d'Enoch et ailleurs, à une époque où ces écrits étaient retranscrits et recopiés, on avaient étiqueté ces initiations de sorcellerie (sic). Quoi qu'il en fût, le chef à tous ces instructeurs s'appelait Samyaza(h). Il existe une douzaine de variantes orthographiques de ce nom. Ajoutons que l'un de ces instructeurs devenu le plus célèbre pour la postérité s'appelait Zehuti. Son nom était prononcé aussi The(h)ut-i, pour simplifier Theut, et plus tard Thot. Soulignons encore que ces "Anges" et leurs femmes humaines donnèrent naissance à une lignée d'humanoïdes hybridés désignés par le nom Nephilim.

Nous nous en doutons bien, l'œuvre civilisatrice d'éduquer l'humanité pour qu'elle devienne libre, plus éclairée et plus prospère, ne débuta pas avec l'arrivée des Nu'ungal. Dans cet épisode et dans l'ordre des événements, le tout premier initiateur est EnKi en personne. Et son premier groupe d'élèves était constitué de femmes. Nous retrouvons ces informations gravées sur des tablettes en argile. 

En voici trois exemples qui suivent. " À chaque fois que EnKi [Le Serpent] était présent, il faisait goûter son plan préétabli (à l'humain/e) hélas, dans la propriété (Khursa-Eden), hélas ! " - CBS 8322-a, colonne 2, lignes 5-7. Aussi " [EnKi Le Serpent] avait apporté la métallurgie, notre unique Seigneur avait propagé le Secret ... " - Extrait de la tablette CBS 8322-b, colonne 4. Et encore " Le faiseur de peaux (confectionneur de chair, cloneur ; [EnKi]), l'avait enseignée, hélas, il en parla [c-à-d révéla le Secret, la Connaissance] à la douce femme qui enfante [Ève] " - CBS 11065-a, colonne B, ligne 23.

Il est important de reconsidérer sérieusement le fait que certains êtres humanoïdes de sexe féminin ont grandement contribué à élever les vibrations planétaires. Une des premières branches génétiques de ces êtres hautement spirituels et bienveillants installés déjà à l'époque de la Pangée, donc il y a de nombreux millions d'années terrestres, était désignée par le nom proto-sumérien 𒀎 prononcé Agarin. Ces femelles étaient capables de procréer par parthénogenèse de façon responsable et maîtrisée. 

Bien plus tard à l'échelle cosmique du temps, à l'époque dite édénique, au début dans l'entourage immédiat de EnKi et de ses collègues, un groupe de femmes humaines avait participé stratégiquement à propager la connaissance dans plusieurs domaines de la vie privée et sociale, ce qui était réalisé par étapes à travers les activités à vocation civilisatrice globale au bénéfice de l'espèce humaine sur Terre. Ces instructions et initiations étaient diffusées en grande partie clandestinement pour des raisons politiques aux pays de Kalam (Sumer), de Kemet (Égypte) et aussi en Atlantide. 

Un fait noblement édifiant et manifeste est que, de tous temps, des âmes lumineusement très évoluées s'incarnent dans des groupes génétiques choisis consciencieusement et librement à des moments difficiles où l'on en a particulièrement besoin. Pour la planète Terre, ces groupes sont essentiellement constitués d'humanoïdes de sexe féminin. 

L'une de ces familles d'âmes éminemment rayonnante qui semble connaître bien la planète Terre et détient les capacités psychiques d'entrevoir le magnifique futur potentiel pour l'Humanité, un potentiel soutenu et amplifié par le respect inconditionnel voué à la Nature et au libre arbitre que nulle instance céleste et terrestre n'a le droit de léser, pourrait être identifiée comme "évique", c-est-à-dire constituée de "ces Èves de la transmission et de l'expansion de la Connaissance". Quelques noms de ces êtres éviques incarnés sous forme de femelles ou femmes pouvant appartenir, mais pas nécessairement à la brache Homo Sapiens, nous ont été révélés, par exemple Pistis, Sophia, Lilith, Barbélô la Gnostique, Nut l'Égyptienne, Myriam de Magdala connue sous le nom Marie-Madeleine ainsi que, bien sûr, la célèbre Ève du Vieux Testament, sachant que cette Ève-là n'était pas la première femme d'Adam. Une fois incarnées, au moins quelques-unes d'entre elles purent se mettre d'accord pour coopérer avec certains individus mâles, comme les Nu'ungal-Shemsu.

