At the School of Emotions and Limitations
FAILURE ? or SUCCESS ?
Human incarnations on planet Earth serve first and foremost to explore limitations and emotions.
Many humans do not contemplate embracing their unlimited individual responsibility for their thoughts, because they have conditioned themselves to fear such responsibility.
On a legal and psychological level, belligerent political conflicts and dysfunctional economic inequalities have their primary cause in the implementation of all kinds of private and state structures and organisations with limited responsibility.
If these same structures and organisations had unlimited responsibility, the earthly human world would be totally different in an edifying humanitarian sense. It would then be an enlightened civilisation, because it would profoundly recognise the value and power of universal consciousness.
"I'm not responsible for it" and "We're not responsible for it" are statements inherent to a civilisation which, after nursery school, starts its learning process at the beginning of the first year of primary schools in its evolution.
The good news is that more and more people on Earth are realising that to make progress in their studies, they inevitably have to embrace and practise unlimited individual responsibility for their thoughts.
In this sequence of challenges, humans are encouraged to control and master their emotions, without which the noble desire to put an end to all disputes and subsequently all wars, will remain no more than a phantasmagoria.
There are stellar beings who are striving to guide humans on planet Earth towards emotional maturity. These beings know that in the absence of this very maturity, there is too great a risk of things going wrong in social, scientific and political decision-making.
Every human being has the responsibility to learn how to transform negative emotions more quickly and effectively by allowing even three energetic drops of compassion to seep into them. By the same token, we all have the responsibility to use our positive emotions to move forward.
Negative energies take shape in the emotional spectrum of low frequencies that are damaging over the long term to the organic and psychic health of the individual who, perceived from the outside by highly evolved spiritual stellar beings, consciously or unconsciously persists in remaining a slave to his or her own emotions. Depression, anxiety, anger, jealousy, verbal and non-verbal outbursts of violence, instant cravings for superiority, conflicting divisions, annoyences ... all traps in which the egotic mind perpetuates in a loop everything it is used to when confined to the cul-de-sac of qui pro quo, jostling, sarcastic laughter, slaps and cries of distress.
The good news is that hell is made up of mental structures and constructs forming a prison of cards in which emotions control humans. It is easier than we might think to blow away this prison of cards and free ourselves. Just bear in mind that there is no freedom without wisdom.
Today, all we have to do in this context, is refocus to hear what an inner whisper is asking each one of us :
Can you feel that there is no freedom when we don't put into practice our unlimited individual responsibility for the unconditional mastery of our thoughts and emotions ?
Irénée Sikora
À l'École des Émotions et des Limites
ÉCHEC ? ou RÉUSSITE ?
Les incarnations humaines sur la planète Terre servent avant tout à explorer les limites et les émotions.
De nombreux humains n'envisagent pas d'embrasser la responsabilité individuelle illimitée de leurs pensées, parce qu'ils se sont conditionnés à craindre une telle responsabilité.
Sur le plan juridique et psychologique, les conflits politiques belligérants et les inégalités économiques dysfonctionnelles ont pour cause première la mise en place de toutes sortes de structures et d'organisations privées et étatiques à responsabilité limitée.
Si ces mêmes structures et organisations étaient à responsabilité illimitée, le monde humain terrestre serait totalement différent dans le sens humanitaire édifiant. Ce serait alors une civilisation éclairée, car reconnaissant en profondeur la valeur et la puissance de la conscience universelle.
"Je n'en suis pas responsable" et "Nous n'en sommes pas responsables" sont des affirmations inhérentes à une civilisation qui, après la maternelle, entreprend son apprentissage en début de la première année à l'école élémentaire dans son évolution.
La bonne nouvelle, c'est que de plus en plus d'individus sur Terre réalisent que pour progresser dans leurs études, il leur faut inévitablement embrasser et pratiquer la responsabilité individuelle illimitée de leurs pensées.
Dans cette suite de défis, les humains sont encouragés à contrôler et à maîtriser leurs émotions, sans quoi, le noble désir de mettre fin à toutes les disputes et subséquemment à toutes les guerres, ne restera que fantasmagorie.
Il existe des êtres stellaires qui s'efforcent à orienter les humains sur la planète Terre vers la maturité émotionnelle. Ces êtres savent qu'en absence de cette maturité, le risque de dérapage s'avère trop grand dans la prise de décisions sur les plans social, scientifique et politique.
Tout humain a la responsabilité d'apprendre à transformer les émotions négatives de façon plus rapide et plus efficace en y laissant s'infiltrer ne serait ce que trois gouttes énergétiques de compassion. Au même titre, tout humain a la responsabilité de se servir de ses émotions positives pour aller de l'avant.
Les énergies négatives prennent forme dans le spectre émotionnel des basses fréquences qui nuisent à long terme à la santé organique et psychique de l'individu qui, perçu de l'extérieur par des êtres spirituels stellaires hautement évolués, s'obstine consciemment ou inconsciemment à rester l'esclave de ses propres émotions. Dépression, anxiété, colère, jalousie, poussées de violence verbale et non verbale, envies instantanées de supériorité, clivages conflictuels, fâcheries ... autant de pièges dans lesquels l'esprit égotique perpétue en boucle tout ce à quoi il est habitué lorsqu'il est confiné dans le cul-de-sac du qui pro quo, des bousculades, des rires sarcastiques, des gifles et des cris de détresse.
La bonne nouvelle, c'est que l'enfer est assemblé de structures et constructions mentales formant une prison de cartes dans laquelle les émotions contrôlent les humains. Il est plus facile qu'on ne le pense de souffler sur cette prison de cartes et de se libérer. Gardons seulement à l'esprit qu'il n'y a pas de liberté sans sagesse.
Aujourd'hui, il suffit de se recentrer pour entendre ce qu'en l'occurrence un chuchotement intérieur nous pose comme question :
Ressentez-vous qu'il n'y a pas de liberté quand on ne met pas en pratique sa responsabilité individuelle illimitée orientée sur la maîtrise inconditionnelle de ses pensées et de ses émotions ?
Irénée Sikora
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