Concernant donc ces deux dénominations Nu'ungal et Shemsu, bien évidemment, chaque lecteur a le droit de décider qu'il s'agit de deux groupes d'individus distincts. Dans une telle perspective, je suggère que nous envisagions sérieusement que les uns et les autres soient les mêmes âmes qui, ici et là, ont été aspectées dans des corps biologiques de sexe masculin. 

Certains lecteurs pourraient y voir des âmes différentes. Ceci sera également correct. Cependant, dans ce cas, on leur conseillera de songer à la possibilité que ces deux groupes, donc les Nu'ungal sumériens et les Shemsu égyptiens, soient puissamment et durablement liés par le même karma de groupe. 

Dès que l'on conçoit que, dans une réalité quantique, il puisse exister des lignes temporelles parallèles dans le passé, alors, quelle que soit l'option choisie, chacune de nos positions ou perspectives est correcte et nous n'avons pas besoin de nous disputer. Ce qui suit est soumis inconditionnellement au discernement de chaque lecteur qui à tout moment est libre de rejeter ou d'accepter la version exposée.

Ainsi, considérons une trame dans laquelle les Shemsu étaient des Nu'ungal à l'origine. Pour ce faire, il nous faudra ne pas écarter le scénario racontant une histoire étendue pour le moins sur de nombreuses dizaines de milliers d'années.

Il y eut une guerre interstellaire dans laquelle certaines civilisations résidant dans diverses régions de la galaxie dénommée Voie Lactée, étaient impliquées. Dans des circonstances dramatiques, un certain individu mâle dénommé Ea, quitta son système stellaire dans la constellation du Grand Chariot où il a été mis au monde. Lui et ses compagnons de voyage interstellaire arrivèrent dans le Système Solaire et choisirent la Terre comme planète de leur installation. Dans le groupe de ces rescapés il y eut la femelle Namma ainsi que, entre autres, un groupe de Nu'ungal. 

Sur Terre de la fréquence Ki qui traduit la troisième octave (ou dimension) lumineuse de la conscience planétaire, Ea a été appelé EnKi. Parfois on le désignait par son double nom Ea-EnKi. Il a été conçu dans une matrice artificielle par An, son concepteur génétique spécialisé dans l'art du clonage. EnKi a été programmé pour travailler comme cloneur. C'était un généticien remarquable. 

De toute la branche au patrimoine génétique reptilien, seulement Namma, la grande planificatrice pour le planète Terre, a été admise dans la Confédération Galactique des Planificateurs. Comme An et Namma, EnKi était un humanoïde reptilien dont le corps biologique recelait l'héritage génétique ayant résulté d'une savante hybridation unique. EnKi et Nammu étaient les concepteurs de la lignée reptilienne identifiée comme Nu'ungal au pays de Kalam (Sumer) et comme Shemsu au pays de Kemet (Égypte).

Les Nu'ungal-Shemsu étaient des individus mâles au patrimoine reptilien hybridé avec, à la base, des séquences ADN aux fréquences ascensionnelles activées. Pendant longtemps, ils ont joué un rôle important dans la préservation des vibrations plus élevées sur Terre. Ils n'étaient pas de souche Anunna(Ki). Ni Namma, ni Enki n'ont participé aux travaux de conception de ces derniers.


Merci à vous, chers Lecteurs, d'avoir lu ce texte. Je me tiens ouvert à vos remarques ainsi qu'à vos questions, prêt à y répondre s'il y en a et si je me trouve capable de le faire. Je ne sais pas tout, mais je cherche parce que l'investigation fait partie de ma nature cosmique profonde qui recèle un condensé de réminiscences vivantes inscrites dans d'autres espaces-temps simultanés au nôtre. Quelques-unes d'entre celles-ci ont été identifiées et exposées à la disposition d'une partie de la mémoire sensible déverrouillée de mon âme et à mon esprit habile dans l'emploi de la pensée de façon honnête et responsable.


Parmi vous les Humains, il existe aujourd'hui des êtres incarnés 
dont les âmes proviennent des mondes biologiques élevés 
au-dessus de la science de la génétique. 
Ils n'ont pas besoin de cette science. 

Dans leur sagesse incommensurable, ces êtres vous disent que 
le Corps est le Plan par Lequel la Source de toutes les origines 
élève toutes les graines.


Ces mots ont pris corps pour les Humains de la Terre du Temps Présent. 


Irénée Sikora



